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Introduction: Fascinante, l'incroyable histoire du chiffre zéro montre comment un concept né de la philosophie a fini par s'imposer dans les mathématiques par le biais de la linguistique, de la poésie et de la littérature – et a finalement changé le monde. Il y a quelques années, j’ai fait visiter à Ian, une église à Berne. Notre conversation a porté sur une inscription sur le mur, écrite sans aucune ponctuation. Ian m’a expliqué qu’autrefois, il n’y avait pas d’espace entre les mots. C’étaitécritsurlemursansaucunespace. L’invention de l’espace entre les mots a clairement constitué une avancée majeure ! Mais il y a plus intéressant encore: l’origine de l’espace entre les mots vient en fait de la religion, de la pratique de l’éclaircissement du mental. La méditation facilitait l’obtention du vide désiré. Elle a également contribué à établir un lien plus sain entre le thétan et le corps. Tout est une question de distance. Cette distance saine est bénéfique. L’une des raisons pour lesquelles l’audition fonctionne est qu’en regardant quelque chose et en communiquant avec lui, vous créez une certaine distance. En utilisant la formule de communication «Cause-Distance-Effet», un espace se forme entre la personne et le problème – quelque chose qui était auparavant écrasant et trop rapproché gagne soudain de l’espace. Ci-dessous un texte instructif du Professeur indien Manjul Bhargava.   Au début, il y avait le TR 0: Aujourd'hui il y a une INVITATION! Je vous invite tous à y participer chaque dernier mercredi du mois à 19:00 ! Le TR 0 vous donne ce point zéro dans le stress de la vie quotidienne. Avec mes meilleures amitiés. Max Hauri L’incroyable Histoire du Nombre Zéro Des Upanishads à Brahmagupta – Le Voyage du Nombre 0. (Anglais) https://www.youtube.com/watch?v=Osp-g6_fmkI La plupart des gens ne savent pas que le Zéro est une contribution de l’Inde – et une contribution très importante. Souvent, le grand public ne comprend pas bien ce que signifie la contribution de l’Inde par rapport au Zéro, pourquoi il s’agit d’une découverte si importante, ou comment elle a vu exactement le jour en Inde. Cette histoire est vraiment incroyable. Je pense qu’elle démontre la puissance de la pensée multidisciplinaire et l’importance de comprendre le savoir indien ancien, non seulement en termes de signification historique, mais aussi dans la manière dont le savoir lui-même se développe au fil du temps. C’est aussi une histoire fascinante parce que le Zéro a d’abord émergé en Inde avant de se répandre dans le monde. Quelle est l’origine du concept du Zéro? En fait, cette idée a vu le jour dans la philosophie indienne ancienne . La première occurrence de l’idée du Zéro se trouve dans les textes philosophiques indiens – en particulier dans les Upanishads et dans diverses écritures bouddhistes anciennes , qui explorent la puissance de la méditation. Quel était le but de la méditation? Il s’agit d’atteindre un état connu sous le nom de Shunyata  – vide ou l’état Zéro. L’objectif était de libérer l’esprit d’émotions, de l’ego et des pensées afin d’atteindre un certain état de connexion entre le mental et le corps. C’est la première fois que l’utilisation du mot shunya est rapporté dans un document, et qui signifiera plus tard «Zéro». Shunyata – l’état de vide – remonte à des milliers d’années. Il s’agit de la première apparition connue du concept de Zéro dans la littérature mondiale. L’évolution du Zéro: de la philosophie aux mathématiques Le développement du Zéro a connu plusieurs étapes clés. Le Zéro philosophique  – La première étape a été l’idée conceptuelle du zéro, apparue dans la philosophie indienne à travers la méditation et la notion de shunyata. Zéro linguistique – L’étape suivante a consisté à transformer ce concept en un symbole écrit . La première représentation symbolique du zéro est apparue dans le domaine de la linguistique . Le grand grammairien Panini , qui a jeté les bases de la linguistique moderne, a introduit un symbole pour la syllabe vide  – une syllabe qui représente le néant. Ce symbole, connu sous le nom d’ avagraha ( ऽ ), était une sorte de Zéro linguistique , marquant une absence dans la parole et le langage. De la linguistique, le zéro est passé à la poésie . Lorsque les poètes avaient besoin d’un symbole pour représenter une pause ou un temps vide dans un rythme poétique, ils utilisaient l’avagraha. De même, en musique , ce même symbole était utilisé pour noter un silence (une pause dans le son). À cette époque, le zéro existait en philosophie, en littérature, en linguistique et en poésie, mais il n’avait pas encore été adopté en mathématiques . Le Zéro entre dans les mathématiques Vers le 3ème siècle de notre ère , les mathématiciens indiens ont commencé à envisager l’idée d’utiliser un symbole pour représenter le néant dans les calculs. Le premier exemple connu apparaît dans le manuscrit de Bakhshali ( autour de 300 de notre ère), où des chiffres indiens – dont le zéro sous la forme d’un point (•) – sont utilisés dans les calculs. À ce stade, le Zéro n’était encore qu’un substitut . Il n’était pas encore considéré comme un nombre indépendant, mais simplement comme un outil permettant d’écrire correctement les nombres dans le système numéral indien. Au 4ème siècle, le concept du zéro était déjà entré dans la conscience publique. Par exemple, dans le roman sanskrit Vasavadatta du 4ème siècle , le ciel nocturne est poétiquement décrit comme étant rempli de « points Zéro » dispersés dans les cieux  – une référence à la façon dont le Zéro était représenté par écrit à l’époque. Cependant, ce n’est que vers l’an 499 de notre ère , avec Aryabhata , que le zéro est devenu un élément clé des calculs mathématiques. Aryabhata utilisait les chiffres 0 à 9 pour simplifier les calculs astronomiques. Il s’agissait d’une étape révolutionnaire en direction du système des nombres que nous utilisons aujourd’hui. Même à cette époque, le Zéro était encore considéré comme un substitut plutôt que comme un nombre à part entière. Brahmagupta: le moment où le Zéro est devenu un vrai chiffre La percée finale a eu lieu en 628 de notre ère , lorsque le mathématicien indien Brahmagupta a formellement défini le zéro comme un nombre à part entière. Brahmagupta fut le premier à écrire des règles mathématiques pour le zéro, telles que: Tout nombre plus zéro est égal au nombre lui-même. Tout nombre multiplié par zéro est égal à zéro. Il a démontré que le zéro pouvait être traité comme n’importe quel autre nombre en arithmétique. Ce fut un tournant dans l’histoire de l’humanité: pour la première fois, le zéro n’était pas reconnu comme un simple espace vide, mais comme un nombre ayant ses propres propriétés. Cette percée a jeté les fondations des mathématiques modernes , influençant tout, de l’algèbre au calcul, et façonnant finalement le système de numération que le monde entier utilise aujourd’hui. Médaille «Fields» et célèbre théoricien des nombres Prof. Manjul Bhargava

Ron's Org de Grenchen, Suisse Le Blog Ron’s Org a le plaisir de vous présenter dans son blog de nombreux articles tirés de l'œuvre de L. Ron Hubbard. Ces articles vous aideront à mieux comprendre la vie et à en faire plus. Parfois, la compréhension demande un certain effort, mais elle est récompensée par le fait que vous pouvez l'appliquer. De nouvelles données ou connaissances vous permettront de voir les choses différemment et donc de mieux vivre. Vous êtes toujours les bienvenus pour poser toute question que vous pourriez avoir lorsque vous lisez le Blog Ron's Org. Si vous êtes curieux de savoir ce qui se cache derrière les catégories du Blog Ron's Org, voici un bref aperçu qui vous permettra de mieux choisir celle que vous préférez. Individualité : Nous sommes tous différents et pourtant nous avons un point commun entre nous: notre mental. Il fonctionne de la même manière pour tous. Famille: La famille, l'amour et les enfants sont les piliers de nos sociétés. Les comprendre et pouvoir les améliorer est le souhait de tous les êtres humains. Groupe: Nous faisons tous partie d'un groupe régi par les mêmes lois naturelles. Il est possible de les apprendre et de les appliquer. Société: La société d'aujourd'hui est très diversifiée. Elle a des problèmes rencontrés sur la planète entière et il est possible de les comprendre, d'où que l'on vienne. Vie: La vie est en nous et autour de nous. Chacun a le droit au respect vis-à-vis de sa propre espèce. Découvrez, apprenez ces droits et rendez la vie meilleure pour chacun! Sciences exactes: La science est là pour aider l'Homme à se développer et non pour le détruire au nom d'intérêts acquis. Faites-vous votre opinion. Boudhisme: Le bouddhisme est une religion sans dieu, avec une ligne de conduite à suivre pour accéder à des niveaux de conscience plus élevés; accessibles avec la scientologie. Dianétique: Elle vous ouvre les portes de l'univers du mental et ce qui peut être fait pour que les traumatismes disparaissent et que le vrai soi ressorte. Scientologie: Chaque religion ou culture possédait une partie de vérité. La Scientologie regroupe ces vérités en une technologie permettant d'améliorer le sort de chacun. Technologie: Toute action, science, travail possède une technologie bien définie pour obtenir un résultat de valeur, acceptable par tous. Augmentez vos connaissances, appliquez-les, et profitez du résultat. N'hésitez pas à nous contacter pour toute question supplémentaire. Votre bonheur nous importe! Ron's Org Grenchen – Suisse +41 32 513 72 20

Introduction: Le discernement repose sur la familiarité et la capacité à évaluer les importances relatives. Le discernement repose sur l'importance du fait en relation avec son environnement. Vous allez faire dans la mesure où vous reconnaissez et observez et évaluez. Plus vous aurez de lois, moins vous observerez. Discernement – (jugement) Extrait de la conférence « La Réabilitation du discernement» du 13 novembre 1959 , donnée par L. Ron Hubbard Vous ne pouvez pas avoir une quantité d’esclaves et ne pas avoir des super codes et des super lois moraux. Vous comprenez ça? En l’absence de discernement vous devez avoir toutes sortes de lois. Et vous pouvez simplement écrire dans vos livres que plus il y a de lois, moins il y a de discernement. En vivant une vie libre, il y a une chose que vous abandonnez. Vous abandonnez, à un certain point, une sécurité contre le fait de se faire pendre. Parce que si un esclave suit un chemin de conduite préétabli exact et pense et obéit toujours à toutes les lois, chaque petite loi, il ne se fera jamais pendre ou punir, pas vrai? Habituellement il le fait. Il est bon, en sécurité, stupide et faible. Il n’a jamais rien à dire! Jamais un cheveu qui dépasse. Mais il existe une sécurité connectée avec cela. C’est plus ou moins pareil pour le gars qui garde un boulot et reçoit sa paie régulièrement, c’est un travail assez sûr, il n’est pas susceptible de se faire renvoyer. Il ne conduit jamais aucune, il ne conduit jamais aucune Mercedes-Benz, mais il mange toujours, voyez. La vie n’a aucun sommet, mais n’a pas non plus d’abîme. Voyez? Sécurité. Une monotonie qui ne change pas. Il n’y a vraiment rien d’incorrect là-dedans. C’est une façon de vivre. On obéit à certaines lois, on souscrit à certains codes et après ça, c’est OK. Le discernement est le facteur qui doit se substituer à la loi. Et un homme peut être aussi libre que son discernement est réhabilité. Et c’est libre au point où il peut l’être, parce que assez bizarrement, il se découvrira en train de faire une erreur et puis, il se mettra des lois en place. Si vous ne le faites pas pour lui, il le fera pour lui-même. Il dira: «Bien, je ne dois jamais le refaire» tout en lavant la tête défoncée du bébé. Voyez? Il dit simplement: «Je ne dois pas le refaire, jamais.» Il a dit en essence, sans forcer: «Article quatre, section huit du code pénal, infanticide, l’abattage de bébés s’accompagnera de punition», vous voyez. Ce n’est pas de cette manière qu’il le dit. Il dit simplement: «Bon, ce n’est pas bien. Un acte mauvais, stupide et insensé et je suis coupable d’en avoir accompli un et par conséquent, après ça, je ne le ferai plus.» Il met en place sa propre loi et il dit: «Je ne tuerai pas les bébés.» Boum . Saisissez l’idée? Mon vieux, il vit dans son propre coin. Il ne se dit presque jamais autre chose. Il dit: «Bien si je m’occupe de bébés, je dois augmenter mon discernement à propos des bébés.» Il ne fait pas ça. Habituellement il plante les freins et crée une loi. Il ne fait pas vraiment un effort pour mieux comprendre avec quoi il a des problèmes et il est susceptible d’en faire des lois. Donc vous voyez qu’il y avait deux choix qu’il pouvait faire quand il fracassait la tête de bébés. Une d’entre elles était de créer une loi: «Infanticide. Je ne commettrai pas d’infanticide comme je l’ai indiqué ci-dessus.» Voyez, c’était une direction. Et il a eu un choix tout à fait différent qui était: «Ici et maintenant, comme indiqué plus haut, si je peux commettre des actions de ce genre avec les conséquences inhérentes, j’ai intérêt à ne pas être aussi sacrément stupide à ce sujet, j’ai intérêt à découvrir quelque chose à ce sujet et j’ai intérêt à améliorer mon discernement à propos des bébés.» Le discernement repose sur la familiarité et la capacité à évaluer les importances relatives. Les importances relatives. Un gars saute sur le pont avec un couteau entre les dents, vous ne voulez pas une machine répondant par stimulus qui lui tirera dessus simplement, parce qu’il est possible que ce soit un de vos amis qui faisait simplement de la plongée sous-marine. Vous ne voulez pas d’une machine répondant par stimulus qui le liquidera simplement. Vous voulez suffisamment de discernement. Bien, le discernement se compose de l’importance du fait en relation à son environnement. Il était là, il est ici, qu’allez-vous faire? Bien vous allez agir en fonction de ce que vous allez reconnaître, observer et évaluer. Vous savez pourquoi il est là, ce qu’il est et ce qu’il fait. Cela dépend entièrement d’une observation plutôt rapide. Plus vous avez de lois, moins vous observez. Vous vous installez dans la sécurité en suivant simplement la loi et un jour la loi passe de mode et là vous suivez toujours la loi. Et toutes vos aberrations [lat. "aberrare" = absurdité, ne pas aller de A à B; également avoir des idées fixes, un comportement incorrect.] sont simplement des lois qui sont passées de mode. L. Ron Hubbard

Introduction: Pourquoi la réalité est une garce? La Réalité faisant partie du triangle d'ARC n'est pas si simple que ça. C'est la partie la plus fallacieuse, car une personne ne voit que «sa propre réalité», et plus quelqu’un est bas de ton, plus il doit avoir raison. La Réalité est une Garce La «Réalité» est la partie du triangle d’ARC que l’on pense être la plus simple. La Réalité est la partie la plus fallacieuse, car une personne ne voit que «sa propre réalité», et plus quelqu’un est bas, plus il doit avoir raison. Il a si peu de thêta qu’il ne peut pas se permettre de se tromper. Un thétan doit toujours avoir davantage raison que tort. Si vous convainquez quelqu’un qu’il a vraiment tort, vous le submergez de la pire façon qui soit. Un auditeur doit très bien comprendre cela. Pour que quelqu’un puisse confronter le fait d’avoir tort, il faut d’abord développer le thêta, améliorer et élargir sa base saine d’avoir raison. Dans une certaine mesure, on pourrait aussi désigner le terme «à tort» par le terme «irréalité». La réalité est également la partie que le thétan ne veut pas voir et qui est souvent déformée pour correspondre à sa propre perspective. En bref, on pourrait dire qu’ il ne veut pas la voir. C’est son refus direct de voir ce qui est. Il y a un peu plus de 30 ans, j’ai eu une cognition très importante. Ce n’est pas vraiment la mienne – elle vient de Ron. J’ai reconnu ce que Ron disait parce que j’étais prêt pour cela. En fait, ce n’était pas la première fois que j’étudiais cette conférence, mais des années auparavant, je ne l’avais pas vu. Je n’ai pu le reconnaître que parce que je ne savais pas si c’était moi ou les autres qui avaient tort. J’ai passé environ six mois à chercher une réponse. À l’époque, je m’occupais du système monétaire et des taux d’intérêt. C’est un sujet extrêmement fascinant, mais à part moi et les scientologues en général, personne ne semblait le comprendre. La solution était ingénieuse et testée. Mais ce n’est pas parce que je l’avais lue et que je l’avais jugée correcte qu’elle l’était réellement. Et le fait que mes amis scientologues la voient de la même façon ne la rendait pas plus correcte, surtout lorsque tant de non-scientologues ne la voyaient pas ainsi. Les scientologues sont-ils simplement d’accord avec moi parce que je suis un leader d’opinion? Dans cette conférence, j’ai appris que les gens qui se situent en dessous de 0,5 (chagrin) sur l’échelle des tons ne peuvent être atteints que par l’effort – c’est-à-dire par l’énergie physique. Tant qu’une menace existe (par exemple, pas de produit = pas de salaire, ou une punition directe), ils feront quelque chose. Si cet effort physique fait défaut, il ne se passe pas grand-chose. Nous ne devrions pas nous laisser irriter par cette situation. Les gens qui se situent entre 0,5 et approximativement 2,2 (aucune émotion attribuée) peuvent être «motivés» par des émotions. Vous pouvez les effrayer, les intimider ou les mettre en colère. Notre société est pleine d’émotions de ce type. La peur de la maladie peut pousser les gens aux actions les plus inattendues; le concept d’un ennemi est incroyablement motivant. Une personne en proie à la compassion est difficile à arrêter, tout comme une personne en quête de vengeance. Les compagnies d’assurances en profitent. Il existe même des proverbes qui vont dans ce sens, comme «La peur est mauvaise conseillère». Les gens qui se situent au-dessus de 2,2 sur l’échelle des tons peuvent être atteints par la raison. Ce n’est qu’au-dessus de 2,2 que l’on commence à voir la réalité de plus en plus clairement. On peut évaluer, accepter, rejeter, etc. La véritable compréhension fait partie du jeu. On est prêt à voir deux ou plusieurs côtés, et aussi à rassembler davantage de données sur un sujet pour parvenir à une véritable compréhension. On peut aussi changer d’avis. On peut simplement regarder et voir ce qui est. Dans une autre conférence, Scientologie 0, du 25 septembre 1963 , Ron dit: «... le gars n’en croit pas ses yeux et il part et dit quelque chose d’autre. Et ceci leur brise pratiquement le cœur en Afrique du Sud parce que cela détruit l’une de leurs données stables, qui est que «s’ils pouvaient le voir de leurs propres yeux, alors ils sauraient». Et il se trouve que ce n’est pas vrai.» … «On pourrait penser à de nombreux cas où les gens voient des choses de leurs propres yeux et ne les croient pas. En fait, ils sont probablement plus nombreux que l’inverse. Il ne faut donc jamais compter là-dessus comme donnée stable. Il n’y a même pas de raison particulière à être terriblement bon pour prouver aux gens que vous êtes bon. Car s’ils disent que vous êtes mauvais à ce point, c’est qu’ils sont incapables d’avoir le pouvoir d’observation nécessaire pour déterminer quand vous êtes bon». – L. Ron Hubbard La déclaration de Ron est fondamentale. Lorsque nous disséminons la Scientologie, nous échouons souvent parce que nous supposons que l’autre personne voit et comprend notre réalité. La déclaration suivante de Ron doit également être prise en compte pour compléter le sujet. Il déclare à plusieurs reprises: « La réalité est proportionnelle à la charge qui a été effacée. » Il parle explicitement de charge et non de signification. Il ne s’agit pas de signification. Il ne s’agit pas de ce que l’on a expérimenté, de qui l’on était, de ce que l’on a fait ou avec qui l’on était. Il s’agit uniquement de dissoudre l’énergie et la charge associées. L’effacement des charges fait monter une personne sur l’échelle des tons et – résumé en une phrase – c’est la seule chose que la Scientologie vise à accomplir. Ce qui précède est la connaissance fondamentale de l’auditeur. Je ne peux que vous recommander de suivre cette formation. Avec mes meilleures amitiés Max Hauri

Introduction: Principle de la Dangerosité: Un aspect extrêmement intéressant que Ron aborde dans cet article me fascine depuis que j’ai lu La Création des Aptitudes Humaines. Chers amis, Un aspect extrêmement intéressant que Ron aborde dans cet article me fascine depuis que j’ai lu La Création des Aptitudes Humaines. Ailleurs, il écrit que la Scientologie ne vise pas à créer des «gens bien». Cependant, il ne faut pas penser que «mauvais» est le contraire de «bon». Ron définit plutôt une «bonne personne» comme quelqu’un qui obéit aveuglément et fait tout ce qu’on lui dit. Les procédés décrits dans le livre, en revanche, encouragent la pensée indépendante et habilitent les individus. Ma propre expérience – à la fois en tant qu’auditeur et en tant que préclair – me permet de le confirmer pleinement. Je crois qu’une personne qui a atteint l’autodéterminisme sait ce qui est «bon» pour elle-même. Avec mes meilleures amitiés. Max Hauri Principe de la Dangerosité Extrait de la conférence Le Rôle du Rire dans le Processing , du 5 juillet 1954 donnée par L. Ron Hubbard. Il y a un autre principe dans le processing: le principe de la dangerosité. Nous constatons qu’à la longue, un individu décline jusqu’à l’état d’esprit selon lequel il croit que la seule manière pour lui d’occuper un espace ou de continuer d’occuper un espace ou d’avoir l’autorisation de sortir d’un espace qu’il occupe est le passeport de sa propre dangerosité. Et lorsqu’un individu n’est plus dangereux, lorsqu’il n’est plus dangereux, il pense que l’environnement est dangereux pour lui à tel point qu’il doive rester à sa place, et qu’il ne peut pas être où il veut. Les choses sont trop dangereuses, par conséquent, il ne peut pas se déplacer librement. Et comme la définition de «l’autodéterminisme» est «déplacer les choses à volonté», nous trouvons bien évidemment que cet individu est profondément submergé car il ne peut pas se déplacer à volonté. Pourquoi? Il n’est pas assez dangereux pour garantir un libre passage le long des voies qu’il aimerait emprunter. Mais d’un autre côté, l’environnement est suffisamment dangereux pour lui pour l’arrêter ou le chasser. L’évolution de ce rapport est donc pratiquement une thérapie totale en soi. Vous voyez, nous avons parlé du rire comme d’une thérapie totale. Très bien. Maintenant quelque chose d’un peu plus sérieux, un peu plus bas que le rire sur l’échelle des tons, voyez-vous, est la dangerosité. On pourrait donc dire que la santé d’esprit – et l’autodéterminisme – de votre préclair dépend du rapport entre le danger qu’il représente lui, comparé à celui de son environnement. Lorsque l’environnement est un danger total, un individu n’est plus dangereux. Vous avez en fait quelqu’un en très mauvais état. Un mauvais état impossible à concevoir, même pour un auditeur, simplement parce qu’il n’a jamais totalement existé – c’est un absolu. Et prenons l’autre extrême, un individu totalement dangereux pour son environnement et pour qui rien dans l’environnement n’est dangereux... c’est aussi une totalité qu’un auditeur trouverait très difficile à voir en fait. En premier lieu, il quitterait la bande de la dangerosité avant d’atteindre ce niveau. Cela continuerait sur une base de 50-50. Il est juste aussi dangereux pour l’environnement que l’environnement l’est pour lui et il va donc monter pour être capable de rejeter l’environnement à volonté. Ainsi, nous le verrions quitter la bande de la dangerosité. Juste comme ça, il continuerait droit dehors. Vous voyez cela? Très bien. Cette proportion de dangerosité est un principe intéressant. Il a été énoncé la première fois dans «Excalibur» en 1938. Et la règle énoncée et qui sous-tend cette observation est que «l’aptitude d’un homme dépend de sa conviction dans le fait qu’il est dangereux pour son environnement». Ce n’est que lorsqu’un soldat ou quelqu’un faisant partie d’une unité militaire est convaincu de ne plus être dangereux pour l’ennemi qu’il s’effondre. Prenez garde de ne jamais avoir aucun rapport avec une compagnie, un régiment ou une division dont la moindre partie a été mise en déroute. Ils vont vous arracher les yeux, vous couper la gorge dans le noir, qui ou quoi que vous soyez. Leur fierté personnelle s’est évaporée. C’est la détérioration la plus fantastique dont vous ayez jamais été témoin de votre vie. Les troupes, disent-ils, doivent subir le baptême du feu. Formulons cela un peu mieux: les troupes doivent avoir observé l’ennemi fuir sous leur feu avant d’être des troupes vraiment insolentes. Bon, c’est ça le baptême du feu. Et ils découvrent qu’ils n’ont pas fui sous les balles. Ils doivent découvrir ces choses avant d’être bons. Mais la dangerosité pour l’environnement existe, et vous découvrirez que pour chaque préclair qui vient vous voir et dont le cas est difficile à traiter, il y a ce facteur fondamental dans le cas. Ce cas croit que l’environnement tout entier est dangereux et que pas la moindre partie n’est sûre. Et un peu plus haut sur l’échelle des tons, il croit que le rire est très dangereux, mortel et impossible. Assist Cela aurait pu être mieux exprimé qu’en terme d’aptitude, mais c’est ainsi que ce fut énoncé dans «Excalibur» en 1938. Il en découle beaucoup, beaucoup de principes qui marchent. Une des première fois où vous rencontrerez cela est lorsque quelqu’un n’est pas en communication et que vous essayez de lui faire vous frapper la main. Nous pourrions administrer une psychothérapie à un chat, un chien, un cheval dans cette mesure. Et que savons-nous? Cela marche très bien, absolument, une psychothérapie à toute épreuve. Nous amenons l’animal à s’élancer ou à faire un petit mouvement vers nous, et à ce moment – en faisant bien attention de ne pas être trop rapide pour ne pas effrayer l’animal – nous reculons. Et nous découvrons que la fois suivante la personne ou l’animal est désireux de se mouvoir avec moins d’hésitation et ensuite nous reculons plus rapidement. Nous pouvons le faire avec la main. Nous pouvons placer notre main sur le côté d’une personne malade qui est presque totalement hors de communication, puis elle bouge sa main comme pour pousser nos doigts, et nous retirons un petit peu nos doigts. Nous constatons qu’elle devient un peu moins hésitante – ce qui lui semble curieux – et elle devient un peu moins hésitante. Et, de nouveau, nous nous retirons un peu plus vite. Et très vite nous constatons qu’elle recouvre un peu de conscience et retrouve un peu de son activité générale. Ensuite, elle commence à concevoir qu’elle est elle-même au moins un tout petit peu dangereuse pour son environnement. Bon, j’ai sorti des enfants de crise de colère, guéri des chats de névroses et remis des préclairs en communication avec ce genre d’activité: les amener à faire un léger mouvement en avant, auquel moment je retire ma main. Pour vous montrer à quel point cela peut être fait tôt: cela a fonctionné avec mon petit garçon lorsqu’il avait environ un mois et demi. Il n’allait pas bien. J’étais donc un peu préoccupé et j’ai commencé à y réfléchir: je me demandais ce que je pourrais bien faire. Tout à coup, cela m’est venu à l’esprit, ce fait à propos de la dangerosité. Ainsi, j’ai laissé ma main se retirer. C’est la personne la plus jeune sur qui j’ai pratiqué cela. Je l’ai pratiqué sur d’autres bébés plus âgés mais, Dieu merci, pas à un mois et demi. Et j’ai laissé ma main s’écarter de lui quelques fois et, tout à coup, j’ai découvert que cela se produisait. Et ce petit garçon n’avait pas fait grand-chose pour ce qui est de rire. Il avait été très sérieux en fait, vous voyez? Et tout à coup, il s’est épanoui avec un sourire. Et nous avons fait cela quelques fois et je jouais à être vraiment terrifié et il a éclaté d’un grand rire à ce sujet. C’était la chose la plus belle que j’ai jamais vue. Ensuite, il est redevenu très affectueux et tout, comme c’est généralement le cas des bébés. Ça l’a remonté de façon incroyable. Et ce fut la fin de ses problèmes gastriques. Il n’y a plus eu de problèmes d’estomac par la suite. C’était environ quinze minutes d’audition. Les résultats sont donc rapides et très bons.   L. Ron Hubbard

Introduction: Nous souhaitons tous une civilisation sans folie, sans criminalité et sans guerre, tout comme L. Ron Hubbard. Un magnifique article sur «Qu'est-ce que la grandeur?» Et notre troisième TR 0 – Soirée Eye Contact, à laquelle tout le monde est invité. Une civilisation sans folie, sans criminels et sans guerre, dans laquelle les gens capables puissent prospérer et les êtres honnêtes avoir des droits, et dans laquelle l’homme soit libre de s’élever à des niveaux supérieurs, tels sont les desseins de la Scientologie. – L. Ron Hubbard Nous vivons tous dans un monde où nous fermons trop souvent les yeux sur la criminalité quotidienne. Mais nous ne devons pas permettre à l’enthêta brutal et épuisant de consommer notre thêta inhérent et de le transformer en enthêta lui-même. Ron dit à juste titre que la confrontation du mal – ou de l’enthêta – exige une aptitude extraordinaire. C’est vraiment malheureux, et je vois souvent nombre de gens adopter la stratégie de survie qui consiste à se cacher la tête dans le sable pour vivre une vie quelque peu agréable. Ron est très clair: pour libérer une personne, il est essentiel d’augmenter son thêta. L’équation est simple: moins une personne a de thêta, moins elle peut confronter ou gérer. En d’autres termes, tous les crimes brutaux et choquants – dont beaucoup sont commis, soutenus et protégés par les gouvernements – sont presque impossibles à confronter pour la plupart des gens.  Malheureusement, notre système judiciaire ne peut faire face qu’aux petits délits, ceux commis par le citoyen moyen. Lorsqu’il s’agit de crimes impliquant des milliards, des guerres brutales et des attaques terroristes, il n’y a pas de juges. C’est pourquoi le dicton est bien plus vrai que nous ne voulons l’admettre: «Les petits voleurs sont pendus, les grands sont salués.» Nous disposons des outils nécessaires pour transformer cette planète en un monde fier et éthique.   L’un des meilleurs outils dont nous disposons est le TR 0. Il élargit l’espace, le thêta et l’aptitude à confronter. Ceux qui ont obtenu des gains significatifs et stables avec le TR 0 savent que si seulement il était pratiqué à l’école primaire, nous serions beaucoup plus proches de l’objectif mentionné ci-dessus. Dans un e-mail récent, j’ai annoncé que le dernier mercredi de chaque mois, nous organiserions une soirée d’information sur l’Entraînement Zéro. Nous élargissons à présent cette initiative afin que tous ceux qui le souhaitent puissent pratiquer le TR 0 au cours de cette soirée. Nous voulons faire de cette soirée un événement de Eye Contact. Je tiens à remercier tous ceux qui contribuent à faire de l’objectif de la Scientologie une réalité. Le soutien que nous recevons est incroyable et nous travaillons chaque jour à appliquer la technologie de Ron d’une manière dont il serait fier.  N’hésitez pas à nous rejoindre et à amener quelqu’un de temps en temps. La prochaine soirée d’information sur l’Entraînement Zéro et l’Evénement Eye Contact aura lieu le mercredi 26 février 2025, à 19:00, à la Ron’s Org Grenchen. Vous trouverez ci-dessous l’article bien connu de L. Ron Hubbard «Qu’est-ce que la Grandeur». Avec mes meilleures amitiés, Max Hauri Qu’est ce que la Grandeur Article de L. Ron Hubbard paru dans le Magazine Certainty 13-3 [March 1966] La tâche la plus difficile que l’on ait est de continuer d’aimer son semblable, même lorsqu’on a toutes les raisons de ne pas le faire. C’est un réel signe de discernement et de grandeur de continuer de le faire, malgré tout. Chance et force ne se maintiennent que s’il n’y a pas de haine. Seule la haine mène au gâchis. Aimer est le chemin qui mène à la force. Aimer est le secret de la grandeur. Et il est bien possible que ce soit le plus grand secret de cet univers. La tâche la plus difficile que l’on ait est de continuer d’aimer quelqu’un, alors qu’on a toutes les raisons de ne pas le faire. C’est un réel signe de discernement et de grandeur de continuer de le faire, malgré tout. Celui qui y parvient a l’espoir en vue. Celui qui n’en est pas capable n’obtient que chagrin, haine et désespoir. Ce ne sont pas des choses dont la grandeur, le discernement ou la chance sont faites. On ne doit absolument pas succomber à la tentation de la haine. Là, nous avons les gens qui nous désignent comme leur bourreau. Parfois, il est nécessaire d’agir pour la sécurité d’autrui, mais ce n’est pas nécessaire de les haïr. De remplir sa tâche, sans se mettre en colère contre celui qui essaie de nous mettre des bâtons dans les roues, est un signe de grandeur et de discernement. Et là seulement, on pourra être heureux. La tentative d’arriver à une capacité désirable dans la vie, est quelque chose de noble. Le plus dur et le plus important est de parvenir à aimer son prochain, malgré toutes les incitations au contraire. S’il existe une capacité pieuse, ce ne serait pas celle de pardonner. Le «pardon» est une manière d’agir bien insignifiante et très proche du reproche et de la critique. La vraie grandeur refuse de changer son attitude, en raison de mauvaises actions d’un autre. Et un véritable grand Être aime ses prochains parce qu’il a de la compréhension pour eux. Ils se trouvent finalement tous dans le même piège. Certains l’ont déjà oublié, d’autres en ont perdu la raison, certains agissent comme ceux qui les ont trompés. Mais ils sont tous, tous dans le même piège. Qu’ils soient généraux, nettoyeurs de rues, présidents ou fous. Ils se comportent de cette manière, parce qu’ils sont tous soumis à la même contrainte cruelle de cet univers. Certains d’entre nous ont succombé à ces contraintes mais continuent, malgré cela, d’aller à leur travail. D’autres ont renoncé depuis longtemps, se sont déchaînés et se comportent comme des égarés qu’ils sont. De vouloir sauver l’un ou l’autre d’entre eux serait une tentative périlleuse. Si quelqu’un voulait approcher certains dirigeants de ce monde, travailler avec eux et leur proposer de les libérer (comme seul un Scientologue le peut), alors la réaction serait un accès de folie furieuse, un appel à leurs gardes du corps et les suites seraient fâcheuses. L’un d’eux a réagi de cette façon – il a été assassiné par la suite, absolument pas par notre volonté, seulement à cause de l’incompétence de ses gens. Il aurait pu se servir de la Scientologie. Au lieu de cela, il essaya immédiatement de la stopper. Pour se faire, il attaqua des organisations de Scientologie et organisa diverses actions folles furieuses contre elles. Qu’il ait été assassiné n’a rien à voir avec nous et montre seulement à quel point il était réellement vulnérable et mortel. Quand nous deviendrons plus forts, nous pourrons distribuer notre aide très généreusement. Jusque là nous sommes du moins capables de comprendre que la grandeur n’a rien à voir avec des guerres sauvages ou la célébrité.  Elle provient de sa propre décence et honnêteté, de sa propension continuelle à aider quoi que ceux qu’on aide fassent, pensent ou disent, malgré toutes les attaques colériques dirigées contre nous. Nous devons rester stables, sans changer notre attitude fondamentale envers les êtres humains. Un Scientologue complètement formé est bien plus capable de comprendre la situation qu’un autre partiellement formé. Car le Scientologue qui s’y connaît réellement n’a pas seulement confiance en lui et en ses capacités de protéger, mais aussi en ses aptitudes de comprendre pourquoi d’autres agissent comme ils agissent. Et avec cette connaissance, en cas d’échec, il ne sera plus aussi confus ou découragé. La vraie grandeur dépend, finalement, de la connaissance universelle. L’humanité agit comme elle le fait parce qu’elle est ce qu’elle est: des esprits prisonniers, écrasés sous un fardeau insupportable. Et si, pour cela, ils sont devenus fous et sont tombés dans la folie d’une fausse interprétation, et ont fait détruire des états entiers, on peut toujours encore en comprendre la raison et aussi saisir l’ampleur de leur folie. Pourquoi devrait-on changer et tomber dans la haine, seulement parce que d’autres se sont perdus et que leur propre destin est trop atroce pour qu’ils arrivent à y faire face. La justice, l’indulgence ou le pardon, en importance, sont tous bien loin derrière l’aptitude à ne pas changer, malgré les provocations ou les exigences à le faire. On doit agir, on doit préserver l’ordre et l’honnêteté, mais on n’a pas besoin de haïr et de rechercher la vengeance. Il est vrai que les êtres humains sont faibles et qu’ils commettent des erreurs. L’Homme est fondamentalement bon, mais il est capable de mal agir. Il n’agit mal que si ce qui est fait pour l’ordre et la sécurité d’autrui, l’est fait avec haine. Ou si ses actions ne sont basées que sur sa propre sécurité, sans égard pour les autres. Ou, encore plus mauvais: s’il agit uniquement en raison d’un penchant pour la cruauté. Ne pas garder d’ordre du tout est une manière d’agir de malade mental. Il suffit de regarder les possessions et l’environnement d’un fou pour s’en rendre compte. L’homme normal maintient l’ordre. Quand la cruauté au nom de la discipline domine une race, cette race a été éduquée à haïr. Et cette race est condamnée. Apprendre à aimer est la véritable tâche. Celui qui veut traverser la vie actuelle de façon intacte doit l’apprendre. Quoi qu’on nous fasse, on ne doit jamais s’en servir comme raison pour haïr. Ne désirez jamais de vengeance. Cela demande une réelle grandeur d’aimer les êtres humains; et ce, malgré toutes les invitations, les provocations et les raisons de ne pas le faire. Chance et force ne se maintiennent que s’il n’y a pas de haine. Seule la haine mène au gâchis. Aimer est le chemin qui mène à la force. Aimer est le secret de la grandeur. Et il est bien possible que ce soit le plus grand secret de cet univers. L. Ron Hubbard

Introduction: On constatera en examinant le comportement sexuel des êtres humains et ce tableau de l’échelle des tons que le libertinage, la perversion, le sadisme et les pratiques déviantes tombent très bas sur l’échelle. La deuxième dynamique, et plus particulièrement le comportement sexuel, est un sujet de discussion récurrent dans notre société. Malheureusement, certains groupes ont reçu le soutien de l'État pour des aberrations sexuelles au cours des dernières décennies. À proprement parler, ni l'État ni l'Église n'ont à se mêler des questions de sexualité et de deuxième dynamique. Je n'ai rien à ajouter à ce sujet. Meilleures amitiés. Max Hauri   Comportement Sexuel Tiré du livre « Science de la Survie » par L. Ron Hubbard avec l'échelle des tons Dans la culture actuelle, l’aberration sexuelle est très forte. Tour ce qui est caché et fortement réglementé dans une culture deviendra aberré. Il existe une confusion considérable au sujet du sexe dans les cultures américaine et européenne. Comme il y avait tellement de perversion, de libertinage er de mauvais traitement des enfants, on a abouti à la conclusion erronée que le remède résidait dans une réglementation accrue, alors qu’en réalité, c’était la réglementation qui détraquait la dynamique. On constatera en examinant le comportement des êtres humains et ce tableau de l’échelle des tons que le libertinage, la perversion, le sadisme et les pratiques déviantes tombent très bas sur l’échelle. L’amour libre, lui aussi, tombe dans cette zone très basse parce que l’Homme est relativement monogame et parce qu’il est non-survie de ne pas avoir de système bien ordonné pour la procréation et l’éducation des enfants par la famille. Dans une société qui tombe dans la zone de 1,1 sur l’échelle des tons, on peut s’attendre à trouver des abus sexuels, du libertinage er à ce que la société malmène et maltraite les enfants, et à ce qu’elle agisse, en bref, d’une manière très similaire aux cultures actuelles. Il est d’une importance vitale, si nous voulons faire cesser l’immoralité, l’amour libre et le mauvais traitement des enfants, de désaberrer cette dynamique pour le bien de la société tout entière, sans parler de celui des individus. Au point MEST le plus haut de l’échelle des tons, à 4,0 , nous trouvons la monogamie, la fidélité, un niveau élevé de bonheur et une réaction très morale à l’égard du sexe, mais nous trouvons aussi que l’impulsion sexuelle y agit pour créer plus que des enfants, et ainsi il se produit une sublimation du sexe en pensée créatrice. À 3,5 sur l’échelle des tons, nous avons un grand intérêt pour le sexe opposé et la fidélité, mais nous n’avons pas une aussi grande sublimation. À 3,0 sur l’échelle des tons, nous avons une baisse d’intérêt pour le sexe, mais nous avons un intérêt dans la procréation et les enfants. À 2,5 nous avons un désintérêt pour la procréation, sans autre raison que l’incapacité générale à s’intéresser à quoi que ce soit. L’acte sexuel peut être accompli de façon adéquate, du moment que la capacité physique est présente. Dans la zone de 2,0 on commence à avoir un dégoût pour le sexe, une répulsion envers le sexe, surtout lorsqu’il est pratiqué de façon irrégulière. Dans la zone de 1,5  sur l’échelle des tons, nous trouvons que le sexe se manifeste sous forme de viol ; nous trouvons que l’acte sexuel est accompli comme une punition. À 1,1 sur l’échelle des tons, nous entrons dans la zone de l’inversion la plus vicieuse de la deuxième dynamique. Nous avons ici le libertinage, la perversion, le sadisme er les pratiques déviantes. Il n’y a là aucune joie dans l’acte sexuel, à la vérité, mais une anxiété fébrile à son sujet. L’acte sexuel ne peut pas être vraiment apprécié, qu’il soit accompli normalement ou de façon déviante. Ici se trouve la prostituée, le pervers, la femme infidèle, l’amour libre, les mariages faciles et les divorces rapides, et en général un désastre généralisé sur le plan sexuel. Les gens à ce niveau sur la deuxième dynamique sont profondément dangereux pour la société, car l’aberration est contagieuse. Une société qui atteint ce niveau est en train de disparaître de l’Histoire, comme le firent les Grecs, les Romains er comme le font les cultures modernes d’Europe et d’Amérique. Cela est un signal de danger flagrant dont il faut tenir compte si une race doit continuer à progresser. À 0,5 nous avons l’impuissance et l’anxiété concernant le sexe, avec uniquement des efforts occasionnels pour procréer. À partir de 0,5 en montant l’échelle, nous avons de temps en temps des regains d’intérêt pour la deuxième dynamique qui retombent rapidement. Il est intéressant de remarquer ici l’application du principe de la spirale descendante à la deuxième dynamique. Sur n’importe quelle dynamique et dans chaque colonne de ce tableau, quand l’individu tombe en dessous du niveau 2,0 , la spirale descendante le fait rapidement tomber à 1,5 - 1,1 - 0,5  jusqu’à la mort. Cela est particulièrement évident sur la deuxième dynamique. L’individu à l,l,  engagé aujourd’hui dans une activité pseudo-sexuelle effrénée, se trouvera lui-même dans un très proche avenir (d’habitude bien plus proche qu’il ne le soupçonne) au niveau 0,5  de l’impuissance et de l’anxiété. Au niveau de 0,5 les organes sexuels deviennent relativement inutiles. En effet, cette échelle des tons de la deuxième dynamique s’applique étroitement à l’activité endocrinienne de l’individu, à la forme et à la condition du corps. La femme qui se situait à 1,1 sur l’échelle durant son adolescence n’aura pas une structure pelvienne ou un système endocrinien suffisamment développés pour lui permettre de facilement mettre au monde des enfants. Des naissances difficiles sont le résultat habituel d’un séjour trop long dans une zone basse sur l’échelle des tons lors de la période de formation du corps. On ne peut s’attendre à des naissances faciles que chez les femmes qui sont relativement hautes sur l’échelle des tons. Il est à noter que dans la zone allant de 1,1 à 0,5  sur l’échelle des tons, les muscles, plus particulièrement les muscles sexuels, n’ont pas de tonus. La nymphomane et le satyre ont des muscles extrêmement flasques et le tonus aux alentours de 0,5  est quasiment inexistant. Dans la zone de la mort prétendue, il n’y a, bien sûr, aucun effort pour procréer. Dans la zone de -1 * [-1 se trouve juste en dessous de la mort, c'est-à-dire en dessous de 0 sur l'échelle] où l’organisme est mort en tant qu’organisme, mais où les cellules survivent encore, il est intéressant de noter que l’éjaculation et l’activité sexuelle se produisent parfois immédiatement après la mort de l’individu (ce qui donne une indication de la puissance et de la force de cette dynamique). En cytologie, la vie est définie comme un courant sans fin de protoplasmes depuis l’apparition de la vie elle-même jusqu’à maintenant. Ce protoplasme, tel un courant génétique continuel à travers les âges, est modifié par la sélection naturelle et par l’influence de l’environnement, ainsi que par ce qui semble être purement et simplement une planification de génération en génération. La vie étant tellement dépendante de cette ligne vitale, il est très facile d’accorder une trop grande importance à l’acte sexuel, la chose qui maintient cette ligne vitale en un courant continuel. L. Ron Hubbard

Autodétermination vs Autodéterminisme   Introduction: Ron n'a JAMAIS utilisé le mot «autodétermination», c'est également le cas pour le mot anglais «self-determination». Grâce à la numérisation complète et au scannage de tous les documents, il est facile d'en apporter la preuve. Ron a utilisé un mot qui n'existe pas vraiment en anglais: «Self-Determinism», soit en français «autodéterminisme». Apprenez la différence entre l'autodétermination et l'autodéterminisme. Cette lettre d’information a un impact différent selon la langue. Ma langue maternelle est l’allemand, et j’ai découvert une erreur de traduction remarquable depuis que la Scientologie a commencé à être traduite en allemand et en français. Il s’agit d’une sorte de «faux ami». [Le terme «faux ami» est un mot qui, dans une langue, présente une forme similaire à un mot d'une autre langue mais en diffère par le sens, soit partiellement (faux-ami partiel), soit totalement (faux-ami absolu ou total). Les faux-ami s, souvent pernicieux, tendent un piège linguistique aux traducteurs inexpérimentés, les menant à des interprétations erronées et parfois comiques. «Actuality» ressemble au français «actualité», mais il signifie en fait «en réalité»]. Ron n'a JAMAIS utilisé le mot «autodétermination», c'est également le cas pour le mot anglais «self-determination». Grâce à la numérisation complète et au scannage de tous les documents, il est facile d'en apporter la preuve. Ron a utilisé un mot qui techniquement n’existe pas en anglais: «Autodéterminisme». Remarque: Dans les deux langues, l’adjectif est «self-determined» (autodéterminé). Différence entre l'autodétermination vs l'autodéterminisme Autodétermination Le terme «autodétermination» est un terme que l’on trouve généralement dans un dictionnaire standard. Ce mot invite souvent les gens à inventer leurs propres définitions ou à l’interpréter de manière particulière. Voici les définitions traduites, tirées du dictionnaire anglais Wordbook : Autodétermination, n.f. 1. Capacité d’un individu à prendre des décisions propres, libéré de toute contrainte ou influence externe. 2. La décision par le peuple d’une nation, de la forme du gouvernement qu’il souhaite avoir, sans tenir compte des souhaits d’une autre nation, en particulier d’une nation à laquelle ils ont été soumis. Définition 1. est relativement proche de la définition de l’autodéterminisme, mais ne reflète pas la définition de Ron. L’autodétermination est souvent comprise dans le sens de: «Je décide de ce que je fais! Personne ne me dit ce que je dois faire!» – une interprétation du terme plutôt simpliste, voire enfantine. En réalité, l’autodétermination est davantage liée à quelque chose d’accordé de la part de l’extérieur, tandis que l’autodéterminisme fait référence à un état supérieur, plus souhaitable. Autodéterminisme Axiome 111: L’autodéterminisme consiste en un maximum d’affinité, de réalité et de communication. Axiom 117: Les composantes de l’autodéterminisme sont l’affinité, la communication et la réalité. L’autodéterminisme se manifeste sur chaque dynamique. Vous pouvez trouver d’autres définitions en cliquant sur ce lien: http://www.slovary.pro/en.php?search=self-determinism&submit=Search Si l’autodéterminisme est défini comme «un maximum d’affinité, de réalité et de communication», il doit se situer à un niveau élevé sur l’échelle. En d’autres termes, il correspond à des valeurs de 4,0 ou plus sur l’échelle des tons. Voici un extrait particulièrement pertinent du livre « Voyage vers soi-même » de Richard DeMille, qui a travaillé à l’époque en étroite collaboration avec Ron et qui est également l’auteur du livre « Comment Vivre, Bien que Cadre ». Attributs de l’Autodéterminisme   Extrait du livre Voyage Vers Soi-même  de Richard DeMille en collaboration avec L. Ron Hubbard. Certaines des attitudes de l’autodéterminisme, telles qu’elles sont énoncées dans le Tableau Hubbard des Attitudes et ailleurs, sont énumérées ici. L’individu autodéterminé: Survit, a Raison, est pleinement Responsable, Possède tout, Contrôle les objets, Perçoit le mentals des autres, est Vérité, est Foi (Confiance), Sait, Cause, est Libre, Crée, change et décrée l’Espace, Crée, change et décrée le Temps Crée, change et décrée l’Énergie, est une source de Mouvement Crée, change et décrée les Illusions. ou: Ce que l’Autodéterminisme N’est Pas Peut-être devrions-nous dire quelque chose sur ce que l’autodéterminisme n’est pas. Là encore, nous évitons les malentendus en éliminant les conceptions antérieures avant de discuter des conceptions actuelles. L’autodéterminisme n’est pas l’égoïsme. L’autodéterminisme n’est pas l’altruisme. L’autodéterminisme n’est pas l’arrogance, l’orgueil, l’obstination, l’entêtement, le sectarisme, le fanatisme, l’égocentrisme ou le fascisme. On doit être autodéterminé pour comprendre l’autodéterminisme. L’autodéterminisme est un principe qui peut être compris en proportion directe du degré auquel il est expérimenté. Un homme qui a cédé 99 % de son autodéterminisme à son environnement peut apprendre au sujet de l’autodéterminisme jusqu’à ce qu’il soit rouge de colère, mais il ne comprendra qu’un pour cent de ce qu’il lit. On demande à nouveau à l’étudiant de ne pas être trop pressé de comprendre ce que l’on entend par autodéterminisme. Toute la Scientologie est une étude de l’autodéterminisme. L’autodéterminisme est un principe qui doit être utilisé et pas seulement discuté. On ne devient pas autodéterminé en accrochant à son corps un panneau signalant «Autodéterminé», pas plus que le gouvernement ne peut rendre tout le monde riche en imprimant beaucoup, beaucoup d’argent. Ce genre de «richesse» et ce genre «d’autodéterminisme» ne sont que mirages. L’autodéterminisme est une échelle de gradient. Plus on monte sur cette échelle, plus on manifeste de créativité, de réceptivité et de bon sens. Un tel comportement haut sur l’échelle ne peut être reconnu facilement que par des êtres hauts sur l’échelle. Les êtres bas sur l’échelle échouent presque inévitablement et refusent de reconnaître les comportements hauts sur l’échelle. A prime abord, cela peut sembler du plus pur snobisme, mais l’étudiant le découvrira par lui-même – et donc on ne lui demande même pas de croire le présent auteur – que ceux qui vivent au fond de la mer ne peuvent pas considérer pleinement la vie des oiseaux. Heureusement, si les poissons s’intéressent suffisamment à leur propre vie, ils peuvent s’élever à la surface de l’eau et se faire pousser des ailes. C’est ce qu’on appelle l’audition. Contradictions de l’Autodétermination L’autodétermination a évolué dans notre société en un concept qui peut être utilisé à la fois pour éviter le contrôle et pour exercer un contrôle sur les autres. Le droit à l’autodétermination est souvent poussé à l’absurde. Sans entrer dans les détails, il semble politiquement incorrect de remettre ce droit en question. Pour un scientologue, la question peut se poser: Peut-on exiger de quelqu’un qu’il suive un cours ou qu’il accepte de l’audition? Dans notre société, il y a des milliers de questions similaires – n’importe quel parent peut raconter des histoires à ce sujet. Il semble presque absurde de débattre de la question de savoir s’il est déraisonnable d’exiger de quelqu’un qu’il participe à un cours ou qu’il prenne de l’audition, alors que dans le même temps nous acceptons de payer tous les impôts à l’État, d’adhérer aux lois écrites et non écrites et, dans des cas extrêmes, même de faire la guerre pour tuer d’autres êtres humains – une action qui, dans d’autres circonstances, serait passible de longues peines de prison, voire de peine de mort. Peut-on influencer un pauvre Homo sapiens déterminé par d’autres avec l’audition? De mon point de vue, il s’agit d’un faux point de vue, d’un faux flux. Le flux correct est le suivant: Dans ce vaste réservoir à requins, nous aidons un individu à retrouver son véritable autodéterminisme! C’est merveilleux de terminer une année et d’en commencer une autre avec cette cognition (réalisation)! Le Tableau des Attitudes Hubbard fait partie du Guide pour Préclairs et peut être obtenu à la Ron's Org, tout comme le livre Voyage vers soi-même . Avec mes meilleures amitiés. Max Hauri Une Analyse de l’Autodéterminisme Tiré du livre Procédure Avancée et Axiomes de L. Ron Hubbard. Disponible en anglais . Le but de l’auditeur, à l’égard de son préclair, n’est pas un soulagement «psychosomatique», ni l’amélioration de son apparence, ni de le rendre plus efficace ou d’avoir de meilleures relations interpersonnelles. Ce sont des effets secondaires. Le but de l’auditeur vis-à-vis de son préclair est de réhabiliter l’autodéterminisme de celui-ci. Pour comprendre ce but, examinons quelques données et acquérons une compréhension approfondie de ce qu’est l’autodéterminisme. Avant la Dianétique, il y avait de vagues poussées dans cette direction, mais l’état lui-même manquait de définition et il n’y avait certainement pas de pont construit dans sa direction. L’autodéterminisme est l’état d’être dans lequel l’environnement contrôle ou non l’individu, selon le choix de ce dernier. Dans cet état, l’individu a confiance en sa capacité à contrôler l’univers matériel et les organismes qu’il contient, sur toutes les dynamiques. Il a confiance dans tous les talents ou aptitudes qu’il peut avoir. Il est confiant dans ses relations interpersonnelles. Il raisonne, mais n’a pas besoin de réagir. Sur l’échelle des tons, nous avons, au niveau optimal, «Je suis», et au niveau le plus bas, «Je ne suis pas». Entre les deux, nous avons, depuis le niveau optimal jusqu’en bas, divers degrés de «Je suis» et de «Je ne suis pas». Plus on descend, plus il y a de «Je ne suis pas» et moins de «Je suis». C’est une zone qui descend de 20,0 à 0,0. Le Non-Être est la Mort. C’est la représentation de l’état d’être et de l’état de Non-Être. Un plein autodéterminisme dans chaque dynamique se situe à 20,0. Un individu entièrement déterminé par autrui est à 0,0. Une échelle graduée s'étend entre ces deux points. L’échelle des tons contient une colonne parallèle à l’échelle graduée «Je suis», «Je ne suis pas». C’est l’échelle «Je sais», «Je ne sais pas». «Je sais» se situe à 20,0. «Je ne sais pas» est à 0,0. Au fur et à mesure que l’on descend, on trouve entre ces deux points: «Je comprends», «J’essaie de comprendre», «Je refuse de comprendre», «J’ai peur de comprendre», «Je ne peux pas comprendre», «Je ne sais pas». Une autre échelle parallèle est «J’ai confiance» à 20,0 et «Je n’ai confiance en rien» à 0,0. Au fur et à mesure que l’on descend, on a de moins en moins confiance et on se méfie de plus en plus, jusqu’à ce que l’on atteigne la mort. Pendant des millénaires, le mystique a parlé de la foi. Il n’a jamais construit de pont qui y conduise. Il a commis la terrible erreur fondamentale de convertir Foi en Avoir la Foi. En disant Ayez la Foi, il a invité la compréhension, puis la confusion de la compréhension parce que l’on ne comprend pas la Foi. On est la Foi. La source, le contenu et le contact avec la foi, c’est vous . Le résultat de cette erreur mystique (et cette erreur est grossière) fut de placer les individus si bas sur l’échelle des tons que «amour» et propitiation sont devenus des mots passe-partout, une supercherie, et sont à l’ordre du jour. Voici une religion 1,1. Elle a peur de comprendre, car elle doit Avoir la Foi, mais ce n’est pas de la Foi, car la Foi n’est pas compréhension. D’où la confusion générale à 1,1. Un effet secondaire de cela est le fait que les individus qui ont ainsi la Foi vont trop lentement. Vous obtenez les perceptions extrasensorielles, l’hypnotisme, des facsimilés embrouillés avec d’autres, le martyre, les maladies physiques et bien d’autres choses indésirables à cette petite vitesse. C’est trop près du statique de mort à 0,0 et les gens qui en font partie sont terriblement morts, inefficaces et irrationnels. Ceux qui essayent d’avoir la Foi ne sont pas la Foi. Ils ont donc peur (1,1) et tombent dans la propitiation (1,1) et sont généralement dans la confusion. A 20,0 la déraison ne nous séduit pas. D’abord, ils ont commencé par Connaître la Foi puis ont sombré dans la confusion en obtenant une explication de la Foi. Grâce à des succès spectaculaires (aussi rares soient-ils), le mystique a continué à se démener pour quelque chose qu’il avait déjà, car il ne disposait d’aucun moyen de retourner où il était. Les îlots d’énorme réussite d’ être la Foi , perdus dans l’océan d’échec d’ avoir la Foi , ont permis au mystique de poursuivre son combat. A présent, il est possible d’obtenir la Foi , ou de regagner ce que l’on a perdu. «Je suis», «Foi», «Je sais» sont à 20,0 et au-dessus. A 20,0 sur l’échelle graduée, ils sont en harmonie optimale avec le MEST (l’univers physique). Mais à mesure qu’ils s’élèvent au-dessus de 20,0, ils deviennent de moins en moins efficaces à l’égard du MEST, jusqu’à ce que le statique supérieur soit atteint, à 40,0. L’échelle est un cercle. 40,0 et 0,0 sont identiques, aussi est-il possible d’aller dans deux directions vers la mort. On est moins bien loti à 21,0 qu’on ne l’est à 20,0, puisque le MEST s’amenuise. Le mystique austère mais grêle et faible, qui s’attarde sur les abstractions, est moins capable de Savoir . Au-dessus de 20,0, il existe une échelle entière correspondant à l’échelle en dessous de 20,0 en matière d’indésirabilité. Une autre erreur primordiale a été commise (elle fait partie de notre culture, aussi bien religieuse que scientifique), c’est l’erreur de la «source unique». A 1,1, il semble qu’il y ait une source unique. De même à 39,0. Cependant, ces deux points n’offrent pas de vue nette. Toutes les formes de vies ne viennent pas d’une source unique. Les idées du Nirvana, du Walhalla, d’Adam, de la cellule originelle  – toutes sont plus ou moins complètement réfutées à présent. Il y a une source pour chaque ligne génétique. On entend par là une forme thêta (le statique de la pensée) ainsi qu’une forme MEST. Il y a autant de sources que d’organismes vivants, chaque ligne étant distincte et individuelle. La ressemblance des formes dans une espèce provient d’environnements similaires et de l’âge de la classe, non d’une source unique. Une preuve positive de cela réside dans le fait que l’empreinte génétique du corps, la santé d’esprit et l’efficacité se manifestent lorsque l’on parvient à rétablir le plus grand autodéterminisme possible. Une preuve négative en est que, s’il y avait une source unique, la découverte des facsimilés de la ligne génétique (de l’empreinte génétique du corps) devrait permettre à un seul individu de remonter et d’effacer les perturbations originelles de toute la race humaine. On a essayé de faire cela plusieurs fois. Cela n’a d’effet sur personne d’autre que sur le préclair. Sa source est le modèle même de l’autodéterminisme. Alors, qu’essayez-vous de faire avec votre préclair? Vous le réhabilitez, à partir d’un état partiel de «Je ne suis pas» jusqu’à un état de «Je suis»; de «Je ne sais pas» à «Savoir»; et de «Méfiance» à «Confiance». Si vous vous concentriez uniquement sur la méfiance que les autres éprouvent pour lui et sur sa méfiance des autres, sur la foi qu’il a imposée aux autres et la foi que les autres lui ont imposée, et sur sa confiance et sa méfiance sur toutes les dynamiques, en particulier pour lui-même, et si vous désensibilisiez de tels facsimilés, votre préclair atteindrait au moins les alentours de 10,0. Les cas occlus peuvent n’être que des cas de confiance trahie, car le préclair ne peut pas se faire confiance et ne peut donc pas avoir confiance en ses rappels. Parcourez «confiance-méfiance» et imposé et trahi sur «savoir», «je suis» et «foi» dans l’Acte Quatre. L. Ron Hubbard

Introduction: Je suis optimiste, mais je ne peux pas fermer les yeux sur la réalité : La planète prison Terre. Ron le formule de manière très positive, mais il a raison. Sans entrer dans les détails: C'est justement dans les enseignements mentionnés que nous avons un énorme besoin d'agir. La conférence de Ron sur les Cycles de Communication de l'Audition vous en dit long. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article, ci-dessous. Planète Prison Terre Extrait de la conférence: "Les Cycles de Communication d’Audition" Saint-Hill Special Briefing Course 320, donnée par L. Ron Hubbard le 6 Août 1963 De temps à autre, quelqu’un me dit: «Eh bien, pourquoi ne fais-tu pas...» ceci ou cela, ceci ou cela, ceci ou cela – c’est le cœur de la situation – «Pourquoi ne changes-tu pas toutes les actions administratives? Pourquoi n’altères-tu pas toutes les lignes des Organisations Centrales? Pourquoi ne fais-tu pas...» et ainsi de suite. «Pourquoi ne changeons-nous pas tout ce qu’il y a dans le cours?» etc. Ces personnes en fait ne voient ni l’envergure, ni la profondeur du problème auquel elles ont affaire. Et ce problème est le suivant: la nature de cette planète et de sa population fait qu’il est pratiquement impossible de réaliser quoi que ce soit avec cette planète. Et je ne pars pas d’un point de vue défaitiste. Mais c’est absolument extraordinaire, le stress, la réflexion, la prévention et les remèdes et ceci et cela, auxquels vous devez vous livrer ici sur cette planète pour accomplir et faire fonctionner quoi que ce soit. Vous voulez savoir pourquoi? Eh bien, nous allons y revenir dans un instant. Mais ceux d’entre vous qui ont connu en arrière sur la Piste du Temps une expérience où vous rassembliez tout simplement quelques gars et vous accomplissiez quelque chose, vous voyez? Eh bien, c’était une expérience commune, et vous avez encore tendance à agir dans ce secteur et cette sphère d’influence. En d’autres termes, vous vous êtes dit: «Ma foi, c’était très facile. Il suffit d’appeler Pierre, Jacques et Jean, et tous les quatre nous irons là-bas réparer les pancartes et tout baignera dans l’huile», voyez? Et vous êtes fin prêt, voyez? Mais ça, c’était autrefois et ailleurs. Et vous mettez en pratique cette notion fondamentale ici sur cette planète et vous avez immédiatement des problèmes. Pourquoi? Cette planète fait partie d’une plus grande Fédération – faisait partie d’une ancienne Fédération, puis elle a cessé d’être sous son contrôle, à cause de pertes à la guerre et d’autres choses de ce genre. Et cette plus grande confédération, ce n’est pas son vrai nom, mais nous l’avons souvent appelée la Confédération de Marcab et autrefois nous nous y référions ainsi. Et à tort ou à raison, on l’a appelée dans le passé l’une des étoiles de la queue de la Grande Ourse, qui est la planète mère de la constellation dont fait partie cette planète. Bon, tout ça fait très opéra de l’espace et ce genre de chose, et vous m’en voyez désolé. Mais je ne suis pas le genre de personne à tergiverser avec la vérité. Il y a des gens que cela défrise de temps à autre, mais je ne vois pas pourquoi il faudrait raconter des mensonges pour être accepté. Cela ne me semble simplement pas une bonne manière de faire, surtout dans le domaine de la science. Je ne pense pas qu’un savant doive raconter tout un tas de «mensonges scientifiques» (entre guillemets) pour être un savant acceptable. A mon avis, ce n’est pas une façon sensée de procéder. Quoi qu’il en soit, ces diverses planètes se sont alliées pour former une civilisation gigantesque qui a vécu et évolué au cours des deux cent mille dernières années et se compose de fragments de civilisations plus anciennes. Maintenant, je ne peux pas vous dire exactement et en détails ce que ces gars ont en tête ni d’où ils viennent, mais ce n’est vraiment pas lié à cette galaxie. C’est la première chose que vous devriez savoir. Cette civilisation n’appartient pas entièrement à votre Piste. Vous y trouvez un type d’implantation mentale et ce genre de chose qui ont eu lieu au cours des deux cent mille dernières années, et qui ne proviennent pas de votre Piste du Temps antérieure. Eh bien, tout cela est très important; c’est très important parce qu’ils ont un problème terrible. Leur problème, ce sont les gens qui sont originaires de cette galaxie et qui ne sont pas accoutumés à ce genre de chose, et ils ont ce problème fondamental: comment fait-on pour tuer un thétan? Et ça, c’est un problème terrible pour des gens qui ont la conscience très, très chargée et qui ont du sang sur les mains – un problème énorme. La meilleure façon de dissimuler vos Actes Néfastes c’est probablement de rendre quelqu’un amnésique, vous voyez (ainsi, il ne sait pas ce que vous lui avez fait), puis de lui dire qu’il s’est produit quelque chose d’autre. Eh bien, c’est la dramatisation d’un esprit très lâche, et c’est ce qui se passe ici. Maintenant, le gars qui se conforme à cette société ne court pas un grand danger. Peut-être qu’un gars, dont le dossier militaire montre qu’il est contre eux et ce genre de chose, se retrouverait incapable de se conformer de manière satisfaisante, quoi qu’il fasse. Mais ce que je veux dire ici, c’est que, pour eux, l’idéal, c’est le conformiste. Et ces conformistes sont plutôt bizarres, et les membres de cette société particulière sont plutôt crapuleux, c’est le moins que l’on puisse dire. Supposons que vous vous trouviez dans les bas-fonds les plus sordides d’un quartier de maisons closes. Eh bien, les gens que vous y verriez seraient hauts de ton, à côté des gens qui forment les populations des planètes dont je suis en train de vous parler. Des gens hauts de ton, beaucoup plus hauts de ton que leur monsieur tout le monde. Ils pratiquent le cannibalisme. Le genre de truc que vous trouvez sur les circuits de courses – de temps à autre un de vos préclairs tombera sur ces circuits de courses et sur les conducteurs – vous savez, les divertissements du type jeux du cirque des Romains. Tout ce genre de choses – tout ça vient tout droit de ce secteur. Et nous sommes toujours dans ce système planétaire. Donc, leur spécialité est le gars qui se conforme. Il s’agit généralement d’un «travailleur» qui se contente de toucher son salaire sans faire une seule chose de plus. Voyez-vous? Il n’essaie jamais de s’élever au-dessus de sa condition, d’améliorer son sort. Il se traîne tant bien que mal et sombre même parfois dans l’indigence. Il est quand même leur homme idéal. Restent donc le brillant artiste, le brillant ingénieur, le directeur, le génie, le criminel, le pervers, la persona non grata . Et ils condamnent ces gens, la classe supérieure (c’est-à-dire les hommes les plus brillants), parce qu’ils sont incapables de les contrôler et qu’ils en ont peur; ils condamnent également la classe inférieure, parce qu’elle est trop cruelle, même pour eux. Et ils condamnent tous ces gens à l’amnésie à perpétuité. «La mort à perpétuité» comme ils l’appellent, le problème consistant à tuer un thétan. Puis ils les emballent dans de la naphtaline et les expédient ici. Et nous voici donc ici. Et voilà de quoi se compose la population de cette planète. Très bien. Voici donc une population qui se compose d’un nombre minimal d’ouvriers et d’un nombre maximal de directeurs, d’artistes, de génies, de criminels et de pervers. Qu’est-ce que vous allez faire d’un tel mélange, hein? [Rires du public] Voilà les gars à qui vous parlez lorsque vous dites: «Additionne les chiffres de la colonne de gauche du livre de comptes.» Eh bien, l’artiste dira naturellement qu’il peut les additionner bien plus joliment. Et le gars qui était véritablement un administrateur très compétent dira de son propre chef qu’il pourrait mettre au point un système bien plus efficace (et c’est probablement vrai). Et si le gars est un criminel, il restera tout simplement assis là et essaiera de trouver comment les additionner de manière à vous arnaquer. Et c’est là le cadre dans lequel vous opérez. Voilà le genre de réaction au 8-C que vous obtenez quand vous essayez de faire fonctionner une organisation. C’est de l’alter-is total, parce que le crime fondamental, c’était de ne pas se conformer. Le crime fondamental n’était pas d’être un criminel; le crime fondamental était de ne pas se conformer. Eh bien, en fait ce groupe est allé de l’avant et a créé jusqu’à une époque récente, une civilisation complètement différente de la civilisation qui l’a plantée ici. Au cours des dix mille dernières années, ils ont continué avec une sorte de civilisation décadente et opprimée, avec des automobiles, des complets-veston, des chapeaux de feutre, des téléphones, des vaisseaux spatiaux… très intéressant. C’est une réplique presque parfaite de notre civilisation, mais elle est bien plus mal en point que la civilisation américaine actuelle. Et c’est pourquoi vous trouvez les civilisations occidentale et américaine actuelles plutôt restimulantes parce qu’elles se sont mises à ressembler à la civilisation marcabienne. Et ce, plutôt rapidement. Et nous sommes à présent à un niveau très élevé de restimulation, parce que la forme des voitures, des trains, des bateaux (ils ont des bateaux dans ces zones qui ressemblent comme deux gouttes d’eau au Queen Mary, voyez-vous?), les voitures de pompier et en particulier les vêtements masculins – toutes ces choses sont identiques. Nous entrons donc dans une ère extrêmement restimulante, car jusqu’ici, nous n’avions pas eu tout ça, voyez-vous? Nous avons évolué à divers stades de civilisation, mais nous n’avions encore jamais ressemblé à celle-ci. Et rappelez-vous que cette société actuelle semble dangereuse; elle semble très dangereuse. L’un des plus grands crimes que vous pouviez commettre dans cette société marcabienne, et ce doit être encore le cas aujourd’hui, c’était l’impôt sur le revenu. Une virgule mal placée et c’était la «mort à perpétuité». Bizarre, non? Donc, tout le monde devait payer ses impôts sur le revenu – terriblement restimulant. Il n’y aurait probablement pas grand-chose à redire sur l’impôt sur le revenu s’il était administré comme un impôt. Mais ce n’est pas le cas. Il est administré comme un châtiment même aujourd’hui sur cette planète. Eh bien, c’est l’un des principaux châtiments de la civilisation marcabienne. … Mais voilà, c’est ce dont il s’agit. Voilà. C’est cette planète. Et une fois de temps en temps, il vous arrive d’être en rogne contre un gouvernement de cette planète et vous êtes en fait en rogne contre le gouvernement marcabien. Et il y a beaucoup de confusion. De temps à autre, quelqu’un en veut à mort à une organisation, en veut à mort à une organisation ici sur cette planète, alors qu’en fait, il la confond avec la civilisation marcabienne. Maintenant, si vous commencez à bombarder les gens ici avec des choses restimulantes d’un genre particulier, ça va restimuler alors une irréalité énorme; ça va restimuler l’amnésie. Je dois vous poser cette question: avec quelle force devez-vous frapper quelqu’un pour le rendre amnésique? Prenons Jean et voyons avec quelle force nous devons le frapper pour le rendre amnésique et qu’il ne sache plus qui il est ni où il est, ou quoi que ce soit d’autre. Avec quelle force devrions-nous le frapper,? Eh bien, avec une force plutôt énorme. Il faut presque employer une force inouïe pour mettre un thétan dans un état comme ça. J’ai moi-même été frappé par des forces terribles dans cet univers sans pour autant perdre l’esprit ou oublier qui je suis, voyez-vous? Donc il faut y aller très, très durement. Et c’est très facile à restimuler en racontant des choses aux gens. Ça devient très irréel. Mais si vous les mettiez vraiment au parfum, vous constateriez qu’ils seraient bien plus d’accord avec vous que si vous ne leur donniez qu’un petit bout des données. Vous voyez? Vous constateriez que les habitants de cette planète ne seraient pas tellement en désaccord avec ce que vous faites. Et voilà pourquoi les choses sont en quelque sorte explosives actuellement. Eh bien, ces gars ne vont pas gâcher leur propre jeu. Vous voyez? Ils ne vont rien faire de bizarre à ce propos. Ils nous ont probablement tous jaugés, s’ils savent quoi que ce soit à notre sujet. Ils ont probablement une vague idée de ce que nous sommes en train de faire et ils se disent: «Ah, oui. Bon. Bof.» Et pour être tout à fait honnête, peut-être même qu’ils se disent: «Hé! T’as vu! Ces gars sont peut-être en train de produire une technologie dont nous avons nous-mêmes désespérément besoin.» Considérez cela. Voyez, ils savent que le problème existe. Ils n’ont certainement pas trouvé de solution valable, sinon, ils n’auraient pas emprunté la route à la solution qu’ils ont employée. Après tout, ce sont des êtres eux aussi; souvenez-vous-en. Par conséquent, quand on regarde tout ça: 1) du point de vue organisationnel, vous avez affaire à des gens qui sont des révolutionnaires. Des non-conformistes. Le dénominateur commun de cette planète, c’est probablement la révolution. Probablement la seule chose que vous pourriez toujours lancer sur cette planète serait une révolution parce qu’elle est perpétuellement en état de révolution. Il est pratiquement impossible d’avoir une organisation qui dure, parce que toutes les personnes à qui vous avez affaire sont des non-conformistes. Bon. Il en va ainsi de la civilisation. J’ai pensé que ces quelques mots sur le sujet vous intéresseraient. Nous avons maintenant affaire à la question: «Qu’est-ce qu’un auditeur?» Vous vous occupez donc du cas le plus coriace que vous puissiez trouver dans l’univers, car, la réhabilitation de l’individu exige que vous réhabilitiez sa connaissance. Si sa connaissance ne s’améliore pas indépendamment de quoi que ce soit, l’individu n’ira pas mieux. Vous voyez, la charge électrique du cas est simplement un symptôme qui permet de mesurer sa connaissance. S’il a trop de charge, sa connaissance est extrêmement basse. Voyez, c’est une façon indirecte de mesurer le savoir de l’individu. L. Ron Hubbard Chers Amis, L’année 2024 s’achève et une nouvelle année commence. Je suis optimiste, mais je ne peux pas fermer les yeux sur la réalité. Des changements se profilent à l’horizon pour l’année à venir, c’est indéniable. Il y a tant de questions urgentes et de problèmes non résolus. Jetons un coup d’œil à la Logique 24: La résolution des études philosophiques, scientifiques et humaines (telles que l’économie, la politique, la sociologie, la médecine, la criminologie, etc.) dépend principalement de la résolution des problèmes du mental humain. – L. Ron Hubbard Ron l’exprime de manière très positive, mais il a raison. Sans entrer dans les détails, il est clair que nous avons beaucoup à faire dans les domaines qu’il a mentionnés. Il reste à voir si toutes les solutions que nous recevrons en 2025 seront dans votre meilleur intérêt ainsi que du mien. Toutefois, une chose est claire: Nous serions mal avisés de nous en remettre uniquement aux autorités. Il est bien plus raisonnable d’améliorer notre propre vie et notre environnement immédiat, de soutenir et de renforcer nos première, deuxième et troisième dynamiques. Une autre vérité importante et stable pour moi est la suivante: chaque personne est capable de produire ou de créer bien plus que ce dont elle a besoin pour vivre. Un exemple simple du passé est celui du père qui pouvait créer suffisamment pour subvenir aux besoins de toute une famille. En même temps, chaque membre de la famille apportait sa contribution. L’idée que l’on puisse vivre entièrement grâce aux prestations sociales, au revenu basique universel ou aux autres «aides» similaires sans aucun effort personnel est fondamentalement fausse. Nous avons tous la capacité de contribuer et de créer plus que ce dont nous avons besoin pour nous-mêmes. C’est un principe de base. Il est fondamentalement erroné de croire que l’on ne devrait pas avoir à contribuer à quoi que ce soit pour vivre. À mon avis, il y a une mauvaise intention derrière la croyance que l’on peut gagner de l’argent simplement en ayant de l’argent. C’est pour cette raison que l’intérêt a été fondamentalement interdit dans les trois grandes religions (Christianisme, Islam et Judaïsme). Malheureusement, ces interdictions n’ont pas été appliquées de manière systématique; au contraire, elles ont été affaiblies par des lacunes ou entièrement abolies. L’introduction de l’intérêt et de la monnaie fiduciaire – l’impression illimitée d’argent – a conduit à des guerres et continuera à provoquer des conflits. La véritable mauvaise intention est de gagner de l’argent sans avoir à travailler pour cela. Il s’agit d’un état d’esprit égoïste, axé uniquement sur le fait de prendre sans donner en retour. Le contrat fondamental de toute personne est de créer au moins autant que ce dont elle a besoin pour elle-même. Ce sont précisément ces capitalistes psychopathes et leurs imitateurs qui empêchent les travailleurs ordinaires de recevoir une contrepartie équitable pour leur travail. Ils ont créé et perpétuent un système dans lequel ils ne cessent de s’enrichir tandis que d’autres doivent travailler pour eux. C’est le problème fondamental auquel nous sommes confrontés sur cette planète avec ce type particulier de Thétans. Leur présence ici n’est certainement pas une coïncidence. Ron a clarifié pour moi ce qui se passe sur cette planète par le biais de nombreuses conférences, de livres, de bulletins et de Lettres de Règlement. Mais j’ai aussi beaucoup appris grâce à l’audition, à la fois directement par les connaissances acquises et indirectement parce que l’audition a supprimé les charges. Cela a augmenté ma réalité, me permettant de voir des choses qui étaient auparavant cachées ou qu’il m’était insupportable de reconnaître. Je lui en suis très reconnaissant, même si l’on ne peut pas souvent parler ouvertement de la réalité parce qu’elle semble trop irréelle pour le commun des mortels. Il y a une conférence de Ron qui porte le titre inoffensif de « Cycles de Communication de l’Audition », qu’un auditeur étudie au début de sa carrière, au Niveau 0. Ce n’est pas pour les âmes sensibles! L’intégralité de la conférence est jointe; un extrait se trouve ci-dessus. Pour la nouvelle année, je souhaite que la collaboration et l’initiative amènent de nouvelles personnes à la Ron’s Org, en diffusant et en appliquant la Tech. Ce n’est pas la planète de Ron, ni la mienne – c’est notre planète. Ensemble, nous pouvons réussir. Bonne Année à tous! Max, Erica, Melinda, Dirk, Verena, Jean, Sibylle, et Henrietta

Introduction: Le mot contrôle évoque des moments où nous avons été battus jusqu’à l’apathie, ou on nous a donné des ordres contradictoires que nous frissonnons à la moindre évocation de ce mot. Mais il s'agit vraiment d'autre chose. La lettre de Max Hauri – en bleu – est incluse dans cet article Contrôle et Affinité Contrôle et mécaniques de "Commencer-Change-Arrêter" de L. Ron Hubbard. Conférence ACC 18, N° 6, du 22 juillet 1957 Contrôle Il y a une échelle: Avoir Intérêt Communication Contrôle Aide Acte néfaste Retenue … Pas d’Effet Tout en bas se trouve «Pas d’Effet», certains niveaux ayant été omis ici. Comme nous pouvons le voir, le contrôle est très haut sur l’échelle – même plus haut que l’Aide! Le contrôle apparaît donc comme une bonne chose. Il est souhaitable d’avoir le contrôle de son environnement et de ses semblables. Un patron ou un parent doit certainement avoir le contrôle; cela fait partie du jeu, tout comme les libertés. Toutefois, je souhaite aborder un sujet totalement différent. Les Technologies d’Information (IT) et l’AI poursuivront sans relâche les intérêts de leurs clients, sans émotion; les affinités seront totalement ignorées. Une politique impitoyable de «manger ou être mangé» sera mise en œuvre. Personne ne sera là pour accuser réception, vous comprendre ou vous valider. Vous ne pourrez plus atteindre qui que ce soit – les gens ne seront plus «nécessaires». L’utilisation actuelle de robots tueurs entre Israël et Gaza ne fait que confirmer l’urgence de la Scientologie. L’ AFFINITÉ , qui est une considération émotionnelle ou ressentie de proximité, est fondamentalement une considération de distance, mais c’est la considération qui dit qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas. En d’autres termes, sans aimer ou ne pas aimer, avoir des choses à éviter ou desquelles s’approcher, il n’y aurait pas de jeu du tout. – L. Ron Hubbard Pour Noël, je souhaite partager un élément très important de Ron pour créer de l’affinité, et donc aussi de l’amour. C’est un principe fantastique que nous devrions tous comprendre et appliquer. L. Ron Hubbard: Quelqu’un arrive et dit: «Tiens-toi plus droit. Serre les talons. Rentre le ventre» et il dira «Ce gars m’aime.» Si une personne avait un corps, le contrôle serait l’affinité. Si elle pouvait contrôler quelque chose, elle l’aimerait. Un individu qui découvre que le contrôle ne le tue pas en vient à apprécier son auditeur. Ceci est l’établissement d’un niveau de réalité et le niveau d’affinité, à ce niveau de réalité, est le contrôle. Il monte sur l’échelle, il ne descend pas. Un individu ne peut pas contrôler sa voiture convenablement et il ne l’aime pas. Que veut-il dire par «aimer»? Veut-il parler d’une émotion? Non, il veut parler de la capacité à la contrôler. On se demande pourquoi certains couples mariés ne s’entendent pas, alors qu’apparemment, elle fait tout ce qu’il dit. Si un auditeur décide de la sortir de l’emprise de son mari (ou vice-versa) ou de casser ce rapprochement de terminaux, il découvrira qu’ils semblent avoir des sentiments l’un pour l’autre. C’est juste le contrôle permanent. On a affaire ici au point où le contrôle est l’affinité. Ils expriment leur affinité l’un pour l’autre en se donnant des coups de pieds, ils essayent de prendre le contrôle l’un sur l’autre en se battant. Au-dessous de ce niveau, il y a: faire l’amour. On peut comprendre beaucoup de choses simplement en regardant ce qu’est la compréhension au niveau de la masse. C’est le contrôle, contrôler et être contrôlé. C’est ça la compréhension. Le contrôle n’a pas besoin d’impliquer l’ARC pour créer de l’affinité; il doit simplement s’agir d’un bon contrôle. Le contrôle est toujours bon – sinon ce n’est pas du contrôle. Pour éviter tout malentendu, la domination, l’intimidation, la violence et autres ne sont pas du contrôle. Le contrôle est commencer, changer et arrêter – ce qui implique parfois des efforts et des émotions, ce qui n’est pas inhabituel, car la facilité vient avec l’application répétée. Nous devons préserver l’humanité. Nous devons conserver les affinités, l’amour et les émotions les uns pour les autres, et veiller à ce que nous ayons de l’ARC les uns pour les autres. Joyeux Noël ! Max, Erica, Melinda, Dirk, Verena, Jean, Sibylle

Introduction: «Ce qu’une personne peut confronter, elle peut le gérer. La première étape pour gérer quoi que ce soit est d’acquérir la capacité de lui faire face.» – L. Ron Hubbard. Une semaine de TR à la Dure vient de s’achever. Lisez quelques résultats sous l'article de L. Ron Hubbard. Plus de Confrontation Ability 54, Début septembre 1957 Ce qu'une personne peut confronter, elle peut le manier. La première étape à franchir lorsque l'on veut manier quoi que ce soit, est de gagner l'aptitude d'y faire face. On pourrait dire que la guerre continue à représenter une menace pour l'Homme, parce que l'Homme ne peut pas confronter la guerre. Si quelqu'un désirait mettre fin à la guerre  – l'idée qu'en rendant la guerre si terrible personne ne pourrait la commencer, est exactement l'inverse de la réalité. L'invention de l'arc, de la poudre, des canons lourds de la marine, des mitraillettes, du napalm, et de la bombe à hydrogène ne font que rajouter de plus en plus de certitude que la guerre va continuer. Comme chaque nouvel élément que l'Homme ne peut pas confronter est ajouté aux éléments que l'Homme n'a pas été capable de confronter jusqu'ici, l'Homme s'engage lui-même vers une aptitude décroissante à manier la guerre. Nous examinons ici l'anatomie de base de tous problèmes. Les problèmes commencent par l'inaptitude à confronter quoi que ce soit. Que nous appliquions ceci à des querelles domestiques ou aux insectes ou aux décharges d'ordures ou à Picasso, on peut toujours remonter au début de tout problème existant et trouver la mauvaise volonté à confronter. Prenons une scène de ménage, le mari ou la femme ne peut confronter l'autre, ne peut confronter les conséquences de la deuxième dynamique, ne peut confronter les fardeaux économiques et ainsi nous obtenons une querelle de ménage. Moins ces choses sont réellement confrontées plus elles deviendront un problème. C'est une vérité de La Palice, qu'on ne résout jamais rien en se refusant à l'évidence des faits. Bien sûr, on peut aussi dire qu'on ne résoudra pas les boulets de canon en offrant son torse aux boulets. Mais je vous assure que si personne ne se préoccupait de savoir si des boulets de canon sont tirés ou non, le contrôle des gens, sous la menace des boulets cesserait. Au fin fond des quartiers mal famés, là où existent les rôdeurs qui occupent la police, nous n'avons pu trouver un homme, dont les difficultés de base, dont la ruine, ne nous aient immédiatement conduits à une inaptitude à confronter. Un jour, un criminel dont tout le côté droit était paralysé est venu à moi. Cependant cet homme faisait sa vie en s'approchant des gens dans les allées, en les battant et en les volant. Il ne pouvait pas faire le rapprochement entre le fait qu'il battait les gens et sa paralysie du côté et du bras. Dès son enfance, il avait été éduqué à ne pas confronter les hommes. La chose la plus proche de la confrontation de l'homme à laquelle il ait pu parvenir était de les battre, d'où sa carrière criminelle. Plus le caractère horrible du crime sera déifié par la télévision et par la presse, moins la société sera capable de manier le crime. Plus on rend la délinquance juvénile redoutable, moins la société sera capable de manier la délinquance juvénile. Dans l'éducation, plus un sujet est rendu ésotérique et difficile, moins l'étudiant sera capable de manier le sujet. Plus un sujet est rendu redoutable par un instructeur, plus l'étudiant s'en retirera. Il y avait, par exemple, dans l'Europe ancienne, quelques études du mental qui étaient si compliquées et tellement incompréhensibles et qui furent répandues avec un tel manque de compréhension de l'Homme, qu'il n'était possible à aucun étudiant de les confronter. En Scientologie, lorsque nous avons un étudiant qui a été éduqué fondamentalement avec l'idée que l'esprit (de l'anglais mind, NdT) est si redoutable et si compliqué que personne ne pourrait le confronter, ou peut-être si bestial et dégradé que personne ne le désirerait, nous obtenons un étudiant qui ne peut pas étudier la Scientologie. Il a confondu la Scientologie avec son entraînement passé, et sa difficulté est qu'on ne peut obtenir de lui qu'il confronte le sujet de l'esprit. D'une manière générale de nos jours, l'homme est dans cet état, en ce qui concerne l'esprit humain. Pendant des centaines d'années, l'Homme fut éduqué dans la croyance des démons, des vampires, et de choses mystérieuses qui effrayaient les gens durant la nuit. Il y avait une organisation dans le Sud de l'Europe qui tourna cette terreur à son avantage et qui rendit les démons et les diables si redoutables qu'avec le temps, l'Homme, ne pouvait même plus faire face au fait que n'importe lequel de ses compagnons avait une âme. Et ainsi nous sommes entrés dans un âge entièrement matérialiste. Avec une Histoire enseignant que personne ne peut confronter «l'invisible», des religions vindicatives parlaient de se déplacer vers des places de contrôle plus avancées. Elles ne parvinrent naturellement pas à leur but, et l'athéisme fut à l'ordre du jour, ouvrant par conséquent la porte au communisme et à d'autres idioties. Quoi qu'il puisse sembler vrai qu'on ne puisse confronter l'invisible, qui a dit qu'un esprit est toujours invisible? Disons plutôt qu'il est impossible pour l'Homme ou pour quoi que ce soit d'autre de confronter le non-existant et par conséquent lorsque l'on invente des Dieux non-existants et que nous leur donnons plus de rôles dans la société, nous découvrons que l'Homme devient si dégradé qu'il ne peut même plus confronter l'esprit de ses compagnons, et encore moins devenir moral. La confrontation en soi, est un sujet hautement intéressant. A vrai dire, nous avons quelques preuves, que les images mentales ne se produisent qu'à partir du moment où l'individu est incapable de confronter les circonstances de l'image. Lorsque ceci se combine et que l'Homme n'est pas capable de confronter quoi que ce soit nulle part, on peut considérer qu'il a des images de tout et de partout. Ceci a été prouvé par un test très intéressant que j'ai fait en 1947 lorsque l'on découvrit que si l'on pouvait amener un individu à «parcourir un lock» (un moment analytique durant lequel les perceptions de l'engramme sont approchées, restimulant ainsi l'engramme ou le faisant entrer en action, les perceptions du temps présent étant interprétées de manière erronée par le mental réactif pour signifier que la condition même qui produisit la douleur physique est à nouveau à portée de main (engramme: une image mentale qui est l'enregistrement d'un moment de douleur physique et d'inconscience. Par définition elle doit contenir un choc et une lésion, NdT. Voir dict Tech.) de quelque chose qu'il a juste vu, parcourir un autre lock de quelque chose qu'il a juste entendu, et parcourir un lock supplémentaire de quelque chose qu'il a juste senti, il deviendrait à la longue capable de manier des images bien plus sérieuses de son mental. Je découvris, bien que je ne l'aie pas entièrement compris à ce moment-là, qu'un individu n'aura plus de nouvelles images lorsqu'il sera capable de confronter toutes les images; en devenant donc capable de confronter tout ce qu'il a fait, les choses qu'il a faites ne sont plus un problème pour lui. Pour corroborer cela, on découvrira que les individus qui progressent dans leur aptitude à manier les images n'ont en fin de compte plus d'images du tout. Ces personnes, nous les nommons des Clairs. Un Clair dans son sens absolu, serait quelqu'un qui pourrait confronter toute et chaque chose du passé, du présent et du futur. Malheureusement pour le monde de l'action, on verra que quelqu'un qui peut tout confronter n'a rien à manier. Le procédé de Scientologie, les problèmes d'ampleur comparable, est offert à l'appui de cela. Dans cette procédure particulière, il est demandé à la personne qui fait l'objet de cette procédure, de choisir un terminal avec lequel il a eu des difficultés. Dans ce contexte la définition d'un terminal est une «masse vivante» ou quelque chose qui est capable de causer, de recevoir ou de relayer des communications, on verra que les terminaux sont des gens plutôt ordinaires dans la catégorie des problèmes du bank de chacun. On demande alors à la personne d'inventer un problème d'ampleur comparable à celui rencontré avec cette personne. On lui demande de faire ceci très souvent. On verra en milieu de procédure, qu'il est maintenant désireux de faire quelque chose au sujet des problèmes qu'il a avec cette personne. Mais à la fin de la procédure, on verra apparaître une chose nouvelle et étrange: l'individu n'éprouve plus le besoin de faire quoi que ce soit au sujet de ce problème. A vrai dire, il peut simplement confronter ou regarder ou voir le problème avec une sérénité complète, maintenant ceci prend une allure presque mystique lorsque l'on découvre que le problème dans l'univers physique qui le préoccupait cesse souvent d'exister physiquement. En d'autres mots, le maniement d'un problème apparaît simplement comme un accroissement de l'aptitude à confronter le problème, et lorsque le problème peut être totalement confronté, il cesse d'exister. Ceci est étrange et miraculeux. Il est difficile de croire qu'un individu qui a un mari alcoolique, pourrait guérir cet individu de son alcoolisme, simplement en auditant le problème d'avoir un mari alcoolique jusqu'à la disparition du problème, et cependant ceci s'est produit. Je ne veux pas dire par là que tous les problèmes du monde peuvent être vaincus simplement en parcourant des problèmes d'ampleur comparable sur quelques personnes, mais je ne dis pas non plus que tous les problèmes du monde ne pourraient pas être maniés en parcourant des problèmes d'ampleur comparable sur quelques personnes et en vérité, en ce moment, j'entreprends une expérience dans cette direction sur le sujet de la bombe atomique. Il est très curieux que plus l'expérience est continuée, moins ces bombes réagissent lorsqu'elles sont testées. On pourrait peut-être dire, cependant, que s'il existait une seule personne dans tout l'univers, qui puisse confronter l'univers dans son entièreté, les problèmes de l'univers pour chacun, se désintensifieraient énormément. Les difficultés de l'Homme sont un combiné de ses couardises. La seule chose à faire pour avoir des difficultés dans la vie, est de vous mettre à fuir l'affaire de la vie. Après cela vous serez assurés d'avoir des problèmes d'une ampleur insoluble. Lorsque des individus sont restreints dans leur confrontation de la vie, ils accroissent une vaste capacité à avoir des problèmes avec elle. Il y a bien d'autres choses intensément intéressantes sur le sujet de la confrontation, mais nous verrons cela dans une publication ultérieure. Une publication précédente de Ability , contenait un résumé complet du Training 0, dont le nom est: la confrontation. Il est à noter que cet exercice effectué pendant un grand nombre d'heures, sera intensément efficace dans le maniement de la vie. Une femme et un mari dont la vie de couple n'a pas été très facile, trouveront extrêmement intéressant en terme de résolution de leurs difficultés conjugales, de se co-auditer avec ce seul exercice d'entraînement, chacun le faisant parcourir à l'autre durant 25 heures, au moins. Ceci devrait évidemment être fait sur une base de rotation, comme suit: pas plus de 2 heures sur l'un puis, changer du statut de «coach» à celui «d'auditeur». Afin de parcourir la confrontation de cette façon et avec des gains considérables, il serait nécessaire d'avoir quelque compréhension de ce qu'est un «coach», et, dans l'une de ces équipes de co-audition, de ce qu'est un auditeur. Une bien plus grande compréhension de cela sera contenue dans le Manuel de l'Etudiant . L'équipe s’assoit sur des chaises à dossiers droits, de préférence inconfortablement droit. Le coach et l'auditeur s'asseyent en se faisant face à une petite distance l'un de l'autre. C'est la tâche du coach de maintenir l'auditeur éveillé. Les pieds de l'auditeur doivent reposer à plat sur le sol, ses mains sur ses cuisses. Sa tête doit être droite et il ne doit utiliser aucun système, ni méthode, mais doit simplement confronter. Un muscle se crispant nerveusement aussi bien qu'un doigt se trémoussant seraient repris par le coach. Le coach utilise différents termes. Le premier d'entre eux est: «Commence», à ce moment la «séance» commence. Chaque fois que l'auditeur échoue, ne tient pas sa position, s'affale, tombe dans l'anaten (inconscience), se crispe, ses yeux commencent à se balader, où d'une manière ou d'une autre démontre une position incorrecte, le coach dit «raté» et corrige la difficulté. Il dit alors à nouveau: «Commence» et la séance continue. Lorsque la personne dans le rôle de l'auditeur a extrêmement bien réussi pendant une période de temps, le coach dit: «Gagné» et à nouveau: «Commence». Lorsque le coach désire faire quelques commentaires ou donner des conseils à l'étudiant, il dit: «Ça y est», redresse ce point et dit à nouveau: «Commence». Dans l'action elle-même du coach on n'utilise que ces termes: «Commence», «Raté», «Gagné», «Ça y est». Tout ce que le coach fait ou dit est ignoré par «l'auditeur», à moins que le coach n'ait dit «Ça y est» et qu'il n'ait ensuite conseillé un point et recommencé. Le coach a la liberté de faire ce qu'il veut, à part des violences physiques, afin de rendre l'auditeur nerveux ou de le perturber. Le coach pourrait dire ce qu'il veut entre un: «Commence» et un autre des commandements ci-dessus, et l'auditeur recevrait un raté s'il y prêtait attention ou s'il faisait autre chose que de simplement confronter. D'ordinaire, tout ce que le coach fait est de s'assurer que l'auditeur continue à confronter. On devrait cependant comprendre que l'exercice peut être considérablement durci. Le coach peut faire ce qu'il veut dans le but de détourner l'auditeur de la simple confrontation. Si l'auditeur esquisse un sourire furtif, a l'air embarrassé, se racle la gorge ou s'écarte d'une manière ou d'une autre de la confrontation pure et simple, c'est évidemment toujours un «Raté». On devrait comprendre que des séances d'exercice ne sont pas des séances d'audition. Dans une séance d'exercices la séance entière est dans les mains du coach, qui n'est que vaguement le «préclair» de la séance. Dans une séance d'audition, la séance entière est dans les mains de l'auditeur. Il y a ici une règle de base. Toute chose que «l'auditeur» ou «l'étudiant» suivant comment il est nommé dans l'exercice, tient contractée, est la chose avec laquelle il confronte. Si les yeux de «l'auditeur» commencent à picoter, il confronte avec eux. Si son estomac devient saillant, il est en train de confronter avec son estomac. Si ses épaules ou même l'arrière de sa tête deviennent tendus, alors il est en train de confronter avec ses épaules et avec l'arrière de sa tête. Un coach qui devient très expert là-dedans peut remarquer ces choses immédiatement et dans ce cas, donnerait un: «Ça y est», le remettrait d'aplomb et commencerait la séance à nouveau. Il est intéressant de noter que l'exercice ne consiste pas en une confrontation avec quelque chose. Les exercices consistent seulement en une confrontation; par conséquent, confronter avec est un «Raté». Divers signes nerveux, si on remonte à leur source nous mèneront immédiatement vers une tentative à confronter avec quelque chose, laquelle chose insiste à s'enfuir. Une main nerveuse, par exemple, serait une main avec laquelle l'individu tente de confronter quelque chose. Le mouvement vers l'avant de la nervosité serait l'effort fourni pour l'amener à confronter, le mouvement vers l'arrière serait son refus de confronter. Bien sûr, l'erreur de base est de vouloir confronter avec la main. Le monde n'est jamais lumineux pour ceux qui ne peuvent le confronter. Tout est gris et morne pour une armée en déroute. Toute la ruse de quelqu'un vous disant: «Il n'y a rien de bon par là-bas», est contenue dans le fait qu'il essaie de vous empêcher de confronter quelque chose et vous fait donc vous retirer de la vie. Les lunettes, les tics nerveux, les tensions, toutes ces choses proviennent d'une réticence à confronter. Lorsque cette volonté est rétablie, ces incapacités tendent à disparaître. Bien sûr, des couples mariés en proie à des conflits risquent de se heurter à des moments difficiles lors de cet exercice de confrontation. Cependant, on devrait garder à l'esprit que c'est le coach dans ces exercices, qui est tenu par le Code de l'Instructeur, et que le seul tort qui puisse en résulter, se produirait si l'on permettait à «l'auditeur» de «blower» (partir) de la séance, sans que le coach, même avec un maniement physique, ne ramène l'auditeur à l'exercice. On verra que ces blows (NdT: départs) se produisent le plus fréquemment lorsque la personne qui est coachée, en d'autres mots «l'auditeur» n'obtient que peu de gains et est découragé par le coach. Evidemment ce qu'il fait d'incorrect doit recevoir un «Raté»; mais il s'avérera que le chemin vers le succès est pavé de victoires; par conséquent lorsqu'il le fait bien pendant une période de temps, «l'auditeur» devrait se l'entendre dire. Commencez ces exercices en vous attendant à des explosions et à des bouleversements et refusez simplement d'en démordre s’ils se produisent et tout rentrera rapidement dans l'ordre. Allez-y en vous imaginant que tout sera doux et léger et que chacun devrait être un petit gentleman et une petite lady et le désastre va se profiler. Ni moi ni la direction ne sommes responsables des coupures, des contusions, des paroles violentes ou des divorces résultant de tentatives d'exercices de confrontation entre maris et femmes. Puissiez-vous ne plus jamais être le même. L. Ron Hubbard Nous proposons une semaine de TR à la Dure du lundi 5 mai au samedi 10 mai 2025. Témoignages des gains obtenus sur les TR à la dure Les Hard TR0 sont pour moi un de ces outils qui permet de tendre vers ce “beingness” et se réapproprier une véritable aptitude à faire face à la vie et à ses aberrations. Je les vois comme une sorte d’art martial mental où chacun doit traverser son lot d’épreuves mentales-corporelles mais avec la promesse à l’arrivée, de gains qui valent vraiment le courage de poser ses fesses sur la chaise. Durant cette semaine de TR0, j’ai fait pour la première fois de ma vie l’expérience d’un sentiment mêlant à la fois la Puissance et la Paix – calme intérieur. C’est très précieux à mes yeux et d’une valeur inestimable; je souhaite à chacun d’y goûter. – Kevin J’ai adoré cette semaine de TRs à la dure. J’en suis déjà à mon deuxième et je sens une progression. Je sais déjà que j’en ferai d’autres! D’abord pour continuer sur ma belle progression mais aussi parce que c’est un sujet, une expérience après laquelle on se sent tellement bien, différent, mais mieux! – Franck J’ai commencé la scientologie il n’y a pas longtemps et je n’avais pas fait beaucoup de long TR (le maximum 50 minutes). J’appréhendais beaucoup. Maintenant j’ai envie d’en refaire une; c’était une super semaine. – Cey Une super semaine avec un groupe génial! Que d’énergie retrouvée! Une capacité à confronter améliorée. Ne s’endort plus et on est là!Le monde se réveille et moi avec; que du bonheur! – Sébastien J’ai vraiment trouvé les journées de TR à la Dure très salutaires. Les 2-3 premiers jours ont été un peu inconfortables, car 2 heures, c’est déjà inhabituellement long. Mais ensuite, c’est devenu de plus en plus facile. J’ai constaté par la suite que j’étais capable de communiquer avec les gens de manière inhabituelle. Mon niveau sonore est également monté d’un cran. Je suis désormais adepte du TR0. Quant à ma surexcitation intérieure, elle a disparu, à l’exception de brefs moments. – Stefan Sincèrement vôtre, Max Hauri

Introduction: L’éthique se distingue de la morale. L’éthique est constituée des facteurs de survie tels qu’ils s’appliquent raisonnablement et couramment au problème. L’honnêteté qui en découle est le plus haut niveau de survie. Le potentiel de survie peut également être mesuré, en d’autres mots, en termes de quantité de vérité découverte et appliquée à des problèmes et situations donnés. La morale n’a trait qu’aux habitudes et aux coutumes et est, dans une large mesure, réactive et non raisonnable. Diagnostic et Réparation de Groupes Janvier 1951 La réparation de groupe est en fait une étude de l’échelle des tons et de la structure mentale du chef d’un groupe. Un groupe n’est pas plus éthique que son système d’éthique. L’éthique est une mesure directe d’une position sur l’échelle des tons. Un système de mesure de l’éthique d’un individu ou d’un groupe pourrait être conçu à partir de tests mesurant les facteurs de communication, d’affinité et de réalité de l’individu. De même, un système de mesure de l’éthique d’un groupe pourrait être conçu à partir d’une étude de ses facteurs de communication, d’affinité et de réalité. Le Thêta est aussi pur qu’il contient de la vérité. La quantité de Thêta à l’état pur chez un individu ou un groupe mesure le potentiel de vie et l’énergie du groupe. Nous étudions, dans Thêta, non seulement la raison et les idéaux, mais aussi la dynamique – l’énergie et la longévité – de la survie. Ainsi, lorsque nous disons « quantité de Thêta », nous pourrions également dire « quantité de raison » et « abondance d’énergie dépensée en vue de la survie ». L’éthique se distingue de la morale. L’éthique est constituée des facteurs de survie tels qu’ils s’appliquent raisonnablement et couramment au problème. L’honnêteté qui en découle est le plus haut niveau de survie. Le potentiel de survie peut également être mesuré, en d’autres mots, en termes de quantité de vérité découverte et appliquée à des problèmes et situations donnés. La morale n’a trait qu’aux habitudes et aux coutumes et est, dans une large mesure, réactive et non raisonnable. Sur l’échelle des tons, on peut voir que le potentiel de survie diminue de plus en plus à mesure que la communication, l’affinité et la réalité diminuent. La mort n’est pas d’affinité, pas de communication, pas de réalité et pas de survie. En repérant un groupe ou un individu sur l’échelle des tons, on peut repérer les réactions exactes et précises de l’ARC pour cet individu. Autour de 2, en ce qui concerne les communications, l’individu censurera les communications. Autour de 2, il a l’hostilité ouverte en lieu d’affinité. Autour de 2, il a un défi, une interruption en lieu d’accord. Plus bas, vers 1.5, il a affaire à la perversion des communications, à la haine en lieu d’affinité et au désaccord total en lieu d’accord (réalité). Autour de 1.0, il a une coupure en ce qui concerne les communications, de l’hostilité cachée en lieu d’affinité et de la contradiction en lieu d’accord. Comme un individu se trouve sur l’échelle des tons, il gérera inévitablement l’ARC. De même qu’un groupe existe sur une échelle des tons, de même gérera-t-il inévitablement l’ARC. En dessous de 2.0, quelles que soient les intentions exprimées, l’individu travaille en tant qu’enthêta et enmest et, lorsque le ton plonge à 1.0, il se tue et tue d’autres individus ou groupes. Il parle de mort et d’urgence. Il conseille des remèdes puissants pour les situations de « mort potentielle ». Et bien qu’il semble travailler dur pour « remédier » aux situations qu’il postule, il ne produira qu’une survie réduite ou la mort pour lui-même, ses associés ou son groupe. Il peut sembler travailler avec la plus grande efficacité, il peut croire qu’il fait de son mieux et pourtant le produit final de son effort sera une survie réduite ou la mort. Napoléon avait l’habitude de choisir ses généraux sur la base de toutes leurs qualifications et sur un dernier facteur : « A-t-il de la chance  ? » Nous sommes peut-être en train d’étudier l’anatomie de la chance lorsque nous examinons la position d’un individu sur l’échelle des tons. Le thêta attirera le MEST vers lui. Et qu’entendons-nous par chance, si ce n’est un facteur x qui permet à un individu ou à un groupe d’obtenir le MEST avec un minimum d’effort. Une étude, qui n’a pas encore été réalisée, pourrait démontrer que même dans les jeux de hasard, la chance d’un homme peut être prédite par sa psychométrie. Tout comme l’accidenté collectionne les accidents, l’individu de niveau 2.0 et au-dessous, collectionne la malchance. Les choses auxquelles il s’associe se brisent ou deviennent compliquées en termes de possessions selon qui les possède. Ses amis semblent se volatiliser. «La vie va contre lui». Un groupe se trouvant en dessous de 2.0 sur l’échelle des tons a de gros problèmes avec ses possessions et ses biens. Il semble aliéner les autres groupes. Il n’est ni chanceux ni prospère. En fait, dans les deux cas, on est entré dans la spirale du suicide et les actions du cycle de vie tendent à exiger que l’individu ou le groupe se suicide. L’enthêta, une fois en action, contamine ses turbulences dans d’autres Thêta et MEST organisés et lorsque suffisamment de choses sont générées, la mort peut survenir et un autre cycle peut être commencé, un nouvel individu, un nouveau groupe. La mort d’un individu ou la mort d’une entreprise ou d’une nation suit cette spirale vers le suicide. Les points de passage sont les points d’action sur l’échelle des tons de survie de l’ARC. Regardez les points d’action pour l’affinité sur l’échelle des tons, ou pour la réalité ou pour la communication, et vous pouvez voir à quel point les actions de l’individu ou du groupe le pousseront vers la mort. En inversant le point de vue, en repérant la position de l’individu sur l’échelle des tons ou en repérant la position du groupe par ce qu’il fait avec l’ARC, on peut voir le potentiel de survie du groupe en termes d’énergie et de longévité. Ainsi, nous pourrions voir, par exemple, un administrateur privilégiant le secret dans ses relations, pratiquant la cruauté sur les individus d’un groupe mais masquant cette cruauté sous la «nécessité», modifiant ou supprimant tous les plans qui lui sont soumis – on pourrait le repérer sur l’échelle des tons à environ 1.1. On pourrait voir immédiatement que l’organisation serait encline à la mort et qu’elle échouerait. En fait, les mesures mêmes qu’il peut postuler de manière si convaincante pour répondre aux «urgences» conduiront à l’échec et au désastre. L’effet d’un individu sur un groupe dépend du rang qu’il occupe au sein du groupe. Une personne qui occupe un poste de commandement au sein d’un groupe peut avoir autant, voire plus de poids sur le groupe que l’ensemble de ses membres, à moins qu’un système ne soit conçu pour donner plus d’importance aux membres individuels eux-mêmes. Un groupe, alors, soucieux d’atteindre le plus haut niveau de survie pour le groupe, et de conquérir pour lui le maximum de MEST, devrait être attentif à la position des chefs de ce groupe sur l’échelle des tons. Le groupe lui-même peut déduire la position d’un chef sur l’échelle des tons, par la façon dont il traite l’ARC. Le chef de la plus haute qualité, qui apporterait le plus au groupe, traiterait l’ARC dans un état presque pur. Il s’efforcerait d’établir des lignes de communication ouvertes et propres. Il s’efforcerait de créer la plus grande affinité possible au sein du groupe et avec le groupe. Il n’agirait qu’au niveau le plus élevé d’accord avec le groupe. Et il accorderait l’attention la plus stricte à l’éthique du groupe. Comme la terreur et la peur se situent au même point de l’échelle des tons, nous pouvons constater qu’il existe une différence d’intensité pour tout point de cette échelle. C’est comme la question de ton et de volume en musique. Le point de l’échelle se comparerait au ton. Le volume de la note se comparerait à la quantité d’énergie thêta ou enthêta présente à ce stade-là. Ainsi, un groupe doit également être attentif à l’énergie d’un administrateur – en d’autres termes, à son potentiel dynamique en termes de volume. Un groupe pourrait avoir un chef très Thêta qui ne serait très élevé que sur l’échelle des tons, mais qui n’aurait pas de volume d’énergie à offrir. En recherchant le volume d’énergie, un groupe peut souvent confondre la force MEST avec la puissance Thêta d’un homme. Il est vrai qu’un homme qui peut devenir très énergiquement thêta peut, durant les moments de turbulences, devenir un grand volume d’enthêta, mais son volume ne s’adressera qu’à l’enthêta, et non pas au thêta. Il y a une autre caractéristique de la personnalité, comme la « qualité » en musique, qui a à voir avec le calibre ou la viabilité du raisonnement du chef. Un Thêta élevé, un volume d’énergie élevé et une haute qualité de raisonnement se combinent pour former un excellent chef. Le groupe qui accorde une importance particulière à sa survie en tant que groupe ferait bien d’apprendre à reconnaître la valeur de la nécessité du groupe et à savoir comment l’exprimer. Le groupe peut exercer toute pression sur n’importe quel chef ou sous-chef pour obtenir le niveau d’ARC le plus élevé possible. Ainsi, chaque membre du groupe peut accomplir ses tâches de la manière la plus efficace et la plus fière possible. Et chaque membre du groupe doit agir pour maintenir un ARC élevé dans l’organisation interne. Cela peut augmenter le niveau de ton du groupe jusqu’au point où ce niveau de ton augmente le niveau de ton individuel et le niveau de survie croissant se complètent de manière interactive. Un volume d’énergie à un niveau de ton élevé, une fois atteint, fonctionne avec une certaine vélocité. Avec une telle impulsion, il se maintient par la suite et commence à prendre plus de volume et un ton plus élevé comme une action automatique. Comme l’avion à réaction qui, à la vitesse du son, a atteint un mouvement presque perpétuel et une vitesse constante, un groupe peut, en atteignant artificiellement le niveau de nécessité, commencer à augmenter automatiquement et de façon autonome le volume et le niveau de ton du groupe. Ce point est très élevé mais vaut la peine d’être atteint car un individu dans un tel groupe monte en flèche sur l’échelle des tons en tant que résultat direct. L. Ron Hubbard Fondateur