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  • Appel à tous les Auditeurs -Récapitulatif

    Introduction: Voici les deux derniers bulletins concernant «APPEL À TOUS LES AUDITEURS» - Récapitulatif de Rosamond Harper. Le dernier bulletin en particulier est un très beau résumé. Il vaut la peine de le lire attentivement et de le comprendre. La vie sans aide n’est pas possible et si elle est trop limitée, elle est triste. Toutes les richesses de la Terre ne feront pas le bonheur. Il s’agit d’aider et d’être aidé. Ron's Org Grenchen Info Canal sur Telegram: https://t.me/+T87-hfEiQX00NGE8 Blog: https://www.ronsorg.fr/blog Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous. Appel à tous les Auditeurs - Récapitulatif Bulletin du 3 août 1960 ci-dessous. En annexe seulement: Appel à tous les Auditeurs concernant l'aide – Bulletin du 6 juillet 1960 Il semble que la base de toute aberration est la considération d’un thétan comme quoi il ne peut pas faire face à un effet inconfortable. La vie étant un échange libre entre les formes de vie – un ‘donner et recevoir’ sans barrière présuppose accorder l’être, l’ARC, la Compréhension. Le chagrin, la peur, la colère, l’antagonisme n’entrent tout simplement pas en ligne de compte, ils ne sont pas nécessaires. Tout cela, nous le savons théoriquement. Mais à ce stade du jeu, nous avons déjà parcouru un certain chemin sur la spirale descendante. La vie, appelons-la Aide (car en accordant la vie librement, nous aidons) a pris une nouvelle signification pour nous. À partir de la confrontation totale, de l’échange libre, de l’accord de l’être, nous sommes passés par divers stades d’une compréhension de moins en moins grande. Un effet sur moi était considéré comme «mauvais» – un overt, de sorte que l’on devenait une «victime» et que l’on éprouvait de la pitié pour les «victimes». On a occulté les overts et cherché des motivateurs pour justifier davantage d’overts et, ce faisant, on s’est laissé prendre par l’automaticité de la Séquence Overt-Motivateur, ce jeu désolant de l’homo sapiens. Mais fondamentalement, l’homme est bon, alors il tente de résoudre cette difficulté en réduisant ses aptitudes afin de ne pas trop blesser les autres, et cela conduit à un mode de vie loin d’être optimal. Trop de barrières et trop peu de confrontation résultent en identification. L’aide devient une blessure, et la blessure devient l’aide. Une unité de temps s’identifie à une autre unité de temps et, comme dans toutes les activités au niveau réactif, il n’y a plus de vérité ni de lumière. Ron – en découvrant que l’Aide est la base de toutes les identifications et de ce fait la clé pour démêler le mental Réactif – nous a donné un outil bien affûté qui, utilisé intelligemment, ne peut pas échouer. Le bank s’effondre, le thétan émerge de sa confusion et commence à regarder. Une fois qu’il regarde, il peut faire de plus en plus de considérations autodéterminées et ainsi cesser de continuer à s’enliser dans une confusion permanente. En bref, il cesse d’associer et d’identifier, il démêle la dichotomie aide-trahison et devient libre. Nous avons plusieurs procédés d’Aide et, jusqu’à présent, les expériences montrent que les méthodes les plus rapides sont les suivantes. Trouvez un véritable terminal chaud et observez la Manette de Ton du pc. Si la lecture est constamment à 4, à 4 ou 5, le pc résiste puissamment à ce qui «est». Il a de solides écrans de résistance accumulés pour tenir le coup. Il dit en substance: «Je ne confronterai pas.» Donc, l’Aide O/W est un peu élevée à ce stade. Cela demande une réalité de confrontation dont le pc n’est pas encore capable. Il s’enlisera, aura de longs retards de communication et «tout est irréel». Donc dégagez avec le Concept Aide. Car ici, il ne fait que ‘penser à’ ou ‘avoir l’idée de’ l’aide, qui est de confronter selon une échelle graduée, ou un regard oblique sur ce qu’il ne peut pas regarder en face. Comme Ron le dit, c’est «en dessous du niveau de pensée articulée, ce qui signifie bien sûr qu’il se heurte sans arrêt à la pensée réactive», et c’est bien le cas. Il peut, sur une échelle graduée, regarder ou au moins jeter un coup d’œil à ce qu’il ne peut pas encore confronter complètement. Cela s’applique également à la lecture de la Manette de Ton très basse (l’objet dénué de sens). Plus le pc se rapproche de la lecture Claire, moins il y a de résistance à confronter. Il est capable de prendre plus de responsabilité pour sa ‘mauvaise cause’. Ensuite parcourez l’Aide O/W avec profit. Parcourez toujours la Confrontation Alternée et l’Avoir avec ‘Aide’ dans la proportion suggérée par Ron, à moins bien sûr, que le pc n’ait besoin de davantage d’Avoir. Avec ces outils, le Mental Réactif est condamné. Mais les outils seuls ne suffisent pas. L’auditeur doit les utiliser intelligemment. Ici, au HCO WW, nous avons une vue d’ensemble de ce qui se passe dans tous les HGC et dans le champ. Pour votre information, voici nos points faibles: 1. Trop de discussions. Auditez – ne parlez pas. 2. Changer de terminal en cours de route. 3. Abandon d’un procédé pour traiter un problème somatique qui s’est déclenché pendant le parcours du terminal. Ce qui l’a activé le fera disparaître. Poursuivez le procédé. 4. Ne pas respecter les proportions établies par Ron en ce qui concerne l’alternance de la Confrontation et de l’Avoir. Ces éléments ont un rôle très précis à jouer et, s’ils sont négligés, le cas en pâtira. 5. Ne pas modifier les commandements. Ron a des raisons valables pour la formulation qu’il a choisi. Ne jamais dire comme l’a fait un auditeur: «Je n’ai pas eu le temps de parcourir l’Avoir». Ne jamais manquer d’observer pour signaler, comme l’a fait un auditeur la semaine dernière par rapport à la question de la réaction de l’aiguille sur Aide: «Je n’ai rien remarqué». Maintenir l’ARC à un niveau élevé – gérer les PTPs, maintenir la fluidité des O/W et faire des Clairs. Publié par: Rosamond Harper Secrétaire Technique WW pour L. RON HUBBARD Chers Amis, Voici les deux derniers bulletins concernant «APPEL À TOUS LES AUDITEURS» de Rosamond Harper. Le dernier bulletin en particulier est un très beau résumé. Il vaut la peine de le lire attentivement et de le comprendre. En fin de compte, nous voulons tellement aider, et c’est une prise de conscience que j’ai également eue qui a changé ma vie de manière très positive: Aider, c’est la vie. Ce que j’ai compris, c’est que si vous voulez que les gens vous aiment, quelle que soit la dynamique, assurez-vous qu’ils puissent vous aider et vous soutenir. Si vous voulez avoir des ennemis ou devenir un Seul-et-Unique, ne laissez pas les gens vous aider. Seul-et-Unique (Loup solitaire): N’être en communication avec personne. Il y a deux possibilités de devenir un «Seul-et-Unique»: a) on commet tellement d’overts qu’on ne peut plus communiquer avec les autres et qu’on est exclu de la vie, ou b) on devient si «intelligent» qu’on ne peut ou ne veut plus partager sa réalité avec les autres. Par exemple, si l’on voyageait trois siècles dans le passé, on se sentirait très seul. Ron l’a dit: on se sent parfois très seul au sommet. Croyez-moi, les gens ne vous aiment pas parce que vous les aidez. Vous pouvez prendre cela au pied de la lettre. Ce n’est pas une invitation à ne pas aider, bien au contraire, car si vous n’aidez pas les autres, vous n’aimerez personne et vous deviendrez ainsi un Seul-et-Unique. La vie sans aide n’est pas possible et si elle est trop limitée, elle est triste. L’argent, le salaire, le revenu de base inconditionnel, toutes les richesses de la terre ne feront pas le bonheur. Il s’agit d’aider et d’être aidé. Lorsque les gens auront compris ce principe, nous aurons le paradis sur Terre. C’est pourquoi Ron a toujours tenu la co-audition en haute estime. Avec mes meilleures amitiés. Max Hauri

  • Spirale descendante

    Appel Tous les Auditeurs concernant l'Aide (3) Introduction: Un excellent bulletin qui explique parfaitement la spirale descendante et aussi l’une de mes affirmations préférées de Ron: «On obtient ce pour quoi on résiste». C’est une philosophie de vie que de faire face aux contre-efforts et de ne pas y résister. Être prêt à confronter tout ce qui vient. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Spirale descendante Appel à tous les auditeurs concernant l’aide (3) Bulletin du 5 juillet 1960 En relation avec la nouvelle approche de base de Ron, qui permet de finalement comprendre la façon de «mettre au clair», les Facteurs nous donnent un aspect brillant des principes fondamentaux. «Avant le commencement existait une Cause et le but unique de cette Cause était la création d’effet.» «La décision est d’être.» Ron poursuit en expliquant qu’il faut adopter un point de vue et l’étendre à partir du point de vue des points de dimension. Et ainsi, il y a l’espace. Il poursuit en nous disant que l’action d’un point de dimension est d’atteindre et de se retirer, de sorte que du point de vue au point de dimension, il y a connexion et échange. Ainsi il y a la communication et la lumière, l’énergie et la vie. Nous sommes donc en présence d’une unité potentielle. Pas de barrières donc une confrontation totale. Cela revient à accorder l’être à tous les autres, une absence totale de peur et de critique. Confronter librement ce qui est, équivaut à être cause, en ce sens que l’on peut être effet complet, à savoir la capacité d’accepter n’importe quoi, ce qui équivaut à accorder l’être, qui est la vie. Alors quoi? Quelque part, un thétan a considéré qu’un effet trop important était dangereux pour la survie et lorsqu’une grande souffrance s’est manifestée, il n’a pas pu la confronter, alors plutôt que d’y faire face, de lui accorder l’être et «d’avoir» l’effet, il lui a résisté puissamment et a finalement fait une «non confrontation» totale et l’a occultée. C’est ainsi que commence la spirale descendante. L’effet sur moi est dangereux, résistons-y. Finalement, nous mettons des barrières, juste au cas où il y aurait un effet en perspective. Il y a donc un blocage, une résistance, une peur d’aider ou d’être aidé, et au fur et à mesure que cela se développe, nous obtenons une séparation compulsive. Mais ce n’est pas vraiment une séparation, c’est un rapprochement compulsif et c’est là le piège. Au sommet de l’échelle, la vie est à la fois unifiée et séparée, nous donnons et recevons de l’aide – accordons l’être librement. Plus bas, nous nous lions les uns aux autres par nos O/W. Ainsi, mon Acte Néfaste originel et continu est essentiellement contre moi-même, car je me blesse dans la proportion exacte où je blesse les autres, car je suis les autres et je le deviens de plus en plus compulsivement dans une spirale descendante, jusqu’au stade de la valence, et ici, dans le mystère et l’ignorance, je deviens ce que j’ai échoué d’aider, ce que je ne «peux pas avoir», ce que je ne peux pas confronter. La vie est donc toujours une, mais elle l’est désormais de manière compulsive et la plupart d’entre nous ne le sait pas. Nous semblons nous séparer, mais nous sommes en réalité liés et emprisonnés et complètement effet, de quoi? De nos propres créations. La seule liberté consiste à donner et à recevoir de l’aide. Mais ceci est dangereux, ceci peut être du contrôle ou de l’ingérence, bref c’est de la «trahison». Expliquée en termes d’énergie, l’image est très claire. Toute création est pensée – un flux d’énergie. Une vague d’énergie d’affinité très mobile n’a pas de pouvoir de cohésion compulsif et collant, on peut la donner et la recevoir sans y être coincé. Alors que nous nous enfonçons, nous créons une énergie plus lourde et plus cohésive qui non seulement nous piège, mais qui, en attirant une énergie de même intensité turgide, nous attache encore plus solidement avec ce à quoi nous résistons ou que nous ne pouvons pas aider. La spirale descendante nous amène finalement à un bas niveau d’intérêt dans la vie et, à mesure que l’intérêt s’amenuise, il en va de même avec la communication. Si l’on ne communique pas, il n’y a pas ou peu d’échanges et pas de cycles d’action finalisés, donc pas de contrôle. Finalement, presque aucun thétan n’est présent pour aider ou ne pas aider. Ainsi, en préséance, nous amenons le pc à clarifier quelques confusions en examinant et en discutant ces points dans une atmosphère d’accord de l’état d’être. Ceux d’entre vous qui ont audité le Quatuor Mortel [Deadly Quartet] ont vu la confusion et le not-is-ness s’envoler et, en parcourant les différents procédés d’aide, le pc regarde vraiment pourquoi il ressent l’aide comme une trahison, pourquoi il recule devant elle. Les barrières tombent, le pc commence à réaliser que c’est sa propre résistance aux effets qui rend un effet dangereux. Pourquoi tant d’entre nous pensent-ils que l’affinité est dangereuse. C’est parce que l’affinité totale signifie l’absence de barrière, de méfiance, de soupçon et que cela pourrait signifier devoir confronter un effet douloureux! C’est notre propre résistance à la douleur qui la maintient. Sinon, comment un Assist pourrait-il être couronné de succès? Une fois confrontée dans le temps présent, la douleur disparaît. Une fois que la mésémotion d’un incident est confrontée, l’incident n’a plus d’effet. Nous l’avons maintenu là, pourquoi? La réponse est peut-être que nous ne savions pas ce que nous faisions. Ron nous l’a dit, nous comprenons le mécanisme du mental réactif, nous comprenons que seules nos propres créations peuvent nous piéger – et devant, la route est libre. Une fois que les ridges et les résistances d’autrefois et d’aujourd’hui sont regardés, ils se désintensifient. C’est ce que fait l’audition. Il n’est pas nécessaire de les reconstruire. Merci Ron. Rosamond Harper HCO Secrétaire Technique WW pour L. Ron Hubbard Chers amis, Nous avons préparé une nouvelle page d’accueil pour la distribution. Voici le lien, peut-être sera-t-il utile pour vous ou pour expliquer très simplement la Dianétique illustrée (allemand et français): https://www.dia-n.ch/fr Voici une interview me concernant, de mon temps passé à l’église de Scientologie et de ce qui s’est passé ensuite. En anglais et en russe: Max:  https://www.youtube.com/watch?v=04WC1Nvztrg Voici une interview d’Erica, en anglais et en russe: Erica: https://www.youtube.com/watch?v=wNP_kpWlXAw Voici quelques impressions des derniers camps d’entraînement: [Photos] https://www.camprons.org/media#rec694932915 Vous pouvez lire les newsletters précédentes sur notre blog: https://www.ronsorg.fr/blog Ci-dessus le bulletin «Appel à tous les Auditeurs concernant l'Aide – «Spirale descendante». Un excellent bulletin qui explique parfaitement la spirale descendante et aussi l’une de mes affirmations préférées de Ron: «On obtient ce que l’on résiste». Parfois, la douleur est difficile à supporter, mais très souvent, j’ai pu gérer la douleur en inversant le flux et en ne lui résistant pas, mais en l’acceptant, voire en l’aimant. Et au bout d’un moment, elle disparaissait. C’est une philosophie de vie que de faire face aux contre-efforts et de ne pas leur résister. TR 0 [être là] n’est rien d’autre que cela. Être prêt à confronter tout ce qui vient. Et jusqu’à ce que l’on soit capable de le faire, il se peut très bien que l’on traverse l’enfer à cause de la douleur, des somatiques et des misémotions. Cela s’arrête juste au moment où l’on confronte le contre-effort inconscient, mais néanmoins puissant. Il est inutile de demander de quel type de contre-effort il s’agissait. Souvent, il disparaît et on ne sait pas de quoi il s’agissait. Parti, c’est parti. Avec mes meilleures amitiés. Max Hauri

  • Cause et Effet

    Appel à tous les auditeurs concernant l'aide (4) Introduction: Cause et effet! L. Ron Hubbard souligne en particulier le fait que lorsque vous vous justifiez et que vous vous «déculpabilisez», vous devenez un effet. Un objectif important de la Scientologie est de faire en sorte qu’une personne devienne de plus en plus cause, qu’elle soit plus confiante et qu’elle entreprenne des choses. Personne d’autre que la personne elle-même n’est responsable de sa vie! Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Cause et Effet ​Appel à tous les auditeurs concernant l’aide (4) – Bulletin du 16 juin 1960 Après plusieurs semaines de rodage de l’audition de l’Aide, nous avons une vision plus claire des progrès accomplis, des perfectionnements apportés au parcours et surtout, de l’importance fondamentale de cette approche basique d’un cas. Un pc s’adresse à nous pour être aidé d’une manière ou d’une autre, il a probablement l’impression que la vie l’a malmené et qu’en tant que «Victime», il est très affecté par les choses terriblement injustes qui lui sont «arrivées». Grâce à la connaissance élargie de la vie que nous apporte la Scientologie, nous savons qu’une personne ne devient aberrée que par ses propres actions, et non par celles d’autrui. Les autres peuvent évidemment nous influencer et nous nuire si nous les laissons faire. C’est généralement ce que nous faisons et, jusqu’à ce que ce fait devienne clair grâce à notre propre cognition, nous continuons à blâmer les autres. Bien entendu, cela ne nous mène nulle part. La vie est aussi pleine et heureuse que notre communication avec les autres formes de vie est libre – sans peur, sans blâme ou hésitation. Toute attitude autre que la confiance et la compréhension construira des barrières de résistance entre nous et ceux avec qui nous vivons et travaillons. Cela réduit considérablement le potentiel de vie. Maintenant, comment faire passer cela à un pc «victime»? L’Aide est efficace et rapide. Les résultats que nous avons obtenus dans le monde entier cette semaine sont meilleurs que jamais. Des différences nettes dans les profils, avec des considérations grandement changées et des progrès en matière de QI. Abordez un cas avec une préséance et une communication réciproque simple, avec le Quatuor Mortel. Cela permet de dissiper des nuées de confusion – dégager autant d’O/Ws que possible, mais sans les parcourir. Un pc plus facile se glisse maintenant dans la Séance Modèle, trouve ses objectifs – libère son Auditeur, si nécessaire avec l’Aide réciproque; les PTPs personnels avec les O/W; et vous dira qui ou quoi il veut aider. Découvrez-ceci et prenez le premier terminal qu’il ait jamais essayé d’aider dans son histoire de Dianétique et de Scientologie. Si l’aiguille est collante, commencez par le Concept Aide. Ce parcours avec Confrontation alternée et beaucoup d’Avoir est une puissante combinaison. Ron explique que votre pc difficile n’aide qu’un terminal qu’il trouve impossible à confronter, et qu’en parcourant ce terminal, nous le restimulons. La confrontation alternée l’aide à Regarder ces terminaux et vous avez un préclair plus heureux. N’oubliez pas l’Avoir – «Regardez autour de vous et trouvez quelque chose que vous pourriez avoir». Il en a besoin de suffisamment. Continuez à partir d’ici jusqu’aux O/W sur l’Aide sur le terminal assessé et parcourez jusqu’à aplani, aplani, aplani. Ne laissez jamais un terminal tant que l’aiguille n’est pas nulle. Un terminal vraiment aplani fait bien plus progresser un cas que plusieurs terminaux à moitié parcourus. C’est très important. Souvenez-vous que le cas d’un pc est ses valences. S’il était fondamentalement lui-même, il n’aurait pas besoin de vous. Aider à décortiquer les valences, mais tout en étant une combinaison d’entre elles, il ne sert à rien de parcourir la Responsabilité en tant que telle. Il rendra allègrement sa tante Matilda entièrement responsable et cela ne résoudra rien. La Responsabilité ne peut être utilisée à ce stade que pour atténuer les effets d’un terminal mal choisi. Parcourez le vieux O/W Confrontation ou Responsabilité alternée. Parcourez des terminaux généraux de préférence aux terminaux spécifiques proches du PT. La piste du Temps arrive à toute allure. Continuez à parcourir l’Aide. Dater les incidents n’est pas nécessaire ici et interrompra un procédé qui se déroule rapidement, donc ne vous laissez pas tenter. ​Contrôle Si le pc est intéressé par son cas, il sera en contrôle, donc ne le parcourez pas. S’il a un besoin urgent de contrôle, parcourez les CCHs, mais il devrait être psychotique ou inconscient. Ce sont les derniers outils que Ron nous a transmis. Ils sont adaptés pour mettre au Clair n’importe quel pc. Utilisez-les intelligemment; maintenez l’ARC élevée et ayez l’intention de mettre au Clair. Vous le ferez. Rosamond Harper HCO Secrétaire Technique WW pour L. Ron Hubbard Chers amis, J’adore le sujet de cause et effet! Ron souligne en particulier le fait que lorsque vous vous justifiez et que vous vous «déculpabilisez», vous devenez un effet. Un objectif important de la Scientologie est de faire en sorte qu’une personne devienne de plus en plus cause, qu’elle soit plus confiante et qu’elle entreprenne des choses. Personne d’autre que la personne elle-même n’est responsable de sa vie! Le bulletin ci-dessus le décrit très clairement. Un scientologue n’est pas une victime.L’aide est une étape importante, bien que dangereuse. Il est très important que quelqu’un puisse accepter et donner de l’aide. Mais l’aide qui consiste à rendre quelqu’un cause est plus importante que le simple fait de régler quelques problèmes, de lui donner de l’argent ou de lui prodiguer des conseils bien intentionnés.Une bonne aide consiste à insister pour que quelqu’un fasse quelque chose ou obtienne quelque chose de fait. C’est mieux que de le faire à sa place. Malheureusement, la seconde solution est souvent plus facile.Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans les newsletters précédentes, notamment ici: https://www.ronsorg.fr/post/appel-%C3%A0-tous-les-auditeurs-concernant-l-aide Question et Réponse: Ron est certainement toujours parmi nous. D’après ce que j’ai compris, la Scientologie n’était pas son seul et unique effort pour développer l’Homo sapiens, il y a eu d’autres efforts et ils se poursuivent. Et le capitaine Bill a également dit que beaucoup de gens ici sur Terre travaillaient dans ce but. En d’autres termes, je suis presque sûr qu’il travaille dur, mais je ne peux pas vous dire où il est, ce qu’il fait et quand nous le reverrons, sous quelle forme et dans quel corps. Je pense que je connais la réponse de Ron à une telle question: «Je vous ai donné la technologie, c’est à vous de mettre le spectacle en route!» Avec mes meilleures amitiés. Max Hauri

  • Appel à tous les Auditeurs-3

    Introduction : Appel à tous les auditeurs-3 ou comment il n’est pas nécessaire de chercher plus loin pour l’absence de bons résultats d’audition… Et découvrez pourquoi l'aide est fondamentale à parcourir. Ce blog est technique est s'adresse principalement aux auditeurs professionnels. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Appel à tous les Auditeurs-3 Bulletin du 11 mai 1960 Il n’est pas nécessaire de chercher plus loin pour l’absence de bons résultats d’audition, que le fait que peu d’auditeurs semblent savoir exactement ce qu’est une aiguille libre (nulle) pour un terminal donné. Comme de nombreux auditeurs ont été déconcertés sur ce point, il s’agit de deux nouvelles définitions techniques. Aiguille nulle: L’aiguille ne réagit pas sur un terminal particulier mais réagit sur d’autres terminaux. Aiguille libre: L’aiguille ne réagit sur aucun terminal. Elle est claire, se balance paresseusement, libre. Cette aiguille n’enregistre que les activités corporelles telles que les battements de cœur, la circulation sanguine et la respiration. Elle se déplace tranquillement en va-et-vient à travers le cadran, variant son balancement et son modèle selon les pcs, mais jamais de manière saccadée ou réactive. Ce point peut être atteint par rapport à n’importe quel terminal. «Maman» peut être parcourue jusqu’à une aiguille libre, c’est pourquoi nous appelons ce point «nul» pour Maman. «Papa» peut être tout sauf libre, il n’a donc pas été parcouru jusqu’à une aiguille «nulle». Un Clair serait «nul» sur n’importe qui ou n’importe quoi et aurait une aiguille libre sur tous les incidents ou terminaux. Il existe de nombreux procédés sur l’Aide pour atteindre ceci. Assessez pour tout terminal «chaud» après que l’aiguille se soit libérée un peu sur la Fourchette à cinq voies, etc., et parcourez le procédé des O/Ws sur l’Aide: «Comment pourriez-vous aider __________?» «Comment pourriez-vous ne pas aider __________?» «Rappelez-vous une fois où vous avez aidé __________?» «Rappelez-vous une fois où vous n’avez pas aidé __________?» Ce sont des procédés fantastiques. Mais aucun procédé n’est une formule magique pour rendre les gens Clairs, sans l’ajout d’un auditeur intelligent et bien formé. Et aucun auditeur n’est bien formé ni intelligent s’il ne parcourt pas un terminal jusqu’au bout (aplani). Il ne s’agit plus d’un vague travail de devinette ou dépendant du jugement de l’auditeur seulement. Un bon électromètre est inestimable et absolument nécessaire. Lorsque l’électromètre indique «aplani» avec sa jolie aiguille qui flotte librement facilement, vous pouvez le croire. C’est aplani. Jusqu’à ce que l’aiguille indique aplani et que la Manette de Ton indique la position Clair, pour un homme ou une femme; il n’y a pas de discussion possible, le procédé n’est pas aplani. Alors surveillez votre préclair, parcourez l’aide en général, prenez un terminal «chaud» et parcourez l’aide, surveillez votre électromètre et faites-lui confiance. Vous obtiendrez des Clairs. Rosamond Harper Secrétaire Tech HCO pour L. Ron Hubbard Chers amis, En réponse à ma dernière lettre d’information, j’ai reçu quelques demandes sur le genre de procédés d’aide à exécuter, où les trouver, etc. Ces procédés sont bien sûr parcourus sur le Grade 1. Une section entière est consacrée au sujet de l’aide. Ron dit également que parcourir l’aide est fondamental. En général, le Grade 1 consiste en ces trois sections suivantes: (a) Procédés Objectifs et CCHs, Contrôle [CCH = Contrôle, Communication and Avoir] Il s’agit d’améliorer la relation du thétan avec l’univers physique et le corps. On peut également dire qu’il s’agit d’améliorer ou d’établir l’ARC avec ces deux éléments. Cette connaissance, lorsqu’elle est comprise, est remarquable. Vous pouvez faire des merveilles avec un apprenti conducteur en effectuant d’abord «atteindre et se retirer» sur une voiture et en améliorant son ARC avant de le mettre au volant. Vous pouvez faire de même avec les araignées. Je vous garantis que ce procédé peut neutraliser toute phobie des araignées au point de les aimer. Cela peut prendre des heures, voire des jours, mais c’est possible. Les procédés objectifs et les CCHs touchent aux choses les plus fondamentales de la vie d’une personne et améliorent la relation qu’elle entretient avec elles. Il s’agit avant tout de son corps. Ils éliminent également l’hypnose, la fatigue, le désintérêt, etc. Le contrôle doit également être aplani. Ceci est décrit dans le HCOB du 21 Avril 1960 Procédés de Préséance. Vous devez être capable de contrôler, mais vous devez aussi permettre d’être contrôlé. b) Aide. Comme nous l’avons décrit dans la dernière lettre d’information – le bulletin mentionné ci-dessus – l’aide est un facteur important non seulement en audition, mais aussi dans la vie. Ron a donné de très bonnes conférences sur ce sujet. c) Problèmes La dernière partie concerne les problèmes ou les procédés des problèmes. Il s’agit d’être capable de résoudre un problème, et en bref, on y parvient en examinant de près la nature du problème. Plus important encore, vous regardez quelle est votre force ou votre propre énergie contre quelqu’un ou quelque chose et vous la retirez ou la dirigez adéquatement. Ainsi, vous n’allez pas à l’encontre de la force de quelqu’un, mais vous comprenez quelle est la force opposée et dans quelle direction elle pointe afin de la traiter en conséquence. Chacun aura ses propres cognitions et apprendra à gérer les problèmes. Comme par magie, lorsque vous retirez votre énergie et votre force, la personne concernée vient souvent à vous et vous propose de coopérer. Même si vous avez tendance à voir le problème de l’autre côté, en assumant la responsabilité de votre propre rôle, vous pouvez amener l’autre personne à coopérer. Vous trouverez ci-dessus une procédure d’aide dans le bulletin. Vous pouvez exécuter ce procédé avec quelqu’un. Assurez-vous simplement de le parcourir jusqu’à aplanissement complet et obtenez d’abord l’accord de votre préclair comme quoi vous parcourrez ce procédé vraiment jusqu’à aplanissement complet et qu’il peut prendre des heures. Un bon manuel de travail pour comprendre comment auditer est le livre «Fil Direct». Prix 20.– CHF + frais de port. Meilleures amitiés, Max Hauri

  • Appel à tous les Auditeurs concernant l'Aide

    Introduction: L'Appel à tous les auditeurs concernant l'aide et comment appliquer les «Procédés de Pré-séance» permettront à tous de gagner. Avez-vous jamais eu du mal à auditer quelqu'un? Eh bien, vous serez heureux d'apprendre que ces problèmes ont été vaincus grâce à quelques matériaux que L. Ron Hubbard a développés. Il a pensé à nous tous. REgardez le film du camp d'entraînement des dix-neuf Classe 8 de la Ron's Org WW. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Appel à tous les auditeurs concernant l’aide Bulletin du 26 mai 1960 Cette semaine, nous pouvons définitivement dire que le dernier Rundown – Préséance sur le Quatuor Redoutable et parcourir le premier Bouton d’Aide jusqu’à ce qu’il soit aplani, donnent des résultats spectaculaires. Des rapports enthousiastes nous parviennent de toutes les Orgs et les premiers résultats concrets de pcs parcourus entièrement sur l’Aide nous sont parvenus du HGC de Londres cette semaine. Là, des gains considérables ont été réalisés sans exception sur huit préclairs. Des changements de profil et de QI d’une véritable ampleur. Il y aura bientôt un autre HCOB à ce sujet de la part de Ron, mais je passerai juste en revue les points les plus marquants. Communication Réciproque facile avec votre pc. Discutez de l’Aide – du Contrôle – de la Communication et obtenez sa réalité et sa compréhension. Notez la réaction de l’aiguille. S’il n’a aucune réalité concernant l’aide ou qu’il croit fermement qu’il ne peut aider quiconque, ni être aidé, parcourez «Concept Aide»: «Aie l’idée d’aider.» «Aie l’idée de ne pas aider.» Si le pc est hors de contrôle, vous devriez parcourir les CCHs; donc ne parcourez pas SCS ou 8-C à ce stade. Au cours de la discussion au sujet de la communication, essayez d’obtenir que le pc crache ses O/W, juste pour vider son sac. Ce sera un grand soulagement, mais ne les parcourez pas. À ce stade, le facteur intérêt devrait monter et vous êtes prêt à faire une Séance Modèle. Utilisez les O/W [Actes néfastes/Retenues] sur l’Aide par rapport à une Rupture d’ARC avec l’auditeur, ou si ceci est trop difficile pour le pc, décoincez-le avec: «Rappelle-toi avoir essayé de m’aider.» Faites un Assessement par les Dynamiques et prenez un terminal chaud très réel pour le pc et parcourez les O/W sur l’Aide. Si l’aiguille est très collante, commencez par une Aide Réciproque et la Fourchette à cinq voies pour la libérer. Les mêmes règles s’appliquent au parcours des O/W sur l’Aide que celles qui s’appliquent aux O/W et la responsabilité. Ainsi, si le pc n’a plus de réponses sur un terminal spécifique, passez à la forme générale de ce terminal et continuez. Maintenez l’Havingness élevé, au ratio d’au moins une demi-heure toutes les heures et demi d’O/W sur l’Aide. Parcourez chaque terminal contacté jusqu’à une Aiguille Nulle. Vous avez la définition d’une Aiguille Nulle. Assurez-vous qu’il s’agit bien d’une Aiguille Nulle. Nous attendons avec impatience de connaître vos succès; faites-le nous savoir s’il vous plaît. Tout ce que vous avez appris sur l’Aide en tant qu’auditeur ou D of P serait apprécié et tout problème que vous rencontrez dans le maniement devrait être transmis immédiatement à Ron. Rosamond Harper – HCO Secrétaire Technique WW pour L. Ron Hubbard ​Les Procédés de Pré-séance De L. Ron Hubbard – Bulletin du 21 avril 1960 Vous êtes-vous jamais demandé comment persuader un étranger de se faire auditer? Vous est-il jamais arrivé de devoir «vendre» la Scientologie à un membre hostile de la famille avant de pouvoir auditer quelqu'un? Avez-vous jamais eu du mal à auditer quelqu'un? Eh bien, vous serez heureux d'apprendre que ces problèmes ont été vaincus grâce à quelques matériaux que j'ai développés. Vous voyez, je pense à vous! Les Procédés de Pré-Séance sont une idée nouvelle. J'y faisais allusion dans le Bulletin du HCO du 7 avril 1960. Mais il existe d'autres données à ce sujet. Un Procédé de Pré-Séance est un procédé destiné à mettre en séance: (a) un étranger qui ne reçoit pas bien; (b) une personne hostile à la Scientologie; (c) une personne qui se met facilement en Rupture d’ARC pendant les séances; (d) une personne qui fait peu de gains pendant les séances; (e) une personne qui rechute après avoir été aidée; (f) une personne qui ne fait pas de gains en audition; (g) une personne qui, après avoir été auditée, ne veut plus se faire auditer. (h) Ou bien on les administre à haute voix ou en silence, comme vérification avant la séance, à toute personne.qu'on audite. Les Procédés de Pré-Séance ont autant d'importance que l'audition des personnes inconscientes. Cependant, je pense qu'on peut les employer à plus grande échelle, qu'ils favoriseront énormément la dissémination et qu'ils amélioreront les graphiques. Ces procédés sont au nombre de quatre. Chacun constitue une classe de procédés qui résout chacun des quatre points suivants : 1. Le facteur aide, 2. Le facteur contrôle, 3. Le facteur communication du pc, 4. Le facteur intérêt. Si ces quatre points ne sont pas présents en séance, il y a peu de chances, dans un bon nombre de cas, pour qu'il y ait le moindre gain réel, durable. Ce n'est pas nouveau. Ce qui est nouveau, c'est le fait de les considérer comme des facteurs de Pré-Séance. On ne peut pas vraiment auditer une Séance Modèle ou n'importe quelle séance avant d'avoir un pc en séance. Le problème qu'on rencontre d'habitude, c'est de démarrer une séance et d'essayer ensuite de démarrer cette séance en mettant le pc en séance. C'est un problème de longue date et il amène des auditeurs à auditer des procédés comme les CCHs quand ils pourraient auditer des procédés plus élevés. Les CCHs sont souvent nécessaires, mais pas avec un pc qu'on pourrait mettre en séance facilement et auditer ensuite sur des procédés de Niveau Supérieur avec des gains plus rapides. La seule chose que cela change dans une Séance Modèle (Bulletin du HCO du 25 février 1960), c'est le Démarrage. Si un pc est dans la pièce d'audition et qu'on va l'auditer, on démarre, pas Ton 40, mais formel: «Nous allons commencer l'audition.» Puis l'auditeur prend sa checklist et énonce rapidement les points, 1, 2, 3, 4, de la Pré-Séance, puis, si tout va bien, il attaque les Rudiments et poursuit avec la Séance Modèle. Naturellement, s'il veut mettre le pc en séance avec des Procédés de Pré-Séance et qu'il donne au pc un: «C'est la séance» Ton 40 une fois que le pc est en séance, le pc est surpris. Quand un pc marche extrêmement bien et qu'il a des gains rapides, on l'observe en silence au début de la séance, puis on donne un: «C'est la séance» Ton 40 comme dans la Séance Modèle, et on passe tout de suite aux Rudiments. Mais on ne fait cela que lorsque le pc progresse vraiment bien. Lorsqu'on a affaire à un nouveau pc ou à un pc nouveau pour l'auditeur, on lui donne une Pré-Séance comme ci-dessus pendant pas mal de séances. Il peut arriver, lors d'une séance de type Pré-Séance, que l'auditeur n'arrive pas plus loin que les deux premiers des quatre points de Pré-Séance avant la fin de la séance. Dans ce cas, il met fin à la séance en douceur avec un Procédé de Localisation, en mettant l'attention du pc sur la pièce, et il termine la séance en disant simplement que la séance est terminée. Bien qu'on puisse développer beaucoup de procédés sur l'aide, le contrôle, la communication et l'intérêt, il est certain que ces quatre classes resteront stables, étant donné que ces quatre points sont vitaux pour l'audition et n'impliquent aucun tort chez le pc. Tous les autres facteurs connus de la vie et du mental peuvent être résolus et améliorés avec une séance. Mais ces quatre-là, l'aide, le contrôle, la communication et l'intérêt, sont vitaux pour l'audition et sans eux l'audition ne peut avoir lieu. Chez chaque pc qui ne supportait pas l'audition, qui avait des gains médiocres ou qui ne terminait pas son audition, l'un de ces quatre facteurs ou plus clochait. Alors vous voyez que cela fait pas mal de pcs et que les Procédés de Pré-Séance sont un remède important. Pourquoi commettre à nouveau la même erreur? L'une de mes tâches consiste à améliorer les résultats de l'audition. Il se peut, vous le découvrirez peut-être, qu'il s'agisse là de l'étape la plus importante, dans cette direction, depuis le Livre Un, étant donné qu'elle comprend tous les facteurs. L'auditeur peut causer l'aide, le contrôle, la communication et l'intérêt, au lieu d'attendre qu'ils tombent du ciel. Ces quatre facteurs, en tant que tels, sont pratiquement des massues. Je préférerais presque ne pas vous donner de procédés pour ces quatre conditions. Je désire, c'est certain, vous laisser libres de les observer, de les comprendre et de les employer. Quel art formidable pourrait émerger de cet innocent quartet scientifique! Je préférerais que vous vous en serviez comme un maestro, au lieu de jouer de la musique de partitions. Quelle adresse, quelle ingéniosité, quelle subtilité pourrions-nous déployer, avec ces quatre facteurs! En voici un exemple, et vous verrez ce que je veux dire : Un vendeur de voitures grincheux. Il sait que tout ce que lui dit son ami Pierre, qui est Scientologue, c'est des foutaises. Il déteste les gens. Le Scientologue s'approche. Il raille Pierre de son enthousiasme. Le Scientologue aborde l'aide. «Tu ne penses pas que les gens peuvent être aidés?» Argument facile, juste glissé comme ça. Le vendeur de voitures gagne en perdant totalement. Il concède que quelque chose ou quelqu'un pourrait l'aider. Un autre jour. Le Scientologue s'approche. Il dit au vendeur de voitures de se déplacer ici et là, de faire ceci et cela, en faisant semblant de s'intéresser aux voitures. C'est ni plus ni moins du 8-C. Juste comme ça. Le vendeur de voitures gagne de nouveau en perdant. Un autre jour. Le Scientologue prend un sujet de communication avec le vendeur de voitures. Finalement, le vendeur de voitures concède qu'il ne voit aucun inconvénient à parler de ses affaires louches. Il le fait. Le vendeur de voitures gagne et le Scientologue aussi. Un autre jour. Le Scientologue amène le vendeur de voitures à voir des images ou du noir, en douceur, par la conversation. Le vendeur de voitures commence à s'intéresser et se dit qu'il pourrait faire quelque chose pour ses pieds plats. Résultat négatif : un râleur de moins. Résultat positif : un pc de plus. Quelle que soit la manière dont vous vous y preniez, il faut que le redoutable quartet soit présent avant que l'audition puisse avoir lieu, ou avant même que l'intérêt pour la Scientologie puisse exister. Parlez de John Wellington Wells. Le Scientologue peut tisser des charmes encore plus magiques avec l'aide, le contrôle, la communication et l'intérêt. Parlez à un nouveau club. De quoi? De l'aide, bien sûr. Amenez les gens à être d'accord sur le fait qu'ils pourraient aider ou être aidés. Et quand ils vous demandent de revenir, parlez du contrôle positif et du contrôle négatif. Et quand ils vous redemandent, c'est sur la communication que vous mettez l'accent. Et bien sûr, quand vous parlez de ça, vous avez des gens prêts à s'intéresser. En Scientologie, tout le monde gagne. C'est le seul jeu où tout le monde gagne. Avec ces quatre facteurs, vous ne pouvez pas perdre, et eux non plus. En tant que Scientologue, vous connaissez plusieurs procédés pour chaque facteur. L'important, c'est de les établir, un par un, à tour de rôle. Ah, vous allez avoir un choc avec certain pc, quand vous découvrirez qu'il n'était même pas intéressé par son propre cas! Il se faisait auditer pour sa femme! Vous ne découvrirez cela que lorsque vous aurez d'abord aplani les trois facteurs précédents. ​ Les Procédés En ce qui concerne les procédés, vous avez pour l'aide, la Communication Réciproque à propos de l'aide, l'aide dans les deux sens, l'aide en fourchettes (brackets, ndt), les dichotomies «peut aider – ne peut pas aider», l'échelle progressive concernant l'aide, de nombreuses formes de procédés. Pour le contrôle, vous avez la Communication Réciproque, le TR 5 (Tu fais asseoir ce corps sur cette chaise), le CCH 2, le vieux 8-C, le SCS (start-change-stop, mettre en route-changer-arrêter, Ndt) sur un objet, le SCS, etc, etc. En ce qui concerne la communication, vous avez la Communication Réciproque : «Rappelle-toi un moment où tu communiquais», mais, encore plus fondamental, la Communication Réciproque pour tirer les Actes Néfastes, les O/Ws par rapport à l'auditeur, «Pense à quelque chose que tu as fait à quelqu'un», «Pense à quelque chose que tu as retenu par rapport à quelqu'un», avec, de temps en temps, «Y a-t-il quelque chose que tu aimerais me dire?» lorsque l'électromètre réagit. Il n'y a rien de tel, pour favoriser la communication, que l'élimination des Actes Néfastes de base qui empêcheraient le pc d'être en séance et d'être en ARC avec l'auditeur. C'est là l'intérêt de cette étape, qu'on la fasse comme ça, dans un salon, ou qu'on la fasse dans une pièce d'audition. «Quand-même, Madame Macheprau, vous n'allez pas me dire que, contrairement au reste de l'humanité, vous n'avez jamais rien fait de mal de votre vie!» Eh bien, c'est une façon de mettre un cas en pièces lors d'un dîner en société. L'intérêt constitue le facteur où votre connaissance du mental joue un rôle important. Mais remarquez qu'il s'agit du point 4. Combien de fois l'avons-nous employé en premier et avons-nous échoué! C'est parce que le point un correct manquait, sans parler du second et du troisième! Je vous vois maintenant en train d'essayer d'intéresser un membre de la famille avec le point quatre sans établir les trois premiers. Eh bien, moi aussi, je l'ai fait, comme vous. Une nuit, j'ai audité une autorité d'un gouvernement après un dîner, pendant deux heures, sans résultat. Il savait qu'il avait été sur-audité. Mais les résultats n'étaient sûrement pas étincelants. Maintenant, je m'en souviens nettement et avec honte, son idée de l'aide, je ne l'avais pas détecté, c'était d'éliminer la race humaine tout entière! Les premières étapes de OT-3A éveilleront l'intérêt de presque tout le monde. Même les Cinq Noirs (Black Fives, ndt) seront confondus, lorsqu'ils verront dans quel état sont leurs rappels. ​Et après? Ensuite, vous suivez un gradient de gains. Trouvez quelque chose que le pc peut faire et améliorez-le. Quand vous en avez fini avec le redoutable quartet, les quatre points, vous avez les Rudiments, et ils doivent concerner des faits, non du bla-bla. Après les quatre points, vous améliorez le cas suivant des gradients. Et vous maintenez les quatre points bien en place. ​ Sommaire Même s'il vous faut une centaine d'heures pour établir les quatre points indispensables à l'audition, vous gagnerez plus vite, parce que vous gagnerez. S'il vous suffit de deux heures la première fois que vous les faites avec un pc, estimez-vous heureux. Soyez consciencieux. Etablissez les quatre points. Servez-vous de la Séance Modèle. Au cours du processing, trouvez quelque chose dont le pc sait qu'il peut le faire, et améliorez cette aptitude. Et vous aurez des Clairs. Et si vous vous servez du redoutable quartet aussi adroitement et aussi souplement que je le prévois, nous en aurons terminé avec cette planète et nous explorerons les étoiles avant d'être trop vieux. Nous avons enfin créé l'arme fondamentale de la dissémination et du processing scientologiques, arme qui nous rend bien plus efficaces sur Terre qu'un tas de politiciens radoteurs qui se frottent les mains près d'une ogive nucléaire. Ils ont intérêt à mesurer leurs abattis. Mais ne leur dites pas. Contentez-vous d'auditer : (1) l'aide, (2) le contrôle; (3) la communication et (4) l'intérêt. Maintenant, attaquez-vous à quelqu'un qui ne croyait pas à la Scientologie; servez-vous du redoutable quartet. Et gagnez! L. RON HUBBARD Chers Amis, «Vous êtes-vous jamais demandé comment persuader un étranger de se faire auditer? Vous est-il jamais arrivé de devoir «vendre» la Scientologie à un membre hostile de la famille avant de pouvoir auditer quelqu'un? Avez-vous jamais eu du mal à auditer quelqu'un? «Eh bien, vous serez heureux d'apprendre que ces problèmes ont été vaincus grâce à quelques matériaux que j'ai développés. Vous voyez, je pense à vous!...» Maintenant, ce qui précède sont les mots de Ron dans le HCOB du 21 avril 1960 «Procédé de Pré-séance» et constitue le fondement sur lequel les bulletins «Appel à tous les Auditeurs» ont été écrits. Vous trouverez plus haut, justement ce même HCOB ainsi que celui du 26 mai 1960 «Appel à tous les auditeurs concernant l'aide». D'ailleurs, le HCOB du 21 avril 1960 «Les Procédés de Pré-séance» se trouve sur le Cours des «Eléments de la Vie», aussi appelé HQS. Avec mes meilleures amitiés. Max Hauri Si vous parlez le Russe, et pouvez parfois suivre certaines traductions en anglais, regardez le film du Rapport de Camp d'entraînement spécial des Auditeurs Classe 8 – Ron’ s Org «Hiver 2024» – Scientologie accessible https://www.youtube.com/watch?v=GVWHv1Wt_J

  • Appel à tous les Auditeurs - 2

    Introduction: Appel à tous les auditeurs - 2: L'aide est importante. Ron a beaucoup parlé et écrit à ce sujet. Une personne est-elle disposée et capable d'aider? Et est-elle prête à recevoir de l'aide? Découvrez à quel point ce sujet peut être chargé. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous, ainsi qu'une lettre de succès suite au Cours d'Auditeur Classe VIII (en vert). ​ Appel à tous les Auditeurs - 2 Bulletin du 10 Mai 1960 C’est la deuxième semaine de notre sondage mondial sur les résultats de l’audition et il devient immédiatement évident que notre idée de la préséance n’est pas celle de Ron. Voyons donc ce que nous devrions faire. Demandez au préclair ce qu’il entend par «Aider». Habituellement, il répond : «Secourir ou assister à – bien aider quelqu’un à faire quelque chose qu’il veut faire, assister quelque chose ou quelqu’un en direction de la survie». Cela semble normal – après tout, la survie est l’objectif fondamental de tous les êtres vivants. Nous faisons donc une communication réciproque et nous obtenons les idées du pc [préclair] et sa compréhension de l’aide, puis nous établissons un pont avec le procédé d’aide réciproque. Il s’agira d’un pc inhabituel dont l’aiguille n’est pas collante, mais au bout d’un certain temps, elle se libère un peu et le flux a commencé. Faites le pont avec la Fourchette à 5 voies et observez votre pc s’y mettre vraiment. Parcourez ceci aussi longtemps que vous le jugez nécessaire, puis passez à la question suivante: «Quel problème l’aide pourrait-elle vous poser» ou «Quel problème l’aide vous a-t-elle posé?» Le pc peut cesser d’être factuel dans le premier cas et commencer à inventer. Plusieurs choses se produiront. Le pc découvre l’aide comme une interférence, comme un mécanisme de contrôle de la part des parents, des enseignants et des adultes en général; ou comme un frein à ses efforts pour apprendre par lui-même. Il sait que «l’aide» est quelque chose qu’il faut éviter à tout prix – il ne fait pas confiance à l’aide. En bref, «l’aide» est une trahison. D’accord – d’accord, vous avez commencé, aidez-le à s’en sortir, ne l’abandonnez pas au point critique. Continuez avec «aide», parcourez-la jusqu’à ce que l’aiguille ne tremble plus, quel que soit le terminal mentionné par le pc: Tante Joséphine, son directeur détesté, le petit Ollie ou l’homme d’à côté, et c’est seulement à ce moment-là que l’on peut quitter l’aide sans risque et passer au bouton suivant. Le monde a besoin d’aide – les gens ne le font plus guère. Non seulement ils ont souvent peur de demander de l’aide – ils ont aussi peur d’en recevoir. Hier, j’ai raté mon bus de deux minutes. L’alternative pour ne pas arriver en retard au travail était de me faire déposer. Les voitures m’ont complètement ignoré les unes après les autres, tandis que je continuais de marcher. Je me suis donc arrêté et j’ai demandé qu’on m’emmène, même résultat. Dix voitures sont passées – vides. La onzième s’est arrêtée. «Je suis content que vous ayez demandé» dit-il les gens sont trop inhibés de nos jours» – «Vous pensez que nous avons oublié comment aider?» Quand je vois des gens qui attendent debout aux arrêts de bus, j’ai souvent envie de m’arrêter, mais je sais qu’ils refuseront probablement, alors je ne le fais pas. Qu’est-ce qui arrête le flux de la vie? Nous ne sommes pas des millions d’êtres complètement séparés et indépendants les uns des autres, loin de là. Nos véritables pensées et actions affectent quelqu’un, nous vivons tous ensemble sur cette planète, mutuellement interdépendants tout au long des dynamiques, et c’est seulement en aidant les gens à réaliser ceci par eux-mêmes que nous pourrons marcher sur la route vers «l’état de Clair». Finissons-en donc des rapports disant: «Parcouru la préséance pendant 1 ½ heure, tous les boutons sont aplanis.» «Préséance terminée en 15 minutes.» «Tous les boutons de la communication réciproque en ½ heure.» Non, faites ce que Ron dit – Parcourez l’aide jusqu’à ce qu’elle soit aplanie. Rosamond Harper – Secrétaire Technique WW pour L. Ron Hubbard Lettre de succès d'Oleg sur le Cours de Classe VIII C’est très difficile de trouver des mots pour décrire le cours lui-même. Il y a eu beaucoup d’informations auparavant sur la raison d’être de ce cours et les avantages qu’il offre! Ce cours ne ressemble à aucun autre cours que j’ai suivi auparavant. Oui, il y a une feuille de contrôle, un pack de cours, des matériaux supplémentaires, tout ce à quoi nous sommes habitués. Mais la structure, la connexion des matériaux et la façon dont il a été organisé chaque jour en un système cohérent nous ont surpris et satisfaits à la fois. La première chose qui nous a frappés sont les conférences que nous avons étudiées avant le cours proprement dit! Le sens du mot «standard» s’est peu à peu enraciné parmi les nombreuses données que nous avons étudiées. Plus tard, les documents eux-mêmes sont devenus un terrain propice, constituant une image cohérente logique de l’approche des résolutions de cas. Tout s’est alors construit autour de l’essentiel, du noyau principal de la technologie! Les informations se sont simplement complétées les unes les autres, enracinant la logique et la fondation de toutes les théories étudiées précédemment. En l’espace de quelques jours, littéralement, les réflexions sur les «cas et approches particuliers» et les «exceptions aux règles» ont complètement disparu! Tout se résume à un seul standard, à une seule approche commune, sans spéculation ni variation. Les matériaux du cours ressemblent à une pyramide sur laquelle on place chaque jour des anneaux de tailles différentes. Au sommet de cette pyramide se trouvent les axiomes! Et vous pouvez regarder les cas à partir de différentes positions et différents niveaux, mais ils auront toujours une connexion avec le centre de la pyramide. Déjà durant le cours, je changeais ma façon de travailler en supervisant les cas, en prenant des notes et en les transmettant aux auditeurs. Il y avait des zones entières qui avaient besoin d’être ré-entraînées ou rafraîchies. Ce qui m’a amené à planifier les cours de notre Division de Qualification pour cette année. Le changement de la supervision des cas a été immédiatement perceptible, dès la phase d’apprentissage du cours. Nous avons procédé à des révisions dans des zones telles que la préparation des cas, les réparations de vie, les réparations, les réhabilitations, les confessionnaux, le Fil Direct et tous les styles d’audition, et bien d’autres choses encore. C’est une petite révolution, mais j’essaie de la faire progressivement. Le moral du personnel s’est nettement amélioré! Le ton général du groupe s’est grandement amélioré! Et surtout, d’une manière très étrange, de nouvelles personnes ont commencé à venir nous voir, comme si une autre porte de l’organisation s’était ouverte à nous. Il est difficile de vous dire combien de données j’ai revues! Pendant toute la durée du cours, j’ai consigné mes notes avec diligence, remplissant trois pages de petits caractères méticuleusement écrits. Un grand merci aux traducteurs qui ont réussi à traduire l’énorme quantité de matériaux des années 60 et les corrections apportées au matériaux déjà traduits. Un travail inestimable! L’administration et l’éthique du groupe ont changé. C’est comme si le personnel avait reçu plus de confiance, de motivation et de sens pour ce que nous faisons depuis des décennies. L’approche de nombreuses questions organisationnelles a changé et, surtout, une sérénité s’est installée dans la gestion de nombreuses situations. J’ai rêvé qu’un jour j’assisterais au Classe VIII. Et bien, c’est devenu réalité! J’ai encore du mal à y croire! Un grand merci à Max Hauri pour avoir fait en sorte que cela se produise! Plus qu’un miracle; on ne peut pas dire que ce soit un miracle, c’est supérieur. Rassembler tout les matériaux est un travail formidable de plusieurs années!!! Je tiens également à remercier Vadim Zudeev et tout le personnel administratif qui ont aidé à rassembler les Superviseurs de Cas et les Auditeurs de nombreuses organisations et à organiser notre formation dans un endroit magnifique! Egalement à tous les participants, mes collègues, un grand merci! Vous êtes des gens formidables! Cette formation était et devait être dans cet environnement! Nous nous sommes rassemblés et nous sommes devenus plus grands! Inoubliable, convivial, amusant, énergique, s’aidant les uns les autres dans tous les domaines en tant qu’équipe! La supervision d’Erica et de Max était de premier ordre! Gratitude et honneur infinis pour ce camp et tous les étudiants!!! Et un grand coup de chapeau à L. Ron Hubbard pour le diamant qu’est le Cours de Classe VIII avec lequel il a standardisé tout ce qui a été créé auparavant! Meilleures amitiés, Oleg Eremenko – Ron’s Org «Ability» – Rostov – Russie – 2024 Chers Amis, L’aide est une chose importante. Ron a beaucoup parlé et écrit à ce sujet. Est-ce qu’une personne veut et peut aider? Ne pas vouloir est une chose, mais aider peut aussi avoir l’effet inverse, ce qui est alors préjudiciable. Toutes ces implications – et il y en a beaucoup – peuvent rendre le sujet très chargé, et doivent être auditées dans tous les cas. Car l’aspect le plus important de tous est le suivant: la personne, en tant que Pc, permet-elle de se faire aider? Un critère important qui passe souvent inaperçu. Plus d'informations dans le bulletin en annexe, ci-dessus. Lisez les gains d'Oleg Eremenko – C/S et CO de la Ron's Org «Ability» à Rostov, Russie. Meilleures amitiés, Max Hauri

  • Appel à tous les Auditeurs

    Introduction: Ceci est un appel à tous les auditeurs! Nous avons les outils – Ron y a veillé. Nous avons les auditeurs – nous avons les préclairs. Qu’est-ce qui nous empêche donc de produire des Clairs plus rapidement que nous le faisons? Écoutez bien – Rien ne peut résister à la procédure actuelle. C’est simple. Il suffit de lire, d’aborder, de comprendre et d’utiliser les outils qu’il vous a donnés. Utilisez-les. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Appel à tous les Auditeurs Bulletin du 3 mai 1960 Une enquête mondiale des résultats d’audition est actuellement en cours afin de nous permettre d’isoler les facteurs qui empêchent d’obtenir des gains optimaux. Nous avons les outils – Ron y a veillé. Nous avons les auditeurs – nous avons les préclairs. Qu’est-ce qui nous empêche donc de produire des Clairs plus rapidement que nous le faisons? La procédure de préséance – OT 3A – Séance Modèle, tout est là. Nous savons ce qui fait tiquer l’homo sapiens – nous savons comment et pourquoi il se ralentit et réduit ses aptitudes, et nous savons ce qu’il faut faire et comment le faire. De quoi s’agit-il? Deux points ressortent déjà: a. Les auditeurs ne mettent pas leurs pcs en séance. b. Et une fois en séance – les auditeurs n’aplanissent pas les procédés. Un grand nombre de pcs «savent» que l’aide n’existe pas. Il faut donc parcourir l’aide, la communication réciproque, l’aide réciproque, la fourchette à cinq voies, jusqu’à ce que l’aiguille bloquée se relâche, et ensuite, seulement ensuite, continuer avec le contrôle. Une fois de plus, faites-ceci jusqu’à ce que l’aiguille se relâche – mettez votre pc sur l’électromètre avant de parcourir «Vous faites ce corps», etc., et testez-le pour une aiguille lâche à la fin du procédé – Aiguille bloquée? Allez-y avec «Faites que ce corps s’assoie sur cette chaise.» Donc est-il en communication avec vous ou affirme-t-il qu’il l’est? Parcourez «Pensez à quelque chose que vous avez fait à quelqu’un» «Pensez à quelque chose que vous avez retenu de quelqu’un», O/W [Actes néfastes et Retenues] en Communication réciproque avec l’auditeur – tout ce qui peut lui permettre de se débarrasser des overts [actes néfastes] qui empêche une communication libre avec vous. De nouveau une aiguille lâche et une langue bien pendue vont de pair. Obtenez que l’affinité soit élevée – il vous fera confiance. Si ces points sont respectés, il ne reste plus qu’un élément essentiel. S’intéresse-t-il à son propre cas? Parlez-lui, demandez-lui de vous faire part de ses perplexités, de ses espoirs, de ses victoires et de ses défaites – il sera intéressé. En effet, il est en séance, et une fois que c’est fait, il est en route vers Clair. À ce stade, il convient de prêter attention au point b) ci-dessus. Aplanissez ces procédés et vous verrez l’échelle graduelle des gains qu’il obtiendra – la confiance croissante qu’il trouvera dans la gestion de son bank, la raison pour laquelle le simple redressement de la piste de sa vie fera un miracle. Écoutez bien – Rien ne peut résister à la procédure actuelle. Regardez les résultats obtenus par certains auditeurs. Ils attribuent leurs succès au fait qu’ils suivent à la lettre les instructions de Ron. Pourquoi ne faisons-nous pas tous cela? C’est simple. Il suffit de lire, d’aborder, de comprendre et d’utiliser les outils qu’il vous a donnés. Utilisez-les. Il y a deux jours, nous avons eu connaissance du cas d’un homme qui, pendant dix ans, ne s’était pas éloigné de plus d’un mile de son domicile et qui, pris de panique, en était réduit à frôler l’aliénation mentale. Il a dépensé 200 livres sterling en «traitement» d’électro-chocs, un séjour dans un centre psychiatrique, 500 dollars dépensés en auditions médiocres, et il tremblait toujours de peur à l’idée du monde extérieur. Il a tout essayé, l’alcool pour engourdir sa terreur, les drogues pour le «stabiliser», la volonté de l’obliger à faire face. En vain. Sa femme était désespérée, sa famille a abandonné. Un auditeur disposant des données les plus récentes s’est présenté et, après environ quatre heures de procédure de préséance – trois heures d’OT 3A étapes 1 et 2 – quatre heures de travail d’O/W sur sa femme, aplani par la responsabilité et cinq heures passées à parcourir et à aplanir sa dernière mort en tant que soldat de la Première Guerre mondiale, il prit le thé, s’est égayé et est parti pour une promenade en voiture de 25 miles avec une femme dont les yeux s’écarquillaient d’étonnement au fur et à mesure que les miles passaient. Peur de la mort? «C’est un peu comme acheter une nouvelle voiture,» a-t-il remarqué «c’est comme avoir un nouveau corps.» Mais cela aurait-il été possible sans préséance? Jamais. Faites donc venir ce préclair en séance, redressez sa piste du temps. Réduisez ces overts et aplanissez, mais aplanissez avec la Responsabilité un terminal brûlant de la vie présente et vous changerez tout son modèle de comportement. Rien ne vous arrête. Au risque de me répéter, il n’y a rien, absolument rien, qui puisse empêcher un pc de faire des gains phénoménaux, une fois qu’il est en séance, excepté votre audition. Aplanissez son PTP, n’auditez pas sur une rupture d’ARC et continuez à aplanir chaque procédé que vous parcourez et vous devez gagner. Rosamond Harper, Secrétaire Technique WW pour L. Ron Hubbard Chers Amis, J’ai trouvé une série d’anciens HCOB, non écrits par Ron, mais par Rosamond Harper, Secrétaire Technique WW. Il s’agit en fait d’une lettre de succès de l’époque, qui montre ce qui peut être accompli grâce à l’audition, et ce que vous pouvez faire vous aussi. Chacun d’entre nous peut le faire.Nous formons des auditeurs! Dans ce monde de fous, c’est la meilleure chose à faire! Le «Fil Direct – Un manuel de travail» – est une excellente base pour cela. Prix: CHF 20.– Voici une interview avec Erica, Daniela et Max: https://youtu.be/wrmWRqZn4hg Avec mes meilleures amitiés. Max Hauri

  • Moral

    Introduction: Le moral est défini comme «un sens de l’objectif commun ou un degré de dévouement à une tâche commune, considéré comme caractéristique ou dominante d’un groupe ou d’une organisation particulière». Moral – Lettre de Règlement du 16 avril 1970 – Publication I de L. Ron Hubbard Le moral est défini comme «un sens de l’objectif commun ou un degré de dévouement à une tâche commune, considéré comme caractéristique ou dominante d’un groupe ou d’une organisation particulière». Également défini comme «l’attitude confiante, résolue, volontaire, souvent pleine d’abnégation et de courage d’un individu face à la fonction ou aux tâches exigées ou attendues de lui par un groupe dont il fait partie, qui repose sur des facteurs tels que la fierté des réalisations et des objectifs du groupe, la foi en ses dirigeants et en son succès final, le sentiment d’une participation personnelle fructueuse à son travail et le dévouement et la loyauté envers les autres membres du groupe ». Également «un état de bien-être et d’équilibre fondé sur des facteurs tels que le bien-être physique ou mental, le sentiment d’avoir un but et d’être utile, et la confiance en l’avenir». Au sens militaire, le moral s’applique à l’ensemble du groupe, comme dans l’expression «Esprit de Corps». Cependant, le moral d’un groupe est après tout le résultat cumulatif du moral de chacun de ses membres. Lorsque l’on parle de «mauvais moral», il peut s’agir du mauvais moral d’un individu ou de celui d’un groupe entier. En s’occupant du moral de chaque individu, on peut améliorer le moral de l’ensemble du groupe. En travaillant sur le moral du groupe, on peut également changer le moral des individus qui le composent. Les succès tendent à augmenter le moral des troupes. Les échecs tendent à le diminuer. Le moral est sujet aux attaques de propagande qui introduisent de fausses données dans un groupe. C’est la réalité qui permet le mieux d’avoir un bon moral. Le fait de restreindre l’accès à des nouvelles peu recommandables peut nuire au moral en éliminant le facteur de Réalité. De même, une fausse validation peut nuire au moral du groupe car le facteur de Réalité est corrompu. «L’expertise» des groupes militaires en matière de «gestion du moral» est dans une large mesure sans valeur, lorsqu’elle viole les facteurs de Réalité. Une expérience grave ou brutale ne détruit pas nécessairement le moral du groupe. J’ai observé qu’il n’y avait pas de groupe, et encore moins de moral, dans les unités de combat avant qu’elles n’aient eu en commun une expérience difficile. Les groupes au moral le plus élevé dans le monde ont été ceux dont le lot commun était une expérience mutuelle difficile. (Marines des États-Unis, Légion étrangère, etc.). Le moral n’est pas une proposition tout sucre tout miel. Tenir la main et la sympathie peuvent détruire le moral si cela diminue la solidarité du groupe ou compromet la croyance en ses dirigeants. La Réalité est le facteur vital dans tous les problèmes de moral. Six mois ou même un an avant une catastrophe opérationnelle ou fonctionnelle, il aurait été possible de détecter un manque de moral dans certains domaines. Ces zones de mauvais moral qui perdurent, ont précédé une perturbation générale ou une perte grave pour l’ensemble du groupe. Si de petites zones de démoralisation sont détectées et réparées lorsqu’elles se produisent, le groupe peut être épargné par de futures perturbations de grande ampleur. La réparation du moral individuel est possible dans le domaine de la technologie et de l’éthique scientologiques. La gestion du moral du groupe se fait dans le domaine de la réalisation des objectifs selon la ligne de conduite convenue du groupe et dans la sphère des relations sociales du groupe. Si une organisation dispose d’un chapelain qui maîtrise parfaitement le sujet du moral, ses définitions et sa technologie, et s’il travaille de manière factuelle et avec succès, les catastrophes de groupe seront évitées. L’absence de cette fonction peut être très destructrice pour un groupe. L’accomplissement réussi de cette fonction peut être la source du succès du groupe. Les compétences en technologie scientologique, en fonctions organisationnelles du groupe et en relations publiques sont les exigences d’un bon Chapelain. L. Ron Hubbard

  • Pourquoi Clair est si important

    Introduction: Pourquoi Clair est si important: Faire une erreur n'est pas vraiment grave. Mais répéter une erreur à l'infini, c'est grave, et c'est encore pire quand on ne s'en souvient même pas. Lisez l'article en entier ci-dessous et réfléchissez-y. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Pourquoi Clair est si important Le Clair – Chapitre 2 de la Dianétique: la Science moderne de la Santé mentale de L. Ron Hubbard. Dianétiquement parlant, l’individu optimum s’appelle un Clair. Vous verrez souvent ce mot dans cet ouvrage, sous forme de nom ou d’adjectif; c’est pourquoi il n’est pas superflu que nous nous attardions, dès le début, à préciser exactement ce que nous entendons par un Clair, but de la procédure dianétique. Le Clair – ainsi qu’il est possible de l’établir par test – est débarrassé de toute psychose, névrose, compulsion et inhibition (toutes les aberrations) et ne possède aucune maladie autogène (créée de l’intérieur) ou psychosomatique. Le Clair ne possède aucune de ces maladies ou aberrations. On peut en faire la preuve. Des tests relatifs à son intelligence l’ont révélée bien supérieure à la normale. L’observation de ses activités montre qu’il poursuit l’existence avec vigueur et satisfaction. Par ailleurs, on peut arriver à cette démonstration par une méthode comparative. Il est possible de tester un névropathe affligé de dérangements psychosomatiques, pour constater l’existence de ces aberrations. On peut ensuite le traiter pour mettre au Clair ses maux et névroses. On peut finalement l’examiner et constater les résultats mentionnés plus haut. C’est une expérience qui a été réalisée mainte et mainte fois avec des résultats invariables. Il s’agit d’un véritable test de laboratoire: tous les individus possédant un système nerveux organiquement complet répondent de la même façon à la mise au Clair dianétique. En outre, le Clair possède des attributs fondamentaux et inhérents qui n’étaient pas toujours à sa disposition auparavant, et dont l’Homme ne soupçonnait pas l’existence, quand il ne se contentait pas de l’ignorer purement et simplement dans ses discussions relatives aux aptitudes et au comportement. Il y a d’abord la question des perceptions. Même les gens dits «normaux» ne voient pas toujours toutes les couleurs, n’entendent pas tous les sons, et n’utilisent pas de façon optimale leurs organes de l’odorat, du goût, du toucher et leurs sensations organiques. Il s’agit là des canaux essentiels qui nous mettent en communication avec le monde fini, que la majorité des gens reconnaissent comme la réalité. Il est intéressant de noter en passant que, si les observateurs d’autrefois ont soupçonné que l’individu aberrant devait faire face à la réalité pour retrouver son équilibre, ils ont omis d’en définir le modus faciendi. [modus faciendi ou modus operandi (mot latin): manière de faire, moyen, méthode utilisée.] Pour faire face à la réalité du présent, il faudrait, à coup sûr, être capable d’en faire l’expérience par le canal de ces lignes de communication les plus couramment utilisées par l’homme dans ses activités. Chaque perception humaine peut être rendue aberrante par des dérangements psychiques empêchant la sensation reçue de parvenir à la section analytique du système mental. Autrement dit, même si les mécanismes de perception des couleurs se trouvent en parfait état, certains circuits déformants peuvent modifier la couleur avant que la conscience ait la possibilité de percevoir l’objet. On constatera que la cécité aux couleurs est relative ou limitée, si bien que les couleurs paraissent moins brillantes, ternes, ou, à l’extrême, entièrement absentes. Nous connaissons tous des personnes pour qui des couleurs «voyantes» sont exécrables, et d’autres qui ne les trouvent pas assez «voyantes» pour les remarquer. Ces degrés divers de cécité aux couleurs n’ont pas été attribués à un facteur psychique, mais considérés de façon plus ou moins nébuleuse, comme une sorte d’état mental, à supposer qu’on y prêtât la moindre attention. Il y a des gens que les bruits dérangent; des gens pour qui, par exemple, le gémissement d’un violon correspond à une torture de l’ordre d’un clou enfoncé dans l’oreille; pour d’autres, cinquante violons jouant fortissimo agissent comme un calmant; d’autres, en présence d’un violon, ne manifestent qu’ennui et désintérêt; pour d’autres encore, un violon qui jouerait la mélodie la plus compliquée, ne laisserait qu’une impression de monotonie. Ces différences de perception auditive, ainsi que les déficiences relatives aux couleurs ou à la vision en général, ont été dites de nature inhérente ou attribuées à des malformations organiques, ou laissées complètement inexpliquées. D’une personne à l’autre, les sensations olfactives, tactiles, organiques, le sens de la douleur, de l’équilibre varient de façon surprenante. Faites-en l’expérience rapide auprès de vos amis; vous constaterez les différences énormes de perception pour un stimulus identique. L’un sent une dinde dans le four avec admiration, l’autre avec indifférente, et le troisième ne sent rien du tout. Et un autre vous soutiendra peut-être que la dinde rôtie sent exactement comme la brillantine – si l’on pousse l’exemple à l’extrême. Tant que nous n’avons pas de Clairs, ces différences demeurent obscures. Car, dans une large mesure, de telles différences qualitatives et quantitatives de perception sont dues à l’aberration. Vu les différences d’expériences passées agréables et de sensibilité intrinsèque, les Clairs seront différents les uns des autres, et l’activité d’un Clair n’aura rien de standard, de moyennement adapté, but terne et ennuyeux des doctrines passées. Le Clair réagit de façon optimale, compte tenu de son propre désir de réagir. De la mèche lente qui brûle lui semble toujours dangereuse, mais sans le rendre malade. Une dinde rôtie sent bon pour lui s’il a faim et aime la dinde, et, à ce moment-là, elle sent très, très bon. Des violons ne jouent pas un son unique; ils jouent des mélodies, ne causent pas de souffrance et sont appréciés au maximum si le Clair a du goût pour les violons; dans le cas contraire, il aimera les timbales, les saxophones ou, en vérité, selon son sentiment, il peut n’aimer aucune musique. En d’autres termes, il y a deux variables [grandeurs, aspects ou facteurs variables] en activité. L’une, la plus folle, est la variable causée par les aberrations. L’autre, tout à fait rationnelle et compréhensible, est produite par la personnalité. Ainsi les perceptions d’un individu aberrant (non mis au Clair) sont très différentes de celles d’un individu mis au Clair (non aberrant). Bien sûr, il y a aussi les différences dues aux organes de perception eux-mêmes et les erreurs occasionnées par eux. Certaines de ces erreurs, un minimum, sont organiques; des tympans crevés ne sont pas de bons mécanismes d’enregistrement du son. La majorité des erreurs de percepts (message des sens tels que vue, ouïe, odorat, etc.) dans la sphère organique est causée par des erreurs psychosomatiques. Des lunettes sont partout perchées sur le nez, même chez les enfants. On s’efforce de corriger par là un état que le corps à son tour s’applique à détériorer de nouveau. La vue, une fois arrivée au stade des lunettes – et non à cause des lunettes – se détériore encore en vertu du principe psychosomatique. C’est là une affirmation aussi catégorique que la loi d’après laquelle, si les pommes tombent des arbres, c’est qu’elles obéissent aux principes de la gravitation. L’un des moindres bénéfices que tire le Clair de sa mise au Clair, c’est que, si sa vue était autrefois mauvaise, elle s’améliorera de façon étonnante et recouvrera en temps voulu un niveau de performance optimum avec tant soit peu d’attention (loin de dresser les opticiens contre la Dianétique, voilà qui leur promet de bonnes affaires. On a vu des Clairs, vers la fin de l’audition, changer cinq fois de lunettes de façon presque consécutive pour suivre les modifications de leur vision – et de nombreux aberrés, mis au Clair sur le tard, se stabilisent visuellement à un niveau très proche de l’optimum). Chez l’aberré la vision se trouvait modifiée par les aberrations, sur une base organique, à tel point que l’organe lui-même ne fonctionnait pas à son régime maximum. Des tests répétés ont montré que l’éviction des aberrations amenait le corps à entreprendre un effort courageux de reconstruction presque parfaite. L’ouïe, de son côté, présente des variantes organiques considérables. Des dépôts de calcium, par exemple, peuvent faire «bourdonner» les oreilles de façon permanente. La disparition des aberrations permet au corps de se réadapter en direction d’un niveau optimum: les dépôts de calcium disparaissent et les oreilles cessent de bourdonner. Mais, indépendamment de ce cas bien spécifique, l’ouïe présente des variantes singulières sur le plan purement organique. Par la faute de l’organe ou des aberrations, l’ouïe peut s’hypertrophier ou s’atténuer au point qu’un individu pourra surprendre des bruits de pas au coin du pâté de maisons voisin de façon tout à fait courante, alors q ue l’autre n’entendr a pas une grosse caisse tambourinant à sa porte. Ces singulières différences de perceptions dues aux aberrations et difficultés psychosomatiques représentent la moindre des découvertes proposées. D’une personne à l’autre, l’aptitude mnémonique prése nte des variantes bien plus fantastiques. L’observation des Clairs et des aberrés a mis au jour un processus de mémorisation tout à fait nouveau, inhérent au système mental, mais insoupçonné jusque-là. Ce processus de mémorisation, sous son aspect le plus total, n’est à la disposition des aberrés que dans un nombre de cas limité. Chez un Clair, c’est chose standard. Bien entendu, nous ne prétendons pas ici que les savants du temps passé n’ont pas su regarder. Nous avons affaire à un sujet d’étude complètement nouveau et inexistant dans le passé, le Clair. Ce qu’un Clair peut aisément accomplir, très peu de gens, dans le passé, ont occasionnellement pu le réaliser en partie. En Dianétique, nous désignerons cette aptitude mentale intrinsèque, aptitude non acquise, par le terme technique de «retour». Le mot est employé avec le, sens qu’en donne le dictionnaire et, précisons-le, le mental possède cette aptitude de mémorisation de façon tout à fait normale: la personne peut «envoyer» une partie de son mental à un moment du passé, sur un plan mental ou à la fois mental et physique et refaire l’expérience des incidents qui ont eu lieu dans le passé avec les mêmes sensations et de la même façon qu’auparavant. Autrefois, une pratique connue sous le nom d’hypnotisme utilisait ce qu’on appelait la «régression» sur des sujets en état d’hypnose. L’hypnotiseur renvoyait le sujet, d’une façon ou d’une autre, dans une période de son passé. Il avait recours à des techniques de transe, à des drogues et à toute une technologie. Le sujet hypnotisé pouvait retourner «entièrement» à ce moment passé, si bien qu’il donnait l’impression d’avoir l’âge auquel il était retourné, et uniquement les facultés apparentes et souvenirs possédés à l’époque – c’est ce qu’on appelait la «revivification» (le fait de revivre). La régression était une technique grâce à laquelle une partie de l’individu restait dans le présent et une partie retournait dans le passé. Ces aptitudes mentales étaient considérées comme n’existant que chez les sujets hypnotisés et n’étaient utilisées qu’avec la technique de l’hypnose. Il s’agit là d’une très vieille pratique remontant à quelques milliers d’années et existant encore en Asie, comme elle existe, apparemment, depuis l’aub e des temps. Nous employons ici le terme de «retour» au lieu de «régression» parce qu’il s’agit de quelque chose de différent, et parce que la régression est un mot ambigu à la signification péjorative. Revivre est substitué à revivifier, en Dianétique, pour la simple raison qu’on n’y utilise pas de méthode hypnotique, comme on l’expliquera plus loin; on trouvera également une explication de l’hypnotisme. Le mental possède donc une autre aptitude mnémonique. Une partie du mental peut «retourner» même si la personne est bien éveillée, et refaire l’expérience complète d’incidents passés. Si vous voulez vérifier, essayez sur différentes personnes et trouvez-en une qui y parvienne aisément. A l’état de veille totale, elle peut «retourner» à certains moments de son passé. Elle ignorait sans doute l’existence de cette aptitude avant d’en avoir fait l’essai. Ou alors elle croyait que tout le monde pouvait en faire autant (genre de supposition qui nous a empêchés de découvrir tant de ces phénomènes). Elle peut retourner au moment où elle nageait et se sentir nager de nouveau en retrouvant toutes les sensations auditives, visuelles, olfactives, tactiles, gustatives, organiques, etc. Un monsieur «savant» passa un jour plusieurs heures à démontrer à son auditoire que le souvenir d’une sensation olfactive, par exemple, était impossible puisque «la neurologie avait prouvé que les nerfs olfactifs n’étaient pas reliés au Thalamus» [partie du cerveau considérée comme le principal centre de collecte, de commutation et d'intégration inconscient des perceptions sensorielles, où sont pré-triées les impulsions qui doivent parvenir à la conscience.]. Deux membres de l’auditoire lui firent remarquer qu’ils pouvaient retourner mais en dépit de cette preuve le monsieur «savant» continua à soutenir que le souvenir olfactif était impossible. Un contrôle parmi les membres de l’auditoire, sans tenir compte de la question du retour, révéla que la moitié des personnes présentes se rappelaient les sensations olfactives en sentant de nouveau les odeurs. Le retour est le souvenir par images, dans son sens le plus total. La mémoire tout entière est capable d’amener les régions sensorielles à ressentir les impressions d’un événement passé. Le retour partiel est chose courante, pas assez courante pour qu’on le considère comme normal; mais, à coup sûr, assez courante pour que nous l’ayons étudié avec attention, car il varie énormément d’un individu à l’autre. Percevoir le présent serait une façon de faire face à la réalité. Mais si l’on est incapable de faire face à la réalité du passé, on se refuse à confronter par là même une fraction de réalité. Et si l’on considère comme souhaitable l’aptitude à «voir la réalité en face», il faut être capable de voir aussi bien la réalité passée pour être considéré comme complètement équilibré selon les normes actuelles. Or, pour «voir en face la réalité d’hier», il faut posséder une certaine aptitude au souvenir. Mais combien avons-nous de façons de nous souvenir ? Il y a d’abord le retour. C’est là quelque chose de nouveau. C’est une méthode qui permet d’examiner les images animées et autres perceptions sensorielles complètes, recueillies à l’époque de l’événement. Il permet aussi de retrouver des conclusions et imaginations passées. C’est très utile de pouvoir, au cours d’études, de recherches ou dans la vie courante, se retrouver à l’endroit où se présentaient des données intéressantes. Nous avons aussi les différentes façons de se rappeler. Le rappel optimal consiste à utiliser la méthode du retour accompagnée d’un ou de plusieurs sens, l’individu lui-même restant dans le présent. En d’autres termes, quand certaines gens pensent à une rose, ils la voient, la respirent, la sentent. Ils la voient nettement, dans toutes ses couleurs, avec les «yeux de l’esprit», pour employer une vieille expression. Ils la sentent nettement. Ils peuvent même en sentir les épines. Ils pensent à une rose en se souvenant réellement d’une rose. Quand ces gens pensent à un navire, ils voient un navire spécifique, en perçoivent le mouvement s’ils se rappellent être à bord, sentent le goudron ou autres odeurs moins agréables, et entendent les sons présents. Ils voient le navire en mouvement, avec toutes ses couleurs, et entendent les sons présents avec toutes leurs tonalités. Ces facultés varient énormément d’un aberré à l’autre. Certains, si vous leur demandez de penser à une rose, ne peuvent que se la représenter visuellement. Certains la sentent, mais ne la voient pas. Certains n’en voient pas les couleurs, ou alors de façon très atténuée. Si vous demandez à certains de penser à un navire, ils ne verront qu’une image sans relief, immobile et terne, semblable à un tableau ou à une photographie. Certains verront un bâtiment en mouvement, sans couleur, mais avec les sons. Certains l’entendront, mais sans voir la moindre image. Certains ne parviennent qu’à penser à un navire purement abstrait; ils savent que les navires existent, mais sont incapables de voir, sentir, entendre, palper, etc. Certains observateurs ont autrefois donné à cette aptitude le nom de «visualisation», mais le terme convient si peu au son, au toucher, aux sensations organiques et à la douleur, que le terme de rappel est celui que nous emploierons régulièrement comme terme technique dianétique. La valeur du rappel dans la vie courante a été l’objet de si peu d’observations que le concept n’en a jamais été précisé dans le passé. C’est pourquoi nous nous sommes attardés aux descriptions qui précèdent. Il est très facile de tester le rappel. Si vous demandez à vos amis quelles sont leurs possibilités dans ce domaine, vous vous ferez une idée de la façon dont cette aptitude varie de l’un à l’autre. Certains ont telle forme de rappel, certains telle autre, certains n’en ont pas, mais n’opèrent que par concepts de rappel. Mais n’oubliez pas, au cours de ce test, que chaque perception est classée dans la mémoire et possède donc son propre rappel, y compris la douleur, la température, le rythme, le goût et le poids, en plus des sensations mentionnées plus haut: vue, son, toucher, odeur. Les dénominations dianétiques de ces divers rappels sont le visuel (vue), le sonique (son), le tactile (toucher), l’olfactif (odeur), le rythmique (rythme), le kinesthésique (poids et mouvement), le somatique (douleur), le thermal (température), et l’organique (sensations internes et, avec une définition nouvelle, l’émotion). Il existe une autre classe d’activités mentales que nous pouvons grouper sous les termes d’imagination et d’imagination créatrice. Nous avons là encore un beau domaine de recherches. L’imagination consiste à recombiner des choses perçues, pensées ou mises au monde par un processus intellectuel, mais qui n’ont pas nécessairement une existence réelle. C’est la méthode employée par le mental pour envisager des buts désirables ou prévoir certains futurs. L’imagination s’avère extrêmement précieuse lorsqu’il s’agit de résoudre un problème ou de vivre, tout simplement. Le fait qu’il s’agisse d’une recombinaison n’enlève rien à sa merveilleuse et vaste complexité. Le Clair utilise toute son imagination. Il existe une impression imaginaire pour chaque perception: vue, odeur, goût, son, etc. Ces impressions sont édifiées à partir de modèles existant dans les magasins mnémoniques (contenant les expériences enregistrées) et en les combinant et assemblant de façon conceptuelle. Les nouvelles structures physiques, les lendemains en termes d’aujourd’hui, l’année prochaine d’après l’année passée, le plaisir à obtenir, les actes à accomplir, les accidents à éviter sont autant de problèmes pour l’imagination agissante. Le Clair possède dans leur totalité les imaginations visuelle en couleur, sonique avec les tons, tactile, olfactive, rythmique, kinesthésique, thermique et organique. Si vous lui demandez de s’imaginer dans un carrosse doré à quatre laquais, il «voit» l’équipage en mouvement, en couleur, il «entend» tous les sons présents, il «respire» toutes les odeurs qu’il estime présentes, il «sent» le capitonnage, le mouvement et sa propre présence à l’intérieur du carrosse. En plus de l’imagination courante, nous avons l’imagination créatrice. C’est une aptitude d’une ampleur indéfinissable, très variable d’un individu à l’autre, et que certains possèdent à un degré extrême. Nous la mentionnons ici, non comme partie intégrante des opérations du mental habituellement traité par la Dianétique, mais en tant qu’entité réelle. Elle est présente chez le Clair même si ses aberrations passées en empêchaient la pratique. C’est une aptitude intrinsèque. Seul le fait d’en interdire l’utilisation courante peut la rendre aberrante, c’est-à-dire rendre aberrant son emploi permanent ou bloquer tous les processus mentaux. Mais l’imagination créatrice, cette aptitude qui permet la réalisation d’œuvres d’art, la création de nations et l’enrichissement de l’Homme, peut être considérée comme une fonction indépendante, complètement autonome, et qui ne doit aucunement son existence à la présence d’aberrations individuelles, puisque son étude chez le Clair qui en est doué, démontre de façon certaine son existence innée. Elle est rarement absente chez un individu. Nous avons enfin l’activité mentale la plus importante. L’Homme est considéré comme un être raisonnable. Sa raison est fonction de son aptitude à résoudre des problèmes en percevant, créant et comprenant diverses situations. Cette raison est la plus élevée des fonctions mentales qui font de l’Homme un Homme et non un animal différent. Ses aptitudes à se souvenir, à percevoir et à imaginer lui confèrent la possibilité de parvenir à des conclusions, et d’utiliser ces conclusions pour en atteindre d’autres. Tel est l’Homme raisonnable. La raison, par opposition à l’aberration, n’est observable que chez le Clair. Les aberrations de l’aberré lui donnent une apparence de déraison. Même s’il est possible de qualifier cette déraison «d’excentricité», «d’erreur humaine», ou «d’idiosyncrasie personnelle» et autres définitions plus amènes, elle n’en reste pas moins déraison. La personnalité n’est pas fonction de la quantité de déraison qui motive un individu. Ce n’est pas un trait de personnalité, par exemple, que de conduire en état d’ivresse pour tuer un enfant sur un passage clouté, ou même de risquer de tuer un enfant en conduisant dans cet état. La déraison est simplement ceci: l’inaptitude à tirer des réponses justes de données précises. Or, fait étrange, alors que «tout le monde sait (et quelle horrible quantité d’erreurs ce genre d’affirmation laisse se propager) qu’il est humain de se tromper», il se trouve que la section raisonnable du mental, celle qui calcule les réponses aux problèmes et qui fait que l’Homme est Homme, ne peut absolument pas se tromper. Nous avons considéré cette découverte comme surprenante, mais à tort. On aurait pu parvenir plus tôt à la même conclusion. Car la chose est simple et facile à comprendre. L’aptitude calculatrice réelle de l’Homme n’est jamais en défaut, même chez l’individu sérieusement aberrant. A observer l’activité d’un tel aberré, on pourrait conclure de façon irréfléchie que les raisonnements de cette personne sont faux, mais ce serait là une erreur d’observation. Tout individu, aberré ou Clair, raisonne parfaitement à partir des données perçues et enregistrées. Prenez n’importe quelle calculatrice électronique (et le système mental est un magnifique instrument, de loin supérieur à toutes les machines qu’il pourra inventer dans les siècles à venir), et confiez-lui un problème. Multiplier un par sept. Elle répondra correctement: sept. Maintenant, multipliez six par un, mais continuez à retenir le sept. Six fois un font six, mais la réponse que vous obtiendrez sera quarante-deux. Continuez à retenir le sept et confiez d’autres problèmes à l’appareil. Ils seront faux, non comme raisonnements, mais comme réponses. Maintenant, fixez ce sept de telle façon qu’il soit impossible de le mettre hors circuit, quels que soient les leviers manipulés et essayez de vendre l’appareil. Personne n’en voudra, car, de toute évidence, la machine est folle. Elle dit que 10 fois 10 font 700. Mais est-ce que la partie calculatrice est folle ou lui a-t-on simplement confié des données fausses ? De la même façon, le mental humain, qui doit résoudre des problèmes importants comprenant suffisamment de variables pour laisser perplexe mille fois par heure une simple machine à calculer, peut se trouver victime de données incorrectes. Les données incorrectes s’introduisent dans la machine. La machine présente des réponses incorrectes. Des données incorrectes s’introduisent dans les magasins mnémoniques humains et la personne réagit de «façon anormale». La résolution du problème de l’aberration humaine consiste à trouver la «retenue de sept». Vous en entendrez parler beaucoup, plus loin. Pour l’instant, nous sommes arrivés à nos fins immédiates. Telles sont les diverses aptitudes et activités du mental humain, qui a pour constante mission de résoudre et mettre en application une multitude de problèmes. Il perçoit, se rappelle ou retourne, il imagine, il conçoit puis résout. Assisté de ses prolongements (percepts, magasins mnémoniques et imagination), le mental présente des réponses invariablement exactes, sous réserve de modifications causées uniquement par l’observation, l’éducation et le point de vue. Et les buts fondamentaux de ce mental, la nature fondamentale de l’Homme, tels qu’on les découvre chez le Clair, sont bons et constructifs, uniformément bons’ et constructifs, leurs solutions ne se trouvent modifiées que par l’observation, l’éducation et le point de vue. L’Homme est bon. Débarrassez-le de ses aberrations fondamentales, et avec elles s’en va le mal dont la scolastique [Scolastique : terme générique désignant les érudits du milieu et de la fin du Moyen Âge attachés à la tradition et orientés vers les dogmes théologiques, en particulier en philosophie et en théologie (environ du 10e au 15e siècle). et la morale étaient si friandes. La seule partie détachable de lui est cette «mauvaise» section. Et, une fois cette section détachée, sa vigueur et sa personnalité retrouvent une force nouvelle. Et il est heureux de voir cette «mauvaise» section l’abandonner, car elle était faite de douleur physique. Vous trouverez plus loin des expériences et validations de ces faits, vérifiables avec la précision si chère au physicien. Le Clair, donc, n’est pas un individu «conditionné», contrôlé par ses inhibitions désormais débloquées. C’est un individu sans inhibitions et autodéterminé. Et ses aptitudes à percevoir, se rappeler, retourner, imaginer, créer et raisonner correspondent à la description donnée plus haut. Le Clair est le but de la thérapie dianétique, but qu’un peu de patience et d’étude permettent d’atteindre. Tout individu peut être mis au Clair, à moins d’avoir été malheureusement privé d’une partie importante de son cerveau ou d’être né avec une structure nerveuse grossièrement malformée. Nous venons de voir le but de la Dianétique. Voyons maintenant celui de l’Homme. L. Ron Hubbard Chers Amis, Sur cette terre, une guerre bien plus importante que celles dont nous entendons parler dans les médias, fait rage. L’enjeu dépasse la vie et la mort, et cette guerre est ancestrale. On ne sait pas quand elle a commencé, elle remonte à très loin, et ne figure pas dans nos livres d’histoire. Mourir à la guerre est terrible et on se demande inévitablement pourquoi? Et pour qui? Tant de choses ont été écrites sur la guerre que j’écrirais inévitablement des répétitions. Je ne le ferai donc pas. La guerre générale est de faire croire aux thétans qu’ils sont de la matière. Et c’est pire que de mourir. Mourir encore et encore, sans savoir qu’on est à nouveau mort est désolant, n’est-ce pas? Faire une erreur n’est pas vraiment grave. Mais répéter une erreur à l’infini est grave, et c’est encore pire quand on ne s’en souvient même pas. La solution est Clair. C’est l’état de Clair. C’est une planète mise au clair. Il s’agit de rendre quelqu’un, Clair. Il ne s’agit pas de dire à quelqu’un qu’il est un thétan, c’est-à-dire un être spirituel. Nous mettons au Clair quelqu’un et il en prend conscience. D’après mes observations et mon expérience personnelle, je peux dire qu’être conscient de soi-même en tant qu’être spirituel est une échelle de gradients avec beaucoup de nuances de gris. Les niveaux les plus élevés sont connus de peu de gens et peu d’entre eux y sont parvenus. L’état de Clair fait partie de notre Pont, il y a un chemin clairement défini pour atteindre l’état de Clair. Souvent, cela commence par une Réparation de Vie, puis des Procédés Objectifs. Cela comprend l’audition de Dianétique, les Grades avec toutes leurs étapes ainsi que quelques cours. La mise au Clair consiste en différents types d’audition, dont la plupart sont inclus dans les Grades. Qu’est-ce qu’un Clair? Eh bien, je laisse Ron parler. Ci-dessous, le chapitre «Le Clair» du livre «La Dianétique: La Science Moderne de la Santé Mentale». Si vous avez des questions, je reste bien volontiers à votre disposition. Meilleures amitiés. Max Hauri

  • L'Etat d'être

    Introduction: L'état d'être – «Être ou ne pas être?» C’est la chose sur laquelle l’Homme est fixé. Mais ce n’est pas la bonne question. Accorder l’être ou ne pas accorder l’être est la question sur laquelle il est collé chaque jour de sa vie. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous L'Etat d'Être Extrait de la Conférence «L'Etat d'Être» [Beingness] du 18 décembre 1953 par L. Ron Hubbard «Mais au-dessus de toutes ces choses, il y a la capacité de la personne à accorder l’être au moment présent, au passé, au futur, à d’autres personnes et à ses propres choses. Accorder l’être et ensuite de ne pas en être effrayé. Et si vous avez accordé l’être, continuez ensuite à l’accorder, au lieu de vous arrêter de le faire, juste parce qu’une partie de cela vous a frappé.» Nous avons discuté du sujet de cause et effet, qui est la première ligne dans les Facteurs. Eh bien, il y a une seconde ligne. Une qui est un des points le plus important pour chacun – l'état d'être (Beingness). Ce n’est qu’un mot: être, et toutes les autres choses, cause et effet inclus, sont en fait des symptômes de l'Etat d'être (Beingness). La vie elle-même avec toutes ses randomités consiste en cela, que vous désiriez que d’autres choses soient ou non, ou que d’autres choses désirent que vous existiez ou non. Cette seule chose forme la base du jeu. Toutes les choses dans la vie ont à faire avec l'état d'être (Beingness). Le Beingness est «l’étoffe» dont est faite la vie. Une chose qui est en vie est en dessous du niveau d’un thétan. un thétan est quelque chose qui accorde l’être. ​ Le royaume des fourmis Jetons un œil au royaume des fourmis. On a accordé l’être aux fourmis. Une fourmi n’est pas un Beingness en soi. Cela signifie qu’elles ne sont pas des états d’être indépendants, comme un thétan par exemple. Et là, on se heurte à quelque chose d’étrange. En tant que thétan, si vous allez par là et que vous jouez avec une fourmi, et que vous lui envoyez un rayon à travers la tête pour court-circuiter quelques importantes choses afin de la faire tourner en rond, vous obtenez instantanément l’idée qu’il y a quelque chose là quelque part qui devient terriblement furieux envers vous. Vous pourriez même aller tout au fond de l’océan et vous feriez une observation similaire. Un auditeur peut oublier des fois qu’il entraîne un thétan, et que le thétan n’a pas besoin de respirer. Un thétan peut visiter toutes sortes d’endroits. Vous pouvez visiter le fond de la mer aux Philippines où se trouvent les poissons les plus intéressants que vous ne puissiez jamais rencontrer. Si vous descendez jusque là-bas, vous allez y voir un monde de vie phosphorescente. Les poissons se baladent avec des torches et ils se dévorent les uns les autres comme partout ailleurs. ​ Accorder l’être Tout cela nous mène au fait que cette forme de vie a un Beingness accordé. Quelque chose lui a accordé cet être. Si vous commencez à vous amuser avec, quelque chose va se fâcher. Vous pourriez continuer à jouer avec et rien ne se passera. Mais vous recevrez un coup émotionnel en retour, parce qu’en fait vous travaillez contre une ligne de communication de quelque chose, quoi que cela puisse être, qui contrôle les poissons et les escargots du corail. Vous pêchez cet animal ou cette créature et vous commencez à détruire cet Beingness. Vous blessez le Beingness général de cette sorte d’êtres. Mais ce qui est même encore plus important que cela est que, en tant que thétan, vous avez touché des entités génétiques, pas d’un ordre aussi bas que des fourmis ou des poissons, mais qui sont certainement connectées avec eux et leurs sont dévouées jusqu’à un certain point. Mais aucun mot n’a été dit ici que le corps est un thétan dégradé. Je n’ai jamais dit cela, et je ne le dirai pas maintenant non plus. C’est une possibilité. Mais personnellement, je ne crois pas que cela soit vrai. Je pense que c’est une toute autre classe de Beingness. Mais cela doit être une classe plus élevée que les fourmis et les poissons, etc. Cependant, c’est quand même quelque chose à qui on a accordé l’être. En d’autres termes, au-dessus se trouve un second niveau de «quelque chose». Nous ne savons pas tout ce qu’il y aurait à savoir au sujet de l’anatomie des formes de vie dans cet univers. Principalement parce que nous ne devons pas absolument le savoir. ​Idées fixes Bien, la vie peut tout faire, jusqu’au moment où elle ne se consacre plus qu’à une seule ligne de communication. Chaque être peut faire ce qu’il veut, jusqu’au moment où il ne se consacre plus qu’à une seule ligne de communication, qu’il considère comme étant invariable. Les seules justifications pour les lignes de communication en Scientologie sont qu’elles résolvent les lignes de communication et rétablissent l’aptitude à créer des lignes de communication, des formes et de la randomité. L’automatisation prend place parce que l’être a été accordé. Vous accordez l’être à un espace ou à quelque chose d’autre, et après cela vous dites que ce Beingness va maintenant fonctionner de cette façon. C’est une seconde ou une troisième classe de Beingness en comparaison d’un thétan. Il a donc fondamentalement fait une fourmi ou quelque chose qui n’a pas cette forme concrète. Il a appelé une idée à la vie. Et si vous appelez une idée à la vie, alors vous avez accordé l’être à un espace. Qu’en est-il de cette idée? Nous allons maintenant parler de ces choses que la vie fait et qui sont assez différentes du MEST. Nous arrivons à ce point: MEST n’a pas d’idées, la vie si. D’avoir une idée, c’est un peu comme d’accorder l’être. Si vous accordez l’être à quelque chose, alors jusqu’à ce point, vous lui avez donné la vie. Et si vous commencez à enlever vos automaticités, en fait vous détruisez de la vie. Mais vous détruisez de la vie que vous aviez installée là. ​ La détérioration d’un thétan La détérioration d’un thétan se passe durant ce cycle. Il accorde l’être et ensuite il regrette de l’avoir fait. Après avoir accordé l’être, il coupe ces connexions avec l’être, et il pense qu’il a coupé son propre Beingness. Par conséquent, chaque fois qu’il accorde l’être, il croit qu’il se rend lui-même plus petit. Ce n’est pas vrai. Une personne devient de plus en plus et toujours plus grande. Le thétan a une réserve illimitée du nombre d’être qu’il peut accorder. C’est pour cela qu’on pourrait même dire qu’il devient de plus en plus grand. Un thétan peut accorder l’être et le retirer ensuite, aussi longtemps qu’il ne persiste pas à résister à ce qu’il a déjà créé. ​ Créer des adversaires Ce que vous ne devriez pas faire est d’accorder l’être à quelque chose et ensuite de décider à le combattre. Mais c’est une des premières choses que fait un thétan afin de créer quelque randomité. Il créé l’autre joueur d’échecs. Et ensuite après avoir créé l’autre joueur d’échecs, il joue un jeu avec lui. S’il continue avec ce genre de comportement, il va finir par avoir créé tous ses ennemis lui-même. Les idées, qu’il a créées, pourraient être de vrais êtres vivants ou ils peuvent simplement naviguer dans l’air là autour, ou ils sont dans l’espace, ou encore dans son espace fixés comme des choses pour lesquelles il refuse de prendre aucune responsabilité. Nous avons là ainsi le problème de l’Homme et de ses idées. Nous pourrions dire: «l’Homme est ses subordonnés.» Ou nous pourrions aussi dire: «La chose qui accorde l’être et ces choses à qui on accorde l’être.» ​ La chose la plus noble que peut faire un thétan Un thétan a accordé l’être à un corps. Quand cet être est accordé, le thétan va le faire jusqu’à un tel degré, qu’il va croire qu’ensuite le corps a un propre Beingness qui est similaire au sien. Vous obtenez ainsi un thétan qui se conforme aux ridges du corps, qui sont bien sûr ses propres ridges. Ils sont ses idées, ses mécanismes, et il pense ainsi qu’il est le corps. Une chose qui accorde l’être et qui est capable d’accorder l’être infiniment, qui peut animer et doter de vie toute chose, et qui finalement arrive à la conclusion que quelque chose lui a accordé la vie et l’être, sera dans un très mauvais état. Par conséquent, la chose la plus noble qu’un thétan peut faire est d’accorder la vie et l’être. Et la chose la plus stupide que peut faire un thétan est d’installer quelque chose d’autre (otherness) et de le combattre. C’est l’histoire de l’Homme qui se bat contre lui-même! ​ Accorder l’être au moyen d’un via Chaque préclair que vous avez est simplement le drame d’un être qui peut accorder l’être et qui combat cet être qu’il a accordé. Il est entouré de choses auxquelles il ne désire pas accorder l’être. Des choses dont il est convaincu qu’elles ne sont pas bonnes s’il leur accorde l’être. Il croit qu’il doit utiliser un système de communication afin d’accorder l’être. Nous nous trouvons ici avec une seconde qualité de genre de Beingness. Pourquoi? Il pense qu’il doit utiliser un système de communication afin d’accorder l’être. Regardons un charpentier. Il accorde l’être au bois en prenant une scie, un marteau et un ciseau et en fabriquant une boîte. Il a maintenant créé une boîte. Cela signifie accorder l’être via un système de communication. Quel serait le genre de Beingness qu’il accorderait à quelque chose, s’il était simplement assis là en accordant l’être à cette chose? Il pourrait probablement créer une boîte en bois de cette manière. Mais il ne croit pas qu’il peut le faire. Par conséquent, il utilise, comme il le pense, le plus fiable système de communication et créé avec un marteau, une scie et un ciseau. Vous pouvez regarder autour de vous, juste où vous vous trouvez, et vous verrez deux ou trois choses auxquelles vous n’accorderiez pas volontiers l’être. ​ Résistant à tous les effets Vous prenez un morceau de papier ou une montre et vous vous dites: «C’est idiot pour moi d’accorder maintenant l’être à cette montre, parce qu’elle est déjà en train de marcher. Elle est en train de marcher, parce que le propriétaire respectif l’a mise en marche ou l’a arrêtée.» Vous voyez là, on avait déjà accordé l’être à cette montre par un système de communication. Un thétan arrive un peu plus tard dans le jeu et il commence à accorder l’être à une chose, qui est déjà soumise à une autre ligne de Beingness. Et ainsi rien ne se passe. C’est la chose précise que la montre n’a pas le droit de faire. C’est inhérent en elle. Elle doit résister à tous les effets. L’entreprise, qui a produit ces montres dans le Connecticut, les produit avec ce postulat inhérent à l’intérieur. Et le type qui les a planifiées et conçues, les a fabriquées avec le postulat inhérent: résiste à tous les effets. ​ Un étranger dans la ville Un thétan peut ensuite croire qu’il lui est impossible de pouvoir convenablement rivaliser avec l’univers MEST. Il apparaît sur la scène, mais antérieurement, on avait déjà accordé l’être à la scène. Et c’est le point où un individu a la vie dure dans une nouvelle communauté. Tout l’être est déjà accordé (c’est ce qu’il pense). Ce n’est pas vrai, seul le thétan croit que c’est comme ça. Il arrive dans la nouvelle commune et tous les appartements sont complètement étranges. On leur avait déjà accordé l’être. Chacun le lui répète continuellement: «Cette maison appartient au juge Morton, et là-bas c’est le pub de Bill South, et là nous avons notre palais de justice, que nous avons reconstruit dernièrement, car il avait été la victime des flammes.» Il découvre que chacun ici avait accordé l’être à la ville, sauf lui. Et définitivement, il découvre que chaque personne dans cette ville est impatiente de lui dire qu’elle a accordé l’être à cette ville. Mais pas lui, lui il est un étranger. ​Accorder l’être à l’espace Prenons un enfant qui était né et a grandi dans cette ville. L’enfant a exploré tous les recoins et a gravé ses initiales sur le vieux chêne. Il a cassé les fenêtres de cette maison, et dans une autre maison, une vieille dame a essayé de l’attraper. Il y a la maison, où il avait fait un poisson d’avril à quelqu’un. Il a plus ou moins laissé ses empreintes presque partout dans la ville. Au début de sa plus tendre enfance, il avait eu ses propres idées au sujet de cette ville, et heureusement, il les avait eues deux à trois ans avant que quelqu’un pense qu’il avait déjà eu des idées à son sujet et commence à l’éduquer. Mais à ce moment-là, il savait déjà que les gens se trompent. Il sait que la maison sur la colline est hantée par des esprits, qu’elle a toujours été hantée et que les esprits continueront de la hanter dans le futur. Même si des gens démolissaient cette maison, il saurait encore que c’est l’endroit où la maison hantée se trouvait. Il lui a accordé l’être. En d’autres termes, il l’a identifiée, il l’a classifiée et il l’a visitée. De cette façon, une personne habite la communauté entière dans laquelle il a grandi. Cela fait que les gens, qui ont déménagé trop souvent dans leur jeune âge, atteignent un point où ils ne se croient plus être capables d’occuper la communauté. Nous parlons ici de la question d’être de l’espace, mais il y a plus que simplement être de l’espace. ​ Accorder l’être à votre futur C’est une chose vraiment bizarre. Un type arrive par le haut d’une colline et voit la ville étalée devant lui. Il dit: «Quel endroit terrible, instable, laid et misérable que voilà!» Et le prochain type arrive par le haut de la colline, regarde la ville et lui donne de l’être et dit ensuite: «Il y a une ville là en bas.» Le premier type descend à la ville et personne ne fait quoi que ce soit pour lui. Quand on va changer les fers de son cheval ou réparer sa voiture, on va mal mettre les fers ou on va réparer ses pneus d’une façon étrange qui fera qu’ils ne dureront pas longtemps. Les choses se passent de cette façon. Et le prochain type traverse la ville et il lui a accordé l’être. De toute façon, il n’y a probablement rien qui ne va pas dans son équipement, mais il descend là et trouve que tout le monde est vraiment sympa avec lui. A l’hôtel, il reçoit une bonne chambre. La nourriture est bonne et tout le monde est heureux et content de tout cela. Ce genre de choses lui arrive durant sa vie entière. Cela ne signifie pas qu’on a créé son futur à ce degré simplement en considérant que les choses ne sont pas bien, mais parce que le futur ne se crée pas sur le long terme. On le crée sous la forme de fractions de seconde. On crée son futur moment après moment. Et si on n’accorde pas l’être au futur, il n’est pas vivant. Il ne contient pas de vie. Une fraction de seconde après avoir prononcé le postulat, aucune vie n’a lieu. ​ Ce que la vie fait le mieux Au-dessus de ça, il y a une partie du raisonnement à un niveau plus élevé, le fait d’être. Si l’on ne veut pas accorder l’être aux gens à qui on parle, on essaye systématiquement de ne pas leur accorder l’être… Vous voyez ce qui va se passer? On commence à combattre le fait qu’on accorde l’être. On parle à quelqu’un et on lui accorde l’être. On fait ça simultanément. Nous parlons de quelque chose qui est très très diabolique, tout à fait irréel. Nous parlons de ce que la vie fait le mieux. Elle agite sa baguette magique et dit «Sois» ou «Vis» ou «Existe», et toutes les choses le font. C’est ça que la vie fait. ​ «Ne pas accorder l’être» égale «moins d’espace» Vous avez là une personne, qui a causé que plus de choses existent, et qui ne désire plus causer que quoi que ce soit existe. Il est donc ainsi attaqué par toutes les choses qu’il a créées. Dans son environnement immédiat, les choses vont attaquer la personne. Elles refusent de lui accorder l’être. Quand l’environnement d’une personne lui a refusé l’être trop souvent, elle va elle-même refuser l’être à l’environnement. A côté de tout ce qui est mécanique, ce Beingness va se manifester d’une manière ou d’une autre afin d’invalider la personne qui ne désire pas accorder l’être. Il doit avoir de moins en moins d’espace, parce qu’il ne peut pas se déployer sur un espace plus grand patrce qu’il n’est pas capable d’accorder le Beingness à ces choses. Vous verrez cette manifestation sur les corps de ces gens que vous auditez. Vous verrez jusqu’à quel point des gens ont refusé de leur accorder l’être, et pendant qu’ils sont audités, vous verrez jusqu’à quel point ils refusent d’accorder l’être. ​ L’État d’être et l’échelle des tons L’Echelle des Tons est une échelle de la vie. C’est aussi une échelle de la quantité d’être que quelqu’un pense avoir et il reflète le nombre de mouvement qu’une personne pense pouvoir contrôler. Il le montre dans un grand nombre de choses. Vous allez découvrir que chaque personne qui a des difficultés de sortir de sa tête, ou qui a des difficultés avec des terminaux, sans s’occuper des relations mécaniques, est quelqu’un à qui on a refusé l’être dans une grande mesure. Il exigeait qu’on lui accorde l’être, et il rencontra de la résistance, alors il refusa d’accorder l’être à qui que ce soit d’autre. Qu’est-ce que cet «accord de l’être»? Ce sont une série de mots ou des mots qui sont en corrélation. Ils s’usent rapidement. Ce sont des symboles. Mais l’action elle ne s’use pas. ​ Réhabiliter la capacité de créer L’accord de l’être ou le refus d’accorder l’être – tous les mots de l’Homme et toutes les choses auxquelles une personne doit faire face dans la vie peuvent donc être résumées. La première décision est d’être. Quand vous trouvez la vie dans cet univers, il y a eu une personne qui a décidé d’être. Mais au-dessus de ce niveau, il existe «l’accord de l’être», et cette fonction peut être entraînée. Une personne qui a perdu cette capacité d’accorder l’être a perdu aussi son aptitude à créer. Quand nous réhabilitons la création, nous regardons tout d’abord ce point chez le préclair: son désir d’accorder l’être. ​Lire les pensées Toute œuvre artistique doit vivre. Avec ce sujet nous n’essayons pas de pénétrer dans le domaine du mysticisme ou de la magie noire. Mais de temps à autre vous ferez cette expérience, et ne pensez pas que c’est une expérience inhabituelle. Vous dites à un préclair: «OK, maintenant mets ce postulat, peu importe ce que c’est, dans le mur à l’entrée de cette chambre.» – Ensuite vous allez mettre le même postulat dans le mur d’entrée de cette chambre. Voyez-vous que vous allez obtenir la formulation identique de son postulat? Vous allez mettre votre postulat dans ce mur. Mais vous êtes en communication avec lui, et c’est un système de communication plus élevé. Cette chose avec le «lire les pensées» peut être quelque chose de très indéfinissable et très inquiétant. Mais ici, où vous obtenez une coïncidence d'Etat d'être (Beingness) de cette façon directe, vous avez affaire à cela. Le moins le cas est capable d’extérioriser, le moins positif c’est. Mais vous êtes immédiatement dans un système de communication de thétan à thétan, et un système comme cela existe indépendamment des mots. ​ L’art, qui contient de la vie L’artiste, qui peut peindre sans accorder l’être à son œuvre d’art, est plutôt un mauvais artiste. Il applique simplement de la couleur sur une esquisse. Quand Michelangelo peignait quelque chose ou quand il faisait une sculpture, sa forme était presque parfaite. La forme et l’esquisse de la peinture ou de la statue sont bien assez bonnes pour que vous puissiez en voir une photographie et penser que c’est magnifique. Nous sommes là tout près de la limite de ne presque plus pouvoir en parler. Le langage MEST ne suffit pas à cela. Avant d’avoir confronté un original de Michelangelo dans la réalité, vous ne reconnaissez pas que le type qui l’a peint, l’a vraiment pensé de cette façon. La quantité de vie dans la statue elle-même qui est contrôlée ou qui est maintenue en place d’une façon ou d’une autre est tout juste en train de devenir une supernova ou quelque chose comme cela. C’est la quantité de vitalité. En d’autres termes, cette chose est vivante, et sa vie est parfaitement apparente, même pour n’importe quel vaurien dans la rue. J’ai vu une fois une statue sensationnelle, toute blanche, d’un sculpteur dont je n’avais jamais entendu le nom. C’était dans une partie du monde tout à fait étrange et mystérieuse, où l’on n’aurait jamais imaginé qu’un artiste puisse y avoir vécu. La statue était tellement simple dans sa forme, que vous ne pouviez que difficilement l’appeler comme cela. Mais elle était d’une telle vitalité, animée d’une nature toujours en expansion, qu’en fait, la statue remplissait de paix toute la cour. Elle était en vie, il n’y avait absolument aucun doute à ce sujet. Et ce n’était pas quelque chose qui ne pouvait être reconnu que par des gens ayant reçu un don particulier. Ces gens qui ne faisaient que labourer leurs champs ne l’ont peut-être pas remarqué immédiatement, mais chaque mendiant, chaque marchand ambulant, chaque bonne, chaque personne, chaque gentleman et chaque commis passant dans la rue venait dans la cour presque chaque soir, s’asseyait un moment et regardait la statue. Il y avait des endroits beaucoup plus jolis pour se reposer, mais ils venaient regarder la statue. Elle était vivante. Naturellement, vous pourriez dire, qu’ils ont eux-mêmes accordé encore plus d’être à la statue, et ainsi ils ont préservé la tradition de son existence. Et donc que cette chose animée en a résulté. ​ Amener de la vie neuve N’avez-vous jamais vu une maison qui n’était pas habitée et qui se délabrait et perdait son Beingness? N’avez-vous jamais vu une ville qui perdait son Beingness? Ou n’avez-vous jamais directement senti le Beingness d’une ville? Les gens maintiennent ce Beingness. Un artiste, un écrivain ou un poète peut arriver et accorder un nouveau Beingness à une ville. Il peut simplement improviser cela. Il regarde simplement autour de lui et dit: «Vous avez vraiment une très jolie ville ici!» Et il raconte tout aux gens à ce sujet. Ils n’avaient jamais accordé l’être à cela. Ils étaient tellement occupés à se dévorer entre eux, qu’ils n’en avaient jamais pris note. Mais c’est quelque chose sur laquelle ils peuvent être d’accord. Et dans cet instant particulier, la ville va être vivante. C’est très étonnant de faire cela dans une ville. C’est une aptitude que chaque être possède. Finalement avec le temps l’Homme s’est découragé. Il a pensé que c’était une tromperie ou quelque chose comme cela. Ce n’est pas le cas. Un artiste a très très peu affaire avec les faits, plus il a affaire avec les faits et plus il devient un ouvrier. Ce qu’il fait vraiment c’est diriger le Beingness. S’il peut inspirer à quelque chose un brin de vérité, alors il est un artiste. Cela m’est égal le nombre de diplômes qu’il a obtenus et avec qui il a étudié. C’est simple de libérer cela. Ce n’est pas un de ces talents inatteignables donnés uniquement par Dieu, ou un talent que personne ne peut choisir. Vous êtes là – vous êtes en vie. Quand vous étiez petit, vous avez accordé l’être à votre chien, à votre chariot, en d’autres termes vous les rendiez vivants. Et même encore maintenant, vous accordez l’être à votre voiture, à votre livre favori ou à d’autres objets. Peut-être même que cette chose vous est arrivée: vous portiez un vêtement particulier, quand vous aviez eu une expérience désagréable, et le jour suivant, ou peut-être trois ou quatre jours plus tard, vous n’aviez pas envie de porter ce costume ou cet habit. Vous le laissez de côté. La raison de cela est que vous lui aviez transmis un certain Beingness. Ce Beingness est plus qu’uniquement du temps, de l’espace et de l’énergie. C’est une vivacité et cela échappe à l’observation jusqu’à ce qu’une personne l’examine. Vous êtes aussi vivant que d’autres vous ont accordé l’être et que vous avez accordé l’être à d’autres. En tant que groupe, vous n’êtes vivant que jusqu’à ce degré. Mais vous n’êtes réellement en vie que si vous êtes vous-même tout à fait désireux d’accorder l’être et si vous êtes capable et désireux d’autoriser d’autres à accorder l’être. Vous êtes vivant jusqu’à ce degré uniquement. Cela m’importe peu par quelle humeur quelqu’un est submergé, jusqu’à quel point d’ivresse quelqu’un peut arriver ou combien d’héroïne il peut prendre, il ne gagnera jamais plus de vie par cela. Aucun stimulant artificiel et aucune liaison amoureuse ou quoi que cela soit d’autre peut amener quelqu’un à ce niveau ou à cette caractéristique d’existence, car nous parlons là de la vie elle-même. Quand un préclair est audité, ce qu’il désire est souvent complètement incompréhensible. Il dira: «J’aimerais être heureux.» Et cela est la plus immense escroquerie dans cet univers. Il ne peut pas vivre dans cet univers et être heureux 24 heures par jour, 12 mois par année ou durant 100 unités galactiques. C’est impossible, car il se sentirait misérable si c’était le cas. Il cherche lui-même le drame et la tension. Je n’ai jamais vu quelqu’un qui jouissait plus de la vie que cette fille qui jouait cette magnifique tristesse d’avoir été abandonnée. C’est seulement si elle n’arrive pas à jouer la magnifique tristesse d’avoir été abandonnée, qu’elle va être submergée par la magnifique tristesse. Vous allez devoir commencer à l’auditer. Ce cas a eu la plus remarquable des liaisons amoureuses, et il a fait ceci et cela. Elle est vraiment désireuse de vous parler avec une certaine fierté de quelque chose à ce sujet, mais prenez toujours note de cette lueur de fierté qui se cache derrière cela. Ce n’est pas du matériel aberrant. Ensuite, elle arriva aux difficultés n’ayant pas pu montrer un certain type de Beingness qui par conséquent était empêché et accumulé dans le flux. Des gens ont ensuite travaillé à dénier sa capacité d’être une certaine chose. Ils déniaient son être. Ils diraient à cette personne: «Tout cela n’est pas croyable. Vous êtes seulement en train de dramatiser cela, et vous ne le croyez pas vraiment, et ces pleurs ne veulent rien dire, vous essayez uniquement de vous esquiver. Vous essayez simplement d’obtenir quelque chose». L’existence est en fait toute l’étendue du Tableau d’Evaluation Humaine. Lorsqu’on peut exécuter cela librement, lorsqu’on a un champ large pour vivre et exprimer ses sentiments, exprimer les émotions et s’impliquer, alors toutes ces choses deviennent vitales et le nerf de la vie. Mais au-dessus de toutes ces choses, il y a la capacité de la personne à accorder l’être au moment présent, au passé, au futur, à d’autres personnes et à ses propres choses. Accorder l’être et ensuite de ne pas en être effrayé. Et si vous avez accordé l’être, continuez ensuite à l’accorder, au lieu de vous arrêter de le faire, juste parce qu’une partie de cela vous a frappé. On ne peut pas devenir capable dans la vie en ayant peur de la vivre. Jamais. Et on ne peut pas être soi-même sans être disposé à accorder l’être, car on est le seul à pouvoir s’accorder l’être à soi-même. Donc, nous arrivons à un niveau de processing qui nous en dit déjà beaucoup, et qui est dans sa propre théorie son propre procédé. «Être ou ne pas être?» C’est la chose sur laquelle l’Homme est fixé. Mais ce n’est pas la bonne question. Accorder l’être ou ne pas accorder l’être est la question sur laquelle il est collé chaque jour de sa vie. L. Ron Hubbard Chers Amis, Une nouvelle année est derrière nous, et pour nous, elle fut fructueuse. De plus en plus de personnes reconnaissent l’importance d’une philosophie appliquée qui souligne que le spirituel est au-dessus du matériel et que le thétan – c’est-à-dire vous – est la source de la vie. Pourtant, nous nous voyons confrontés à un monde plein de défis, et il ne semble pas que ces défis disparaissent dès demain. C’est pourquoi il appartient d’autant plus à chacun de contribuer activement à façonner le monde, car chacun d’entre nous est un élément important de notre société. L’idée d’avoir été «créé» conduit malheureusement souvent à se voir comme un effet. Dans un système qui vise à nous réduire à de simples consommateurs et à nous «rendre heureux» avec le statu quo, il est facile de suivre le courant et de ne pas résister. Mais de cette manière, nous ne sommes que des effets et non des causes. Le risque de conformité est considérable. L’idée que Ron partage dans son livre «La Création des Aptitudes Humaines» m’apparaît presque comme un axiome : «Pourtant, on peut dire avec une certaine vérité qu’un Homme est sain d’esprit dans la mesure où il est dangereux pour l’environnement.» J’apprécie les personnes qui se rebellent, qui agissent activement et qui défendent leur opinion lorsque quelque chose ne leur convient pas. Des personnes qui prennent des initiatives et se défendent contre l’injustice. Ces personnes façonnent activement le monde et le rendent juste. Il est important d’être fort et de ne pas avoir peur des idées «folles» de nos semblables. Bien sûr, nous devons être capables de faire la différence entre le bien et le mal, et si quelqu’un agit vraiment mal, nous devrions être prêts à défendre l’équité. Grâce à notre philosophie, grâce à la Scientologie, nous acquérons une base de vie et comprenons ce qui est bien et ce qui est mal. Ce n’est pas à nous de dire aux autres ce qui est bien ou mal. En auditant l’énergie nocive et les échecs, chaque individu reconnaît lui-même ce qui est bien et ce qui est mal. L’hypothèse de base de la Scientologie, selon laquelle l’Homme est fondamentalement bon, est constamment confirmée par l’audition de l’énergie nocive et des échecs. La Scientologie ne forme pas de «bonnes» personnes, mais des personnes efficaces – des personnes qui sont causes et qui font la différence. Un Clair n’est pas simplement «bon», un Clair est cause. Bonne et heureuse année!!! Max, Erica, Melinda, Dirk, Vreni, Jean et Sibylle

  • Histoire de Noël un peu différente

    Introduction: Les conférences de Phoenix contiennent en effet des données très fondamentales que je recommande chaudement à tous. Ron explique également comment le savoir asiatique selon lequel l’homme est un être spirituel et immortel est parvenu au Proche-Orient via la Route de la Soie et de là, en Europe. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Histoire de Noël un peu différente: Notes sur les Conférence de Phoenix 1954 Scientologie son Héritage, partie 1 Scientologie son Héritage, partie 2 Scientologie son Héritage, partie 3 Livre anglais original scanné des Conférences de Phoenix 1954 Si vous désirez recevoir les conférences en audio, veuillez envoyer un e-mail à Max en lui indiquant ce que vous souhaitez. Voici un extrait de la Conférence de Phoenix N° 4: Quoi qu’il en soit, certaines des choses écrites par Gautama s’avèrent vraiment très intéressantes pour nous… très, très intéressantes pour nous. (Tout à fait à part: dhyana pourrait être traduit littéralement comme le mot indien pour Scientologie, si vous vouliez le dire à l’envers.) Il s’agit simplement de ceci (c’était dans le Dhamma Pada): «Tout ce que nous sommes est le résultat de ce que nous avons pensé. C’est basé sur nos pensées ; c’est constitué par nos pensées.» Intéressant, non? Le vers suivant, pourrait-on dire, est: «Par soi-même le mal est fait; de par soi-même on souffre. Par soi-même le mal est laissé en suspens; de par soi-même on est purifié. La pureté et l’impureté appartiennent à soi-même; personne ne peut purifier un autre.» Eh bien, c’est exactement comme vous dites : vous ne pouvez pas accorder l’être au préclair et le valider à outrance ; vous devez le faire travailler de par son autodétermination ou pas du tout, si vous voulez donner à cela une interprétation quelconque. Autrement dit, vous devez restaurer sa capacité à accorder l’être ou il ne se remettra pas. Et nous savons cela d’après des tests. Et nous en arrivons au vers suivant: «Vous-même devez faire un effort. Les bouddhas sont seulement des prédicateurs. Ceux qui sont pleins d’attention, qui empruntent la Voie sont affranchis des chaînes du péché.» Ceux qui sont plein d’attention. Maintenant le suivant dit: «Celui qui ne se lève pas quand il est l’heure de se lever ; celui qui, même jeune et fort, est plein de paresse, et dont la volonté et les pensées sont faibles, cet homme paresseux et oisif ne trouvera jamais la voie de l’illumination.» Le dénominateur commun à la psychose et à la névrose, c’est l’incapacité de travailler. Et le vers suivant: «L’ardeur est la voie de l’immortalité; la paresse est la voie de la mort. Ceux qui sont énergiques ne meurent pas. Les paresseux sont déjà comme morts.» Voilà quelques lignes tirées de cette œuvre. Chers amis, Récemment, une amie est venue me voir et m’a apporté de la part de sa grand-mère un ancien livre de Scientologie datant de 1954. Probablement le dernier exemplaire sur cette terre, imprimé et distribué par HASI, Association Hubbard Internationale des Scientologues. Le titre du livre est «Notes sur les Conférences – Phoenix 1954». À ne pas confondre avec «Notes sur les Conférences» de 1951 qui a toujours été disponible pendant toutes ces années – et qui est en fait le prédécesseur du futur «Conférences de Phoenix» publié en 1968. Les deux livres sont basés sur les conférences de Phoenix que Ron a données en 1954 à Phoenix. Le livre anglais en annexe, «Notes sur les Conférences – Phoenix 1954», est un recueil de citations de ces conférences. HASI est également mentionné au début du livre: «Les notes suivantes sont tirées des conférences données par L. Ron Hubbard à Phoenix en juillet 1954. Nous avons essayé de suivre le plus fidèlement possible le texte de ces conférences, et les notes ne contiennent pas d’opinions ou d’évaluations personnelles. Elles sont destinées aux personnes qui suivent ou ont suivi les cours professionnels, afin de les aider dans leurs études. Elles ne remplacent en aucun cas l’écoute des enregistrements et ne conviennent donc pas aux non-initiés.» Les conférences de Phoenix contiennent en effet des données très fondamentales que je recommande chaudement à tous. Ron explique également comment le savoir asiatique selon lequel l’homme est un être spirituel et immortel est parvenu au Proche-Orient via la Route de la Soie et de là, en Europe. «Notes sur les Conférences – Phoenix 1954» n’existe qu’en anglais et comme nous pouvons obtenir les conférences de Phoenix en français, il est peu probable que ce livre soit traduit. Pour ceux qui ne parlent que le français, je vous joins les trois premières conférences en français sur ce blog. Je considère qu’il s’agit d’une lecture de Noël digne de ce nom. Ces trois conférences relativement courtes font à mon avis définitivement partie des meilleures conférences de L. Ron Hubbard et je ne peux que les recommander. Joyeux Noël! L’Equipe de la Ron’s Org Grenchen Avec toutes mes amitiés. Max Hauri

  • Autodétermination, Déterminé par d'autres, Pandéterminisme

    Introduction : «On ne peut être autodéterminé que si l’on peut observer la situation réelle à laquelle on est confronté: sinon, l’être est déterminé par l’illusion ou par d’autres.» – Les Fondements de la Pensée Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous. Voici un extrait du livre «Introduction à la Scientologie» ou «Voyage vers soi-même» de Richard DeMille aussi nommé D. Folgere. Il était un proche compagnon de route de L. Ron Hubbard au début des années cinquante et a écrit pour Ron le livre «Comment vivre, bien que cadre». Un excellent livre, d’ailleurs. L’autodétermination est l’essence de la Scientologie. C’est le seul principe sans lequel aucune partie de la Scientologie ne peut être utilisée ou comprise. C’est l’idée qui mène à toutes les autres et sans laquelle aucune autre ne peut être atteinte. C’est le principe fondamental de l’être. ​ Ce que l’autodétermination n’est pas Peut-être devrions-nous dire quelque chose sur ce que l’autodétermination n’est pas. Là encore, nous évitons les malentendus en éliminant les conceptions antérieures avant de discuter des conceptions actuelles. L’autodétermination n’est pas l’égoïsme. L’autodétermination n’est pas l’altruisme. L’autodétermination n’est pas l’arrogance, l’orgueil, l’obstination, l’entêtement, le sectarisme, le fanatisme, l’égocen­trisme ou le fascisme. ​ Il faut être autodéterminé pour comprendre l’autodétermination L’autodétermination est un principe qui peut être compris en proportion directe du degré auquel il est expérimenté. Un homme qui a cédé 99 % de son autodétermination à son environnement peut apprendre au sujet de l’autodétermination jusqu’à ce qu’il en ait le visage noir, mais il ne comprendra qu’un pour cent de ce qu’il lit. On demande à nouveau à l’étudiant de ne pas être trop pressé de comprendre ce que l’on entend par autodétermination. Toute la Scientologie est une étude de l’autodétermina­tion. L’autodétermination est un principe qui doit être utilisé et pas seulement discuté. On ne devient pas autodéterminé en accrochant à son corps un panneau signalant «Autodéterminé», pas plus que le gouvernement ne peut rendre tout le monde riche en imprimant beaucoup, beaucoup d’argent. Ce genre de «richesse» et ce genre «d’autodétermina­tion» ne sont que mirages. L’autodétermination est une échelle de gradient. Plus on monte sur cette échelle, plus on manifeste de créativité, de réceptivité et de bon sens. Un tel comportement haut sur l’échelle ne peut être reconnu facilement que par des êtres hauts sur l’échelle. Les êtres bas sur l’échelle échouent presque inévitablement et refusent de reconnaître les comportements hauts sur l’échelle. À prime abord, cela peut sembler du plus pur snobisme, mais l’étudiant découvrira par lui-même – et donc on ne lui demande même pas de croire le présent auteur – que ceux qui vivent au fond de la mer ne peuvent pas considérer pleinement la vie des oiseaux. Heureusement, si les poissons s’intéressent suffisamment à leur propre vie, ils peuvent s’élever à la surface de l’eau et se faire pousser des ailes. C’est ce qu’on appelle le processing [audition]. ​ Caractéristiques de l’autodétermination Certaines des attitudes d’autodétermination, comme présentées sur le Tableau Hubbard des Attitudes et ailleurs (pages 30, 38, 50 du texte anglais), Max : I have not changed the pages numbers for German and French) sont énumérées ici. L’individu autodéterminé: Survit, a raison, est responsable, gagne, contrôle les objets, perçoit les mentaux des autres, es vérité, est conviction (confiance), sait, cause, est libre, crée, change et détruit l’espace, crée, change et détruit le temps, crée, change et détruit l’énergie, est une source de mouvement, crée, change et détruit des illusions. ​Caractéristiques du déterminisme par d’autres L’individu déterminé par d’autres succombe, se trompe, perd, blâme l’environnement, est contrôlé par des objets, est isolé des autres êtres, hallucine, se méfie, ne sait pas, est un effet, est empêché, est perdu dans l’espace, n’a pas de temps, est impuissant devant l’énergie et le mouvement, et est inondé d’hallucinations. ​L’être humain normal L’être humain normal se situe quelque part entre les extrêmes de l’autodétermination et du déterminisme par d’autres. L’être humain normal ne crée pas sciemment beaucoup d’espace, de temps ou de mouvement ; mais il n’est pas non plus totalement perdu dans l’espace, lié par le temps ou impuissant devant le mouvement. Il n’est pas vérité; mais il n’a pas non plus d’hallucinations. Il a un accord avec les autres sur la réalité de certaines choses, et il peut compter sur cette réalité, tant que les autres ne se retournent pas contre lui. Cela signifie bien sûr, qu’il est «sain d’esprit» dans la proportion exacte de sa conformité à la société. L’être humain normal n’est pas aussi malheureux qu’il pourrait l’être, mais il pourrait être considérablement mieux loti qu’il ne l’est. «On ne peut être autodéterminé que si l’on peut observer la situation réelle à laquelle on est confronté: sinon, l’être est déterminé par l’illusion ou par d’autres.» Une déclaration qui donne à réfléchir. Quand on lit, on écoute ou on regarde les médias, quels qu’ils soient, peut-on vraiment être autodéterminé? C’est quelque chose de l’ordre de grandeur de «plus je sais, plus je sais que je ne sais pas». (Aristote) Cette déclaration est également révélatrice de nos structures d’état et de gouvernement. Ne nous fait-on pas croire ici que nous sommes autodéterminés? Combien de fois nous a-t-on dit que nous étions souverains? La détermination par d’autres, l’autodétermination et le pan-déterminisme sont des mots que l’on «comprend», qui sont explicites. Mais le sont-ils vraiment? Que signifie «pan-déterminé» ou «pan-déterminant»? Voici sa définition: «Pleine responsabilité des deux côtés d’un jeu.» – «Nous voyons la version aberrée du pan-déterminisme dans la volonté de contrôler tous les autres afin de se mettre en valeur ou de se rendre important.» «Un état dans lequel on détermine à la fois ses propres actions et les actions des autres. Par exemple, un joueur d’échecs est pan-déterminé lorsqu’il joue des deux côtés de l’échiquier.» Pan-déterminé, Pan-déterminisme. Avec mes meilleures amitiés. Max Hauri

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