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Moral


Moral: Qualité, succès, justesse, esprit d'équipe, honnêteté,

Introduction: Le moral est défini comme «un sens de l’objectif commun ou un degré de dévouement à une tâche commune, considéré comme caractéristique ou dominante d’un groupe ou d’une organisation particulière».





Le moral est défini comme «un sens de l’objectif commun ou un degré de dévouement à une tâche commune, considéré comme caractéristique ou dominante d’un groupe ou d’une organisation particulière». Également défini comme «l’attitude confiante, résolue, volontaire, souvent pleine d’abnégation et de courage d’un individu face à la fonction ou aux tâches exigées ou attendues de lui par un groupe dont il fait partie, qui repose sur des facteurs tels que la fierté des réalisations et des objectifs du groupe, la foi en ses dirigeants et en son succès final, le sentiment d’une participation personnelle fructueuse à son travail et le dévouement et la loyauté envers les autres membres du groupe ». Également «un état de bien-être et d’équilibre fondé sur des facteurs tels que le bien-être physique ou mental, le sentiment d’avoir un but et d’être utile, et la confiance en l’avenir».


Au sens militaire, le moral s’applique à l’ensemble du groupe, comme dans l’expression «Esprit de Corps».


Cependant, le moral d’un groupe est après tout le résultat cumulatif du moral de chacun de ses membres.


Lorsque l’on parle de «mauvais moral», il peut s’agir du mauvais moral d’un individu ou de celui d’un groupe entier.


En s’occupant du moral de chaque individu, on peut améliorer le moral de l’ensemble du groupe.


En travaillant sur le moral du groupe, on peut également changer le moral des individus qui le composent.


Les succès tendent à augmenter le moral des troupes. Les échecs tendent à le diminuer. Le moral est sujet aux attaques de propagande qui introduisent de fausses données dans un groupe.


C’est la réalité qui permet le mieux d’avoir un bon moral. Le fait de restreindre l’accès à des nouvelles peu recommandables peut nuire au moral en éliminant le facteur de Réalité.

De même, une fausse validation peut nuire au moral du groupe car le facteur de Réalité est corrompu.


«L’expertise» des groupes militaires en matière de «gestion du moral» est dans une large mesure sans valeur, lorsqu’elle viole les facteurs de Réalité.


Une expérience grave ou brutale ne détruit pas nécessairement le moral du groupe. J’ai observé qu’il n’y avait pas de groupe, et encore moins de moral, dans les unités de combat avant qu’elles n’aient eu en commun une expérience difficile. Les groupes au moral le plus élevé dans le monde ont été ceux dont le lot commun était une expérience mutuelle difficile. (Marines des États-Unis, Légion étrangère, etc.).


Le moral n’est pas une proposition tout sucre tout miel. Tenir la main et la sympathie peuvent détruire le moral si cela diminue la solidarité du groupe ou compromet la croyance en ses dirigeants.


La Réalité est le facteur vital dans tous les problèmes de moral.


Six mois ou même un an avant une catastrophe opérationnelle ou fonctionnelle, il aurait été possible de détecter un manque de moral dans certains domaines. Ces zones de mauvais moral qui perdurent, ont précédé une perturbation générale ou une perte grave pour l’ensemble du groupe.


Si de petites zones de démoralisation sont détectées et réparées lorsqu’elles se produisent, le groupe peut être épargné par de futures perturbations de grande ampleur. La réparation du moral individuel est possible dans le domaine de la technologie et de l’éthique scientologiques.


La gestion du moral du groupe se fait dans le domaine de la réalisation des objectifs selon la ligne de conduite convenue du groupe et dans la sphère des relations sociales du groupe.

Si une organisation dispose d’un chapelain qui maîtrise parfaitement le sujet du moral, ses définitions et sa technologie, et s’il travaille de manière factuelle et avec succès, les catastrophes de groupe seront évitées.


L’absence de cette fonction peut être très destructrice pour un groupe. L’accomplissement réussi de cette fonction peut être la source du succès du groupe.


Les compétences en technologie scientologique, en fonctions organisationnelles du groupe et en relations publiques sont les exigences d’un bon Chapelain.


L. Ron Hubbard

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