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Principe de la Dangerosité


Tigre blanc avec jeune femme calme dans forêt

Introduction: Principle de la Dangerosité: Un aspect extrêmement intéressant que Ron aborde dans cet article me fascine depuis que j’ai lu La Création des Aptitudes Humaines.



Chers amis,


Un aspect extrêmement intéressant que Ron aborde dans cet article me fascine depuis que j’ai lu La Création des Aptitudes Humaines.


Ailleurs, il écrit que la Scientologie ne vise pas à créer des «gens bien». Cependant, il ne faut pas penser que «mauvais» est le contraire de «bon». Ron définit plutôt une «bonne personne» comme quelqu’un qui obéit aveuglément et fait tout ce qu’on lui dit. Les procédés décrits dans le livre, en revanche, encouragent la pensée indépendante et habilitent les individus. Ma propre expérience – à la fois en tant qu’auditeur et en tant que préclair – me permet de le confirmer pleinement.


Je crois qu’une personne qui a atteint l’autodéterminisme sait ce qui est «bon» pour elle-même.


Avec mes meilleures amitiés.

Max Hauri


 

Principe de la Dangerosité

Extrait de la conférence Le Rôle du Rire dans le Processing, du 5 juillet 1954 donnée par L. Ron Hubbard.


Il y a un autre principe dans le processing: le principe de la dangerosité. Nous constatons qu’à la longue, un individu décline jusqu’à l’état d’esprit selon lequel il croit que la seule manière pour lui d’occuper un espace ou de continuer d’occuper un espace ou d’avoir l’autorisation de sortir d’un espace qu’il occupe est le passeport de sa propre dangerosité.

Et lorsqu’un individu n’est plus dangereux, lorsqu’il n’est plus dangereux, il pense que l’environnement est dangereux pour lui à tel point qu’il doive rester à sa place, et qu’il ne peut pas être où il veut.


Les choses sont trop dangereuses, par conséquent, il ne peut pas se déplacer librement. Et comme la définition de «l’autodéterminisme» est «déplacer les choses à volonté», nous trouvons bien évidemment que cet individu est profondément submergé car il ne peut pas se déplacer à volonté. Pourquoi? Il n’est pas assez dangereux pour garantir un libre passage le long des voies qu’il aimerait emprunter. Mais d’un autre côté, l’environnement est suffisamment dangereux pour lui pour l’arrêter ou le chasser. L’évolution de ce rapport est donc pratiquement une thérapie totale en soi. Vous voyez, nous avons parlé du rire comme d’une thérapie totale.


Très bien. Maintenant quelque chose d’un peu plus sérieux, un peu plus bas que le rire sur l’échelle des tons, voyez-vous, est la dangerosité.


On pourrait donc dire que la santé d’esprit – et l’autodéterminisme – de votre préclair dépend du rapport entre le danger qu’il représente lui, comparé à celui de son environnement. Lorsque l’environnement est un danger total, un individu n’est plus dangereux. Vous avez en fait quelqu’un en très mauvais état. Un mauvais état impossible à concevoir, même pour un auditeur, simplement parce qu’il n’a jamais totalement existé – c’est un absolu.


Et prenons l’autre extrême, un individu totalement dangereux pour son environnement et pour qui rien dans l’environnement n’est dangereux... c’est aussi une totalité qu’un auditeur trouverait très difficile à voir en fait. En premier lieu, il quitterait la bande de la dangerosité avant d’atteindre ce niveau. Cela continuerait sur une base de 50-50. Il est juste aussi dangereux pour l’environnement que l’environnement l’est pour lui et il va donc monter pour être capable de rejeter l’environnement à volonté. Ainsi, nous le verrions quitter la bande de la dangerosité. Juste comme ça, il continuerait droit dehors. Vous voyez cela?


Très bien. Cette proportion de dangerosité est un principe intéressant. Il a été énoncé la première fois dans «Excalibur» en 1938. Et la règle énoncée et qui sous-tend cette observation est que «l’aptitude d’un homme dépend de sa conviction dans le fait qu’il est dangereux pour son environnement».


Ce n’est que lorsqu’un soldat ou quelqu’un faisant partie d’une unité militaire est convaincu de ne plus être dangereux pour l’ennemi qu’il s’effondre. Prenez garde de ne jamais avoir aucun rapport avec une compagnie, un régiment ou une division dont la moindre partie a été mise en déroute. Ils vont vous arracher les yeux, vous couper la gorge dans le noir, qui ou quoi que vous soyez. Leur fierté personnelle s’est évaporée. C’est la détérioration la plus fantastique dont vous ayez jamais été témoin de votre vie.


Les troupes, disent-ils, doivent subir le baptême du feu. Formulons cela un peu mieux: les troupes doivent avoir observé l’ennemi fuir sous leur feu avant d’être des troupes vraiment insolentes. Bon, c’est ça le baptême du feu. Et ils découvrent qu’ils n’ont pas fui sous les balles. Ils doivent découvrir ces choses avant d’être bons.


Mais la dangerosité pour l’environnement existe, et vous découvrirez que pour chaque préclair qui vient vous voir et dont le cas est difficile à traiter, il y a ce facteur fondamental dans le cas. Ce cas croit que l’environnement tout entier est dangereux et que pas la moindre partie n’est sûre. Et un peu plus haut sur l’échelle des tons, il croit que le rire est très dangereux, mortel et impossible.


Assist


Cela aurait pu être mieux exprimé qu’en terme d’aptitude, mais c’est ainsi que ce fut énoncé dans «Excalibur» en 1938. Il en découle beaucoup, beaucoup de principes qui marchent. Une des première fois où vous rencontrerez cela est lorsque quelqu’un n’est pas en communication et que vous essayez de lui faire vous frapper la main. Nous pourrions administrer une psychothérapie à un chat, un chien, un cheval dans cette mesure. Et que savons-nous? Cela marche très bien, absolument, une psychothérapie à toute épreuve.

Nous amenons l’animal à s’élancer ou à faire un petit mouvement vers nous, et à ce moment – en faisant bien attention de ne pas être trop rapide pour ne pas effrayer l’animal – nous reculons. Et nous découvrons que la fois suivante la personne ou l’animal est désireux de se mouvoir avec moins d’hésitation et ensuite nous reculons plus rapidement.


Nous pouvons le faire avec la main. Nous pouvons placer notre main sur le côté d’une personne malade qui est presque totalement hors de communication, puis elle bouge sa main comme pour pousser nos doigts, et nous retirons un petit peu nos doigts. Nous constatons qu’elle devient un peu moins hésitante – ce qui lui semble curieux – et elle devient un peu moins hésitante. Et, de nouveau, nous nous retirons un peu plus vite. Et très vite nous constatons qu’elle recouvre un peu de conscience et retrouve un peu de son activité générale. Ensuite, elle commence à concevoir qu’elle est elle-même au moins un tout petit peu dangereuse pour son environnement.


Bon, j’ai sorti des enfants de crise de colère, guéri des chats de névroses et remis des préclairs en communication avec ce genre d’activité: les amener à faire un léger mouvement en avant, auquel moment je retire ma main. Pour vous montrer à quel point cela peut être fait tôt: cela a fonctionné avec mon petit garçon lorsqu’il avait environ un mois et demi. Il n’allait pas bien.


J’étais donc un peu préoccupé et j’ai commencé à y réfléchir: je me demandais ce que je pourrais bien faire. Tout à coup, cela m’est venu à l’esprit, ce fait à propos de la dangerosité. Ainsi, j’ai laissé ma main se retirer. C’est la personne la plus jeune sur qui j’ai pratiqué cela.


Je l’ai pratiqué sur d’autres bébés plus âgés mais, Dieu merci, pas à un mois et demi. Et j’ai laissé ma main s’écarter de lui quelques fois et, tout à coup, j’ai découvert que cela se produisait. Et ce petit garçon n’avait pas fait grand-chose pour ce qui est de rire. Il avait été très sérieux en fait, vous voyez? Et tout à coup, il s’est épanoui avec un sourire. Et nous avons fait cela quelques fois et je jouais à être vraiment terrifié et il a éclaté d’un grand rire à ce sujet. C’était la chose la plus belle que j’ai jamais vue. Ensuite, il est redevenu très affectueux et tout, comme c’est généralement le cas des bébés. Ça l’a remonté de façon incroyable. Et ce fut la fin de ses problèmes gastriques. Il n’y a plus eu de problèmes d’estomac par la suite. C’était environ quinze minutes d’audition. Les résultats sont donc rapides et très bons.

 

L. Ron Hubbard

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